Il n'y a pas de petites économies
C'est pas bien compliqué.
On peut tout à fait se passer du coup'tif' officiel de l'Elysée, payé comme un ministre.
Bien sûr, dans la plus haute fonction d'Etat, le locataire du Palais ne peut confier le soin de sa toison au premier venu.
Mais il faudrait en parler à Bercy, à Mr Sapin, attitré au Trésor républicain, dont le crâne dégarni ne nécessite plus le passage onéreux de la tondeuse,
La perruquier du monarque de Versailles était aussi grassement rémunéré.
Le bon Monsieur Binet fit des merveilles...
La tradition se perdit...
Mais elle revient en force au Palais
Le précédent monarque avait son bottier d'exception et son horloger de luxe.
Celui d'aujourd'hui ne néglige pas son système capillaire et l'a confié à un spécialiste de haute volée, promu ministre des tifs en quelque sorte, modestement rémunéré et tenu au secret.
On ne saura rien sur les cheveux qui dépassent...
Les ciseaux de la rigueur ne sont pas passés par là.
Le pouvoir ne tiendrait-il qu'à un cheveu?.
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