Suites syriennes et mutations en cours.
Irak - Syrie quelle situation géopolitique?
__ Le sécessionnisme aux Etats-Unis; un phénomène de société persistant.
__ Enfin! Le Bisphénol A reconnu comme perturbateur endocrinien au niveau européen.
Mais y a encore du boulot!
__ Système de santé: et si l’exemple venait de l’Utah, aux États-Unis? |
__ Quand les vaches prennent l'air au Qatar
__ Les non vacances de Monsieur Hulot.
Des dossiers radioactifs
__ Allemagne : pourquoi tant de haine contre la Grèce?
La dette y reste entière
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________ Survivors: Ils ne sont pas morts
29 socialistes pro-Macron survivent..
Il y a toujours Pôle emploi...
Députés cherchent fonds pour financer leur chômage, désespérément:
Ségolène Royal, aussi insubmersible que la banquise, retrouve du travail... grâce à Emmanuel Macron. Elle pourra compter les ours blancs. Mais Natacha Polony est priée d'aller voir ailleurs.
__________ __ Macron à Bruxelles; dur, dur!
: « L’Europe doit défendre un modèle d’ouverture régulée », explique-t-on à l’Elysée.
Ces initiatives ont fait débat ces derniers jours à Bruxelles, et la discussion pourrait se prolonger au Conseil. Car elles sont loin de faire l’unanimité. M. Macron peut compter sur Angela Merkel, qui a multiplié les signes d’ouverture. La chancelière allemande ne vient-elle pas de reprendre à son compte le projet français de création d’un ministère des finances de l’eurozone ? Paris se félicite en tout cas d’avoir signé avec Berlin une contribution commune sur tous les sujets du Conseil, avec l’objectif de revenir à « l’esprit de coopération qui existait jadis entre Mitterrand et Kohl », dit-on à l’Elysée.
« L’Europe n’est pas un supermarché »
Sur les sujets commerciaux, le soutien allemand est moins évident. Berlin reste préoccupé par les intérêts des groupes allemands en Chine et n’a aucune envie d’envoyer le signal d’une Europe protectionniste au reste du monde, alors que, depuis l’élection de Donald Trump, l’UE dispute à Pékin le statut de leader du libre-échange.
Les Allemands ne sont pas les seuls à faire preuve de prudence sur cette question. « L’Europe est très divisée sur sa manière d’appréhender la globalisation », confirment plusieurs diplomates bruxellois. Danois, Suédois, Néerlandais, Irlandais ou Baltes prônent ainsi des marchés les plus ouverts possible.
Par ailleurs, les pays de l’Est sont contrariés par les velléités françaises de muscler la révision en cours de la directive sur le travail détaché, qu’ils considèrent à visée purement protectionniste. Les propos de M. Macron concernant l’Etat de droit, dans un entretien avec plusieurs journaux européens jeudi, pourraient rendre le dialogue encore plus difficile avec la Hongrie et la Pologne, en guerre ouverte avec Bruxelles. Certains dirigeants « décident d’abandonner les principes, de tourner le dos à l’Europe, d’avoir une approche cynique de l’UE qui servirait à dépenser les crédits sans respecter les valeurs. L’Europe n’est pas un supermarché », déclare ainsi le président français..."
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