►__ Dexia : un puits sans fond
_____Une bombe dans la zône euro, après le naufrage
__________ "Tandis que l’État, la Cour des comptes, le patronat s’émeuvent du
moindre dérapage des dépenses sociales, que les budgets pour la santé,
l’éducation, la justice ou la défense sont réduits à la portion congrue,
c’est sans difficulté apparente que les finances publiques signent pour
voler au secours du système financier....
Jeudi, le ministère des finances a...annoncé que l’État français
allait participer aux côtés de la Belgique à une nouvelle
recapitalisation de Dexia, en faillite depuis 2008, à hauteur de 5,5
milliards d’euros. Les deux États se sont engagés à souscrire dès que
possible à cette augmentation de capital réservée, sous forme d’actions
préférentielles. Mais à ce stade, il n’est pas sûr que celles-ci soient
assorties de droit de vote. Une question d’habitude dans les sauvetages
bancaires.
Pour la France, cette nouvelle recapitalisation de la banque va
représenter une dépense de 2,58 milliards d’euros, selon les nouvelles
règles de répartition discutées cet été avec la Belgique. « Cette
dépense n’était pas du tout prévue dans la loi de finances de 2013.
Comment allons-nous financer cette somme ? Pour l’instant, je n’en sais
rien », dit Philippe Marini, président de la commission des finances du Sénat."
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_____La politique du patronat, celle de ses intérêts !
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►Un ancien conseiller de Clinton : « Obama est (fut?) un Président faible »
___"Le plus gros problème d’Obama, c’est qu’en quatre ans, il n’a pas
fait grand-chose, même si ce n’est pas complètement de sa faute. Je
blâme surtout le système politique américain qui a été créé pour ne pas
marcher. Sans une supermajorité au Sénat (100 élus) et au Congrès
(435 représentants), n’importe quel Président aurait du mal à faire
passer ses projets. Et encore. Il lui faut composer avec les intérêts
régionaux qui obligent ses propres élus à prendre des positions
contraires parfois aux intérêts de son parti.
Ce système a été imaginé au XVIIIe siècle par des gens qui
avaient peur d’un pouvoir central trop fort. Du coup, ils ont parié sur
le fédéralisme, la décentralisation du pouvoir avec un Sénat très
puissant où les petits Etats peuvent bloquer les plans du Président et
des régions les plus peuplées ou une Cour suprême qui peut également
tout arrêter.
Ensuite, nos campagnes politiques sont trop longues. Imaginez que Romney est en route depuis deux ans..."
_Le casse-tête commence...
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