dimanche 25 mai 2025

Jour spécial

      Elles méritent notre hommage

          

                      C'est selon...



              Toutes ne sont pas à la fète.





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Petit billet du dimanche

__ Défit

__ Urgence

__ Stupéfiant!

__ Les vaches!

__ Héritocratie

__ Anti deutsch

__ Zône grise

__ Cash ou pas ?

__ Reconnaissance 

__ Louis (Napoléon)

__ Futur oblitéré

__ En roue libre

__ Choix discutable

__ Projet contesté                 

__ Contraintes médicales? >>

__ Bombe ou pétard?

__ Connotation biblique

__ Inclusion scolaire

           __________________  Revue de presse  __________________

samedi 24 mai 2025

Lecture en danger?

   Une tendance inquiétante

            Une bascule qui interroge


                      Une évolution très états-unienne

                             Le combat est-il encore gagnable?           ____________________

USA: dette stratosphérique?

 Incompressible?

            Une dette pharaonique. On brade les bons du Trésor. Wall Street tremble. Va-t-on ver une dédollarisation généralisée,  ce qui serait le signe d'un déclin assuré. Les chiffres donnent  le tournis."... Les chiffres donnent le tournis. En 2025, le montant pharaonique de la dette américaine s’élève à 36.220 milliards de dollars, soit 125% du PIB. Et, en 2025, les fonds alloués au remboursement des intérêts devraient atteindre 952 milliards de dollars, soit plus que les 850 milliards de dollars qui financent la plus puissante armée au monde, comme l’a noté le patron de Tesla, également à la tête du Département de l’efficacité gouvernementale (DOGE).Ce constat d’apparence préoccupant n’a pourtant pas empêché le pays de fonctionner jusqu’ici avec une certaine nonchalance budgétaire…                                   C’est une petite bombe, lâchée l’air de rien, par Elon Musk ce 26 février 2025. Présent à la Maison Blanche, le milliardaire proche de Donald Trump et chargé de couper à la hache dans les dépenses de l’État fédéral a mis en garde sur la trajectoire des comptes américains, devenue insoutenable : « Les intérêts de la dette nationale dépassent désormais les dépenses du département de la Défense », a-t-il averti, ajoutant que, faute d’amélioration, le pays «va faire faillite».

      _  Depuis plus de 10 ans et plus.  La fin d'un rêve?  "L'opulence et la suprématie économique US, nées de la guerre, déclinent, même s'il y a encore quelques beaux restes de la splendeur passée. Le délabrement de l'économie se poursuit. L'empire s'efface , qui vit à crédit. Que serait-il sans son dollar de référence et son armée, grand business , mais gouffre financier?... 


                                                                                                                                                       Un blocage préoccupant.  même   Il n'y a pas pas de limite théorique au montant de la dette.  "
Contrairement aux États de la zone euro, ils disposent de leur propre banque centrale. Et contrairement à de nombreux pays en voie de développement, leur dette est libellée dans leur propre devise : le dollar. Pour dépenser de l’argent, les États-Unis n’ont donc pas à l’emprunter. Au contraire, « ce sont les dépenses autorisées par le Congrès qui entraînent une création monétaire de la part de la FED » rappelle l’économiste Stéphanie Kelton. Cette institution crédite les comptes du gouvernement fédéral du montant voté par le Congrès, qui émet des bons du Trésor..."                                                                                                                                                                                    La  faillite apparaît donc impossible dans l'état actuel des choses. Mais il y a un souci... _________________________

vendredi 23 mai 2025

Acharnement

 Déraisonnable    

           En toute sérénité

            Pas de vie sans la mort

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Surfing on the Ouèb

__ Hélas!

__ Boycott 

__ Camouflet

__ Polémique

__ Agression

__ Capitalisation              

__ Sous protection

__ French Watergate?

__ Islamophobie?

__ Ethique et fric 

__ Paradis belge

__ Dossier "pourri"

__ Equation Druze

__ Affaire d'Etat

__ Nouvelle ère?

__ Gel tragique

__ Prestations éducatives

__ Colonisation masquée?

__ Pénurie d'enseignants

__ Ecologie et communication

__ Promotions périlleuses

__ Choose France: oui, mais..

__ Géopolitique et culture générale    ___________________

jeudi 22 mai 2025

Jusqu'où ?!

