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jeudi 20 décembre 2007

Le pire devant nous ?


-Crise financière : la peur s’installe
-Pas de 1929 en vue ! Mais une crise sociale assortie de mensonges

-Le grand krach financier est-il inéluctable ?
-Crise ou krach?
-contre-pouvoir.be : s'informer, c'est déjà agir
L’hyperlibéralisme nous conduit dans le mur
L’immobilier californien bouscule la croissance chinoise, par François Chesnais


"Ce dont il faut avoir peur, c'est de la peur elle-même" (Th. Roosevelt)

...Mais la peur n'est-elle pas aussi l'effet de dysfonctionnements économiques objectifs profonds qui engendrent perte de confiance dans les institutions monétaires et dans la monnaie elle-même, reposant sur la confiance ?...


"Je pense que votre analyse "économique" néglige, même s’il est évoqué sous l’angle du cout, l’aspect énergétique de la crise actuelle. (Posez-vous la question du rationnement quand il n’y aura plus assez d’énergie et vous verrez que le problème n’est pas une simple question d’argent et de cout.) Or d’où vient l’endettement américain aujourd’hui ? Il vient du fait que ce pays consomme le quart du pétrole mondial et est obligé de massivement importer son énergie à des couts qui vont croissants.

Vous suggérez que le discours catastrophiste est infondé et a pour but de masquer et de faire perdurer des inégalités sociales scandaleuses. Je ne vous contredirais pas sur le fait que le part croissante du capital par rapport au travail dans les économies des pays riches est une cause majeure des inégalités sociales et que c’est scandaleux. Mais vous auriez tord de minimiser les symptômes de la crise qui touche tout l’Occident et de faire de l’avidité des riches sa cause unique.

La crise de l’énergie est beaucoup plus profonde que vous ne semblez le penser. C’est une mise en cause fondamentale de notre modèle de développement parce qu’il n’y a pas aujourd’hui d’alternative crédible aux énergies fossiles. Et nos économies de pays riches ne peuvent survivre sans croissance économique (qui payerait les retraites et les intérêts des prêts ?), donc croissance de la consommation énergétique dans le modèle consumériste actuel.

La crise est là mais ça, personne ne veut le voir parce que l’avenir devient tout à coup très différent et très incertain ... Dedefensa.org appelle cela la crise de l’idéologie du progrès, qui est l’un des piliers sinon le pilier de notre civilisation."(D.Larchey-Wending -sur AVG) AGVD.Lar

Dedefensa.org:La fascination de la crise




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