Une pomme qui en veut!
Mais une pomme gâtée...
Pourtant, une pomme qui nous veut du bien...
Depuis Adam, sa célébrité était pourtant assurée.
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* Connection intégrale
Jusqu'au bout des ongles
Pourquoi pas des doigts numérisés?
On n'arrête pas le progrès...
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* Comment surfer caché
En toute discrétion....
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* C'est quoi le bonheur?
__Là-dessus, les avis divergent à l'infini
Et si on se contentait de ce simple mot?
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* Appels de détresse en Californie.
C'est la ruée vers l'eau..De Las Vegas à Los Angeles, l'eau se raréfie.__ Il va falloir assurer les priorités, réduire les greens des privilégiés, l'arrosage des vergers....
Des mesures rapides s'imposent. Il y a urgence.
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* Le bon coin et le policier
On (re) trouve tout sur le Bon Coin..
Presque.
Au Bon Coin, on trouve tout, vraiment tout !
Des perles...
Mieux. Des pépites!
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* UBU à l'école
L'égalité à tout prix?
Bientôt une nouvelle épreuve d'EPS : la course à pied d'égalité !
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* Humour (très) noir
On recrute en Arabie Saoudite
Ce cher royaume, maintenant allié, a ses habitudes
Il a aussi des prétentions humanitaires
Bon salaire
Emotifs, s'abstenir
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* La crise expliquée aux (super) nuls
Marcel est propriétaire d'un bistrot.Il réalise soudain que tous ses clients sont des alcoolos qui n'ont pas de boulot et ne peuvent donc plus fréquenter son comptoir, car ils ont vite dilapidé leur RSA._Il imagine alors un plan marketing génial : "Picole aujourd'hui, paie plus tard". Il tient rigoureusement à jour son ardoise de crédits, ce qui équivaut donc à consentir un prêt à ses clients._Chiffre d'affaires et bénéfices explosent et son bistrot devient vite, sur le papier, le plus rentable de la capitale._Les brasseurs et grossistes se frottent les mains, et allongent bien volontiers les délais de paiement.__Les clients de Marcel s'endettant chaque jour davantage acceptent sans rechigner des augmentations régulières du prix du godet, gonflant ainsi (toujours sur papier) les marges du bistrot._Le jeune et dynamique représentant de la banque de Marcel, se rendant compte que ce tas de créances constitue en fait des contrats à terme (Futures) et donc un actif, propose des crédits à Marcel avec les créances-clients en garantie.
Sa trouvaille géniale vaut au banquier visionnaire un plantureux bonus._Au siège de la banque, un trader imagine alors un moyen pour se faire de belles commissions: il convertit les dettes en PICOLOBLIGATIONS. Les Picolobligations sont alors "titrisées" (converties en paquets de titres négociables) afin d'être vendues sur le marché à terme._Confiants à l'égard de leur banquier et avides de hauts rendements, les clients ne captent pas que ces titres qui leur sont fourgués comme "obligations AAA", ne sont en fait que les créances bidons d'alcoolos feignasses._Les Picolobligations deviennent la star des marchés, on se les arrache et leur valeur crève tous les plafonds.
Un beau matin, un "risk manager" oublié dans les caves de la banque se réveille et signale qu'il est temps de demander à Marcel que ses clients règlent leur ardoise._Marcel essaie, mais ses clients ne bossant pas, .. bernique !_
La banque exige alors le remboursement du crédit et le bistrot fait logiquement faillite, vire ses employés entrainant la faillite de ses fournisseurs en bibine qui, à leur tour, virent également leurs employés._Le cours des Picolobligations chute brutalement de 90%.La dépréciation de cet actif vaporise les actifs et donc les liquidités de la banque. Problemos : sa banqueroute ruinerait trop d'électeurs ("too big to fail" qu'on dit)_La banque est donc renflouée par l’État._Ce renflouement est financé par de nouvelles taxes prélevées chez des employés, les classes moyennes et un tas de gens qui bossent, ne picolent pas, qui n'ont jamais mis les pieds dans le bistrot du Marcel...
C’est pourtant pas difficile à comprendre, non ? (AC)
Enfin, en simplifiant un peu...
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On (re) trouve tout sur le Bon Coin..
Presque.
Au Bon Coin, on trouve tout, vraiment tout !
Des perles...
Mieux. Des pépites!
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* UBU à l'école
L'égalité à tout prix?
Bientôt une nouvelle épreuve d'EPS : la course à pied d'égalité !
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* Humour (très) noir
On recrute en Arabie Saoudite
Ce cher royaume, maintenant allié, a ses habitudes
Il a aussi des prétentions humanitaires
Bon salaire
Emotifs, s'abstenir
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* La crise expliquée aux (super) nuls
Marcel est propriétaire d'un bistrot.Il réalise soudain que tous ses clients sont des alcoolos qui n'ont pas de boulot et ne peuvent donc plus fréquenter son comptoir, car ils ont vite dilapidé leur RSA._Il imagine alors un plan marketing génial : "Picole aujourd'hui, paie plus tard". Il tient rigoureusement à jour son ardoise de crédits, ce qui équivaut donc à consentir un prêt à ses clients._Chiffre d'affaires et bénéfices explosent et son bistrot devient vite, sur le papier, le plus rentable de la capitale._Les brasseurs et grossistes se frottent les mains, et allongent bien volontiers les délais de paiement.__Les clients de Marcel s'endettant chaque jour davantage acceptent sans rechigner des augmentations régulières du prix du godet, gonflant ainsi (toujours sur papier) les marges du bistrot._Le jeune et dynamique représentant de la banque de Marcel, se rendant compte que ce tas de créances constitue en fait des contrats à terme (Futures) et donc un actif, propose des crédits à Marcel avec les créances-clients en garantie.
Sa trouvaille géniale vaut au banquier visionnaire un plantureux bonus._Au siège de la banque, un trader imagine alors un moyen pour se faire de belles commissions: il convertit les dettes en PICOLOBLIGATIONS. Les Picolobligations sont alors "titrisées" (converties en paquets de titres négociables) afin d'être vendues sur le marché à terme._Confiants à l'égard de leur banquier et avides de hauts rendements, les clients ne captent pas que ces titres qui leur sont fourgués comme "obligations AAA", ne sont en fait que les créances bidons d'alcoolos feignasses._Les Picolobligations deviennent la star des marchés, on se les arrache et leur valeur crève tous les plafonds.
Un beau matin, un "risk manager" oublié dans les caves de la banque se réveille et signale qu'il est temps de demander à Marcel que ses clients règlent leur ardoise._Marcel essaie, mais ses clients ne bossant pas, .. bernique !_
La banque exige alors le remboursement du crédit et le bistrot fait logiquement faillite, vire ses employés entrainant la faillite de ses fournisseurs en bibine qui, à leur tour, virent également leurs employés._Le cours des Picolobligations chute brutalement de 90%.La dépréciation de cet actif vaporise les actifs et donc les liquidités de la banque. Problemos : sa banqueroute ruinerait trop d'électeurs ("too big to fail" qu'on dit)_La banque est donc renflouée par l’État._Ce renflouement est financé par de nouvelles taxes prélevées chez des employés, les classes moyennes et un tas de gens qui bossent, ne picolent pas, qui n'ont jamais mis les pieds dans le bistrot du Marcel...
C’est pourtant pas difficile à comprendre, non ? (AC)
Enfin, en simplifiant un peu...
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