    Terribles bilan et banalisation 

                    Les humains et les autres...

 
                                                        On attend les sanctions....

L’ennemi, ce n’est pas le Hamas. Chaque enfant, chaque bébé à Gaza est un ennemi. Nous devons conquérir Gaza et ne laisser aucun enfant gazaoui sur place.
Il n’y a pas d’autre forme de victoire”, a déclaré Moshe Feiglin, homme politique israélien et ancien député du Likoud, lors d’une interview télévisée diffusé mardi sur la quatorzième chaîne israélienne.
May be an image of ‎1 person and ‎text that says '‎" Chaque Chaqueenfant, enfant, chaque bébé à Gaza est un ennemi 7 התקווה זהות.התקווה זהות. זהו สพพยหาว בראשות פייג משה זרות מדשהיו Moshe Feiglin Homme politique israélien et ancien député du Likoud‎'‎‎
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Photo de profil de luistsd

Sans aller jusque là...

😉   Il faut se hâter lentement...

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Orwell et nous

Plus actuel que jamais

                  Raoul Peck n'est pas le seul et le premier a être fasciné par l'oeuvre et la pensée de Georges Orwell, que l'on peut considérer comme ayant une portée universelle. Avec Adlous Huxley, son contemporain, il développe une pensée particulièrement critique à l'égard de nos sociétés de plus en plus centralisées, parfois totalitaires, où le langage officiel se pervertit, à  seul fin de dominer les esprits, en prétendant dire le vrai pour imposer son pouvoir. Le rapprochement avec la montée du trumpisme, où il nous fait entrer dans l'ère de la post-vérité est aujourd'hui éclairante. Il n'est pas étonnant que la vente  de 1984 monte en flèche aux USA. La vérité se définit au gré des humeurs, des projets, des fantasmes de décideurs hors du contrôle de critères démocratiques, de débats éclairés et contradictoires, de limites institutionnelles acceptables. La common decency est battue en brèche dans le règne de l'arbitraire et des rapports de force, quand fleurit la novlangue, quel que soit le régime, quel que soit les sytème et l'époque.  Les exigences orwelliennes sont intactes, aujourd'hui d'une actualité brûlante. De Moscou à Pékin, en passant par Washington et...Paris.                                                                                                               "...l’édification du totalitarisme s’érige particulièrement sur le langage, comme le met en avant Orwell avec la novlangue, en tant qu’il est le premier vecteur idéologique des humains. La question est de savoir dans quelle mesure la novlangue peut être mise en parallèle avec le travail fait sur la langue contemporaine. Nous avons vu que la novlangue s’emploie à supprimer des termes afin d’annihiler la pensée. À l’inverse, notre langage contemporain foisonne d’un lexique toujours plus riche et complexe de mots ou d’expressions nouvelles. Ce phénomène a notablement été étudié par François-Bernard Huyghe, qui a proposé, en 1991, de baptiser ce nouveau langage « langue de coton »1 pour illustrer la caractéristique d’un argumentaire nouveau qui entrave la réfutation et qui est constitué de nombreux euphémismes périphrastiques, procédé qui consiste à cacher une réalité en la noyant sous des concepts adoucis jugés moralement plus louables et dont la connotation positive empêche la critique. Le terme « licenciement » se voit par exemple remplacé par  » réallocation de la main d’œuvre « , et la langue de coton se charge ainsi d’euphémismes périphrastiques en périphrases euphémistiques : le malentendant devient le porteur d’un handicap de surdité ; la personne âgée, une personne en situation de dépendance physique dû au vieillissement, etc. Or, un tel procédé qui consiste à utiliser de jolis termes détournés permet non seulement de cacher la dure réalité, mais, pire encore, abolit la possibilité de critiques. En effet, comme l’analyse très justement Corinne Gobin2, qui peut se dire contre la croissance de l’emploi ? Ou bien encore contre la formation tout au long de sa vie ; contre la promotion du bonus budgétaire ou encore contre la lutte contre les déficits publics sans paraître aussitôt « suspect de s’attaquer à l’essence même de l’ordre social » ? Aboutissant à la conclusion que la « pensée unique » d’Ignacio Ramonet caractérise bel et bien notre société actuelle, Corinne Gobin écrit : « Le fait [EST] que nous ne sommes plus dans un univers discursif de type contradictoire. Non seulement le même vocabulaire politique, et les mêmes expressions, se trouvent dans la bouche de quasi tous les membres de la classe politique mais encore ce vocabulaire « percole » au quotidien, via une intense diffusion médiatique, dans les discours socio-politiques les plus variés : de l’autorité universitaire jusqu’à l’assistant social, en passant par l’administrateur d’un hôpital ou l’animateur d’un centre culturel. Il y a ainsi homogénéisation forte du vocabulaire socio-politique général et infiltration intense de ce vocabulaire dans de plus en plus de sphères sociales au sens large. »3    Le langage de nos sociétés contemporaines n’est donc pas l’objet d’une déstructuration volontaire et réfléchie comme dans 1984, mais, au contraire, d’une impression de richesse accrue et d’une sorte de foisonnement novateur d’une terminologie conciliante, généreuse et tolérante. Or, dans cette profusion sirupeuse de bons sentiments et de gentilles attentions, les mots finissent par ne plus rien dire tant ils sont radicalement détachés de la réalité qu’ils entendent signifier. C’est ainsi que l’oligarchie capitaliste a créé le langage typique de la « doublepensée » : un langage spécifique qui permet de désigner des faits réels en les nommant joliment à l’inverse de ce qu’ils sont réellement afin de les nier. La générosité lexicale n’est donc pas incompatible avec la censure intellectuelle et le décervelage dogmatique, imposé par le langage unique, est la condition essentielle pour permettre la pensée unique qui n’est rien d’autre qu’un totalitarisme intellectuel...."

