Davos, ton univers impayable... (sur une air connu)
Malgré la présence de quelques vedettes, pour rehausser l'événement, dont Leonardo Di Caprio, on a cette année le moral au fond des chaussettes dans la station huppée helvète.
Bien sûr, il y a le ski entre deux conférences, les petites douceurs d'après-repas bien arrosés et un séjour gratuit. C'est la princesse qui paie.
Mais l'euphorie des années d'antan, dans ce sélect club, n'y est plus...
La gauche s'y sent cependant maintenant à l'aise, sans complexe, entre copains.
Un bon club, comme le dit un participant assez fidèle:
Comme disait J.Attali, Le Forum économique mondial n'est qu'un "café du commerce", . Selon l'ancien conseiller de François Mitterrand, "les
gens se rencontrent là-bas pour coordonner leurs agendas, planifier
des rencontres ou faire du réseautage. [...] Il ne faut y voir rien de
plus qu'une machine à café mondiale où des gens se rencontrent,
bavardent, se serrent la main, échangent des tuyaux et s'en vont". "Davos
est surtout une opération commerciale, très efficace et très réussie,
où il faut payer pour participer et les places sont très chères", ajoutait jacques Attali, précisant cependant saluer "le génie" de son fondateur Klaus Schwab.
Pour que rien ne change...
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