mercredi 4 janvier 2017

Des fessées qui se perdent...

            Bon, c'est décidé, depuis le premier janvier.  
                                      Définitivement.
      Porter atteinte aux parties les plus charnues de sa progéniture, même modérément, est désormais un crime de lèse-enfant-roi. Il faut brûler les martinets.
    Il y a longtemps que beaucoup de parents avaient compris que, en matière de pédagogie, on peut faire mieux..
  Sauf Outre-Manche, ô my Lord, où une vieille tradition de punition corporelle perdure.
       Il a raison, André, ou du moins le problème est souvent mal posé: la violence n'est pas toujours là où l'on croit, dans l'hypocrisie et le moralisme ambiant.
   Et, comme dit Geneviève, il est des mots pires que des claques, des sanctions plus traumatisantes qu’une fessée.
          Le problème de la fessée reste tout de même posé.
       Par ex. que va-t-on faire en 2017 avec certains prétendants prétentieux?
    De simples remontrances ne suffiront pas.
        Michèle parle aussi pour elle-même.
   Qu'elle soit individuelle ou collective, chinoise ou classique, la fessée a vécu.
        Tout fout le camp...
                                  Mais qu'en penserait ma grand mère?
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