Interrogations sur le modèle européen-
-L'UE planche sur le cas grec
-Le sens de la crise grecque
-Les leçons de la crise grecque
"Face au refus de l'Allemagne d'endosser politiquement un plan d'aide européen à la Grèce, les autorités de l'UE travaillent d'arrache-pied à une formule acceptable pour Berlin, dans laquelle le Fonds monétaire international est désormais susceptible d'être impliqué..."
-Après la Grèce, le Portugal... le scénario de contagion est en marche
--La "mauvaise" Grèce met l'euro sous tension:
"..Les malheurs de la Grèce contaminent les autres maillons faibles de la zone, le Portugal et l'Espagne en tête, qui voient leurs conditions de financement se détériorer. Le coût de l'assurance contre un défaut (CDS) des dettes souveraines grecque, espagnole et portugaise a atteint un niveau record. Et Athènes doit toujours emprunter à dix ans au taux de 6,6 %, contre 3,1 % pour les Bunds allemands de même échéance.
Les responsables européens se sont pourtant employés à ramener le calme. Notamment Jean-Claude Trichet, le président de la Banque centrale européenne (BCE), qui a estimé, jeudi 4 février, qu'en matière de finances publiques, "la zone euro (pouvait) soutenir la comparaison de façon très avantageuse avec nombre de pays industrialisés".
Mais "les mouvements sur les marchés sont devenus quelque peu irrationnels et les appels à la raison n'ont pas d'impact", juge Jean-Louis Mourier, chez Aurel BGC...."
-La relation franco-allemande mise à l’épreuve par la crise financière grecque:
"...Depuis quelques jours, sans le reconnaître, MmeMerkel rejette les unes après les autres les possibilités d'un soutien européen à la Grèce, voulu par ses partenaires.
Hostile à un renflouement immédiat dont l'Allemagne serait le plus gros contributeur, elle a tergiversé sur la création d'un Fonds monétaire européen (FME) jusqu'à ce dernier coup de théâtre au Bundestag, mercredi 17mars, où elle a envisagé l'exclusion d'un membre de la zone euro… tout en prenant acte du fait que le traité institutionnel ne le permettait pas.
___Le tour est joué: il reste maintenant l'aide du FMI. La Grèce au bord du gouffre la brandit comme une menace, la France n'en veut pas, l'Allemagne a d'abord déclaré d'y être hostile. "Plus les Grecs réclament une intervention du FMI, mieux on se porte", dit-on maintenant sans détours dans l'entourage de la chancelière. Le Conseil européen des 25 et 26mars sera l'épreuve de vérité. A travers la question de l'aide à la Grèce se joue un match France-Allemagne, la mise en concurrence de deux conceptions de l'Europe..."
-L'Allemagne défend son modèle de croissance
_____-L'Allemagne, victime du tout export
__- Désunion européenne
-La Grèce évoque un recours au FMI, en l'absence de décision au sommet de l'UE:
"Face à l'intransigeance allemande, l'heure, à Athènes, n'est plus aux réactions passionnées et aux rappels des crimes de l'occupation nazie. Angela Merkel ayant clairement signifié qu'elle n'aurait pas été fâchée de la voir exclue de la zone euro, la Grèce choisit de se poser en parangon de la cohésion européenne : "L'Allemagne a une grande responsabilité historique (...). Je crois qu'elle comprendra finalement que le sauvetage de la Grèce est intrinsèquement lié à la stabilité et à la survie même de l'eurozone", commentait, jeudi 18 mars, Panos Béglitis, ministre adjoint de la défense et ancien porte-parole du premier ministre Georges Papandréou.___La presse était sur la même longueur d'onde : "L'Allemagne pourrait miner sa position de dirigeante au sein du système européen", mettait en garde le libéral Kathimérini, tandis qu'à gauche Elefthérotypia jugeait que "c'est l'UE qui ne tolérera pas l'égoïsme allemand"...
-La Grèce préfigure la Tiers-Mondialisation de l’Europe..."
"...La situation de la Grèce, liée au « surendettement », n’est pas sans rappeler celle des pays du Tiers-Monde lors de la crise de la dette de 1982. En effet, pour pouvoir faire face à leurs obligations financières, les pays du Sud, en quasi cessation de paiements, ont été « aidés » par le FMI et par la Banque mondiale. Ces institutions ont accordé des prêts aux pays du Sud afin qu’ils puissent rembourser leurs banques créancières. Lesdites banques ont ainsi pu transférer au FMI et à la Banque mondiale une bonne partie de leurs créances « pourries » (ou « actifs toxiques » en langage politiquement correct). En contrepartie, les pays « aidés » se sont vus imposer des programmes d’ajustement structurel, traduction du consensus de ,Washington |d’inspiration néolibérale monétariste.
__A travers l’application de ses dix commandements, le consensus de Washington vise à permettre aux pays sous ajustement de recouvrer la capacité d’assurer le service (principal + intérêts) de leur dette extérieure. Il faut, à n’importe quel prix, dégager des fonds pour payer les créanciers..."
-Comment la Grèce en est arrivée là
-La Grèce s'est enferrée dans un modèle peu compétitif
-Lutte des classes en Grèce - AgoraVox
-L'idée de créer un Fonds monétaire européen pour secourir un pays de la zone euro fait débat
____-Et l'Europe, combien doit-elle à la Grèce?
_____-Grèce: pourquoi l'Allemagne a décidé de faire un exemple
___-La Grèce accuse les banques allemandes de «spéculer» contre elle
-Comment la dette de la Grèce profite aux spéculateurs...
_-Corrupteurs (Allemagne) et corrompus (Grèce) - AgoraVox
-Grèce: aide allemande?
--Aider ou lâcher la Grèce ?
-La Grèce et Goldman Sachs (2)
-La Grèce, l'euro et les spéculateurs (1)
-Goldman Sachs :santé douteuse?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire