On écoute pas aux portes des "chers alliés"!
Gardez-moi de mes alliés; mas ennemis, je m'en charge...
Pris la main dans le sac!
Belles révélations!
Espionnez, espionnez....il en restera toujours quelque chose.
Ils jouent la surprise, voire l'innocence: la Maison Blanche assure ne pas écouter, mais pas du tout! Du moins, pas maintenant...
La NSA, c'est pour notre bien...
Pas de détail: tout le monde y passe
Tous les coups sont permis.
Si tout le monde écoute tout le monde et si la masse des données récoltées est surmultipliées, ça devient compliqué de trouver la bonne information...Par exemple concernant le Traité transatlantique, où beaucoup trainent les pieds en Europe. Pouvoir gagner du temps, c'est souvent le but de la curiosité.. Faire pression, c'est aussi l'objectif. La détection des menaces, c'est souvent l'alibi.
Grand trucage diplomatique et commercial mis à jour.
Hollande n'a pas écouté Mitterand, qui disait:
« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort… apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ! »
Certains crient au scandale. Belle hypocrisie!comme le relève le Guardian:
« Ces révélations sont faites alors
que la France donne à ses services de renseignement et de surveillance
de nouveaux pouvoirs controversés pour combattre les réseaux
djihadistes, avec davantage d’autorisations pour espionner les
téléphones et surveiller massivement Internet », resitue le quotidien britannique.
Un code de bonne conduite, ça ne mange pas de pain...
Paradoxe: Merkel est devenue l'écouteuse écoutée. La NSA est comme à la maison en Allemagne.
Les citoyens sont aussi de plus en plus sous surveillance.
Gllissons-nous vers une surveillance généralisée, au nom d'une sécurité dramatisée?
Quelles garanties va-t-il rester? Le problème n'est pas anodin.
La CNCDH s'alarme d'une surveillance de masse.
____
- Espionnage économique, le sale jeu américain
- Moscovici et Baroin écoutés sur fond d'espionnage économique
___________
- Les écoutes permettent aux Américains de connaître à l’avance les positions qui seront défendues par leurs interlocuteurs dans les conversations bilatérales ou les négociations internationales et de se préparer en conséquence.
L’argument selon lequel tous les grands États qui le peuvent pratiquent ce genre d’espionnage n’est qu’à moitié pertinent. D’abord parce que les États-Unis disposent de moyens colossaux. Ensuite parce qu’ils peuvent compter sur la coopération, volontaire ou obligée, d’autres pays qui leur servent de relais. Depuis la Seconde Guerre mondiale, il existe un réseau d’échanges d’informations et de surveillance coopérative, dit «Five Eyes», qui regroupe, outre les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada. Le réseau a survécu au conflit mondial et à la Guerre froide.
L’Allemagne ne l’a pas formellement rejoint mais ses services de renseignements ont été recréés dans les années 1950 par les Américains, ce qui explique mais ne justifie pas la collaboration entre la NSA et le BND. S’il se confirme que la NSA a servi de relais pour espionner des personnalités françaises, le problème prendrait alors une dimension franco-allemande, que Paris s’était efforcée jusqu’à maintenant de minimiser.
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Un code de bonne conduite, ça ne mange pas de pain...
Paradoxe: Merkel est devenue l'écouteuse écoutée. La NSA est comme à la maison en Allemagne.
Les citoyens sont aussi de plus en plus sous surveillance.
Gllissons-nous vers une surveillance généralisée, au nom d'une sécurité dramatisée?
Quelles garanties va-t-il rester? Le problème n'est pas anodin.
La CNCDH s'alarme d'une surveillance de masse.
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- Espionnage économique, le sale jeu américain
- Moscovici et Baroin écoutés sur fond d'espionnage économique
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- Les écoutes permettent aux Américains de connaître à l’avance les positions qui seront défendues par leurs interlocuteurs dans les conversations bilatérales ou les négociations internationales et de se préparer en conséquence.
L’argument selon lequel tous les grands États qui le peuvent pratiquent ce genre d’espionnage n’est qu’à moitié pertinent. D’abord parce que les États-Unis disposent de moyens colossaux. Ensuite parce qu’ils peuvent compter sur la coopération, volontaire ou obligée, d’autres pays qui leur servent de relais. Depuis la Seconde Guerre mondiale, il existe un réseau d’échanges d’informations et de surveillance coopérative, dit «Five Eyes», qui regroupe, outre les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada. Le réseau a survécu au conflit mondial et à la Guerre froide.
L’Allemagne ne l’a pas formellement rejoint mais ses services de renseignements ont été recréés dans les années 1950 par les Américains, ce qui explique mais ne justifie pas la collaboration entre la NSA et le BND. S’il se confirme que la NSA a servi de relais pour espionner des personnalités françaises, le problème prendrait alors une dimension franco-allemande, que Paris s’était efforcée jusqu’à maintenant de minimiser.
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