    Lire et relire ne nuisent pas...                                     __________________________



mercredi 21 mai 2025

Parlons franglais

 So smart!

     Et si on poussait un coup de gueule?

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Horizons

   _____ Back to te Past?     Retrouvaille  et remariage...

On balaie tout et on recommence? Tout ça pour ça? L'aventure solitaire aurait-elle tourné court?


   Une refonte opportuniste seulement? Etant donné la nouvelle donne géopolitique et économique...                         "...Les observateurs l'annoncent cependant d'emblée : ne vous attendez pas à un virage spectaculaire dans les relations britannico-européennes. "Le Royaume-Uni ne cherche pas à revenir dans l', ni même à réintégrer le . Le mot d'ordre du gouvernement travailliste est de stabiliser et d'améliorer cette relation avec l'UE, sans réveiller les fractures du ", résume Sébastien Maillard, conseiller spécial de l'Institut Jacques Delors et spécialiste de ces relations. Dès lors, faut-il voir dans ce sommet un nouveau départ ou un simple ajustement de trajectoire ?..."     __  Quel impact?   Ouêêt and scie..

 i ___ Pierre Edouard Sterin: un projet structuré  et offensif.                                                                                                          PERICLES est son idole. L'absence lui va bien...     

   

Il veut devenir « un saint ». Avec son projet Périclès, révélé par L’Humanité, il s’est mis en tête de faire gagner les droites extrêmes et l’extrême droite, de Bruno Retailleau à Marion Maréchal, en passant par le Rassemblement national.  Son nom ? Pierre-Édouard Stérin. Fortune estimée ? 1,4 milliard d’euros. Exilé fiscal en Belgique depuis 2012, catholique mais aussi libertarien et très hostile à la gauche, il finance des initiatives politiques loin d’être transparentes.

Mardi 20 mai, Pierre-Édouard Stérin était convoqué par une commission d’enquête de l’Assemblée nationale qui voulait l’entendre sous serment. Pour la troisième fois, il a refusé de venir : le président de la commission d’enquête a annoncé saisir la justice. Peine encourue : deux ans d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende. Pierre-Édouard Stérin est moins riche et moins connu que le milliardaire Vincent Bolloré, qui lui aussi rêve de porter l’extrême droite au pouvoir. Mais comme lui, il est le symbole d’une époque où les milliardaires se sentent pousser des ailes pour nous imposer leur vision du monde ..."   -Mediapart)                                                                                      

I___   "Il veut devenir « un saint ». Avec son projet Périclès, révélé par L’Humanité, il s’est mis en tête de faire gagner les droites extrêmes et l’extrême droite, de Bruno Retailleau à Marion Maréchal, en passant par le Rassemblement national.Son nom ? Pierre-Édouard Stérin. Fortune estimée ? 1,4 milliard d’euros. Exilé fiscal en Belgique depuis 2012, catholique mais aussi libertarien et très hostile à la gauche, il finance des initiatives politiques loin d’être transparentes. Mardi 20 mai, Pierre-Édouard Stérin était convoqué par une commission d’enquête de l’Assemblée nationale qui voulait l’entendre sous serment. Pour la troisième fois, il a refusé de venir : le président de la commission d’enquête a annoncé saisir la justice. Peine encourue : deux ans d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende. Pierre-Édouard Stérin est moins riche et moins connu que le milliardaire Vincent Bolloré, qui lui aussi rêve de porter l’extrême droite au pouvoir. Mais comme lui, il est le symbole d’une époque où les milliardaires se sentent pousser des ailes pour nous imposer leur vision du monde...." (Mediapart)                                                                                                                                                                                         _____  " ...La conquête du pouvoir présuppose celle de l’opinion publique. Ou plus simplement, pour accéder au pouvoir, il faut d’abord faire infuser ses thèses dans toutes les strates de la société, et pour ça investir le champ de la culture. Cette idée a d’abord été théorisée par le communiste italien Antonio Gramsci dans les années 1930, avant d’être 50 ans plus tard récupérée par la Nouvelle droite, ce groupe d'intellectuels d’extrême droite à l’origine, notamment, des thèses identitaires. 

      "..Les Français Bolloré et Stérin, comme les Américains Philip Anschutz ou 

John C. Malone, l’ont parfaitement compris. Le premier s’est, comme 

on le sait, offert une palanquée de chaînes de télé (Canal+, CNews…) et autres médias (le JDD, le groupe Prisma…). Mais aussi tout un pan de l’édition avec son fleuron Fayard qui – on vous le raconte dans un article – publie désormais le gratin de l’extrême droite française. Bolloré possède également, on le sait moins, des salles de concert (L’Olympia à Paris !) et la major Universal Music. Il n’est pas le seul : Philip Anschutz, soutien affiché de Trump, a la main sur Bercy et le Bataclan en France, et certains des plus grands événements musicaux de la planète, comme le festival américain Coachella.

 StreetPress vous dévoile en avant-première une cartographie sidérante, réalisée par le chercheur Mathieu Barreira pour le Syndicat des musiques actuelles (SMA). Une poignée d’ultra-riches ont mis la main sur les festivals français les plus populaires et, parmi eux, des oligarques qui ne se cachent pas de mener un combat culturel au profit de l’extrême droite. Il nous faut réagir, sans ça, la conquête du pouvoir deviendra inéluctable." (Mathieu Molard   Street Press )                  ____________