Sécurité alimentaire en question.
Se nourrir des fruits de la terre, sous ses formes diverses, directement ou indirectement, fut, reste et restera la condition essentielle de la vie.
La terre, mince et fragile, est notre matrice fondamentale,
La sécurité alimentaire est notre premier droit, conditionnant tous les autres.
Encore faut-il que les terres ne deviennent des marchandises comme les autres, objet de transactions et parfois de spéculations, privant parfois des hommes des conditions de leur subsistance.
La terre n'est pas une marchandise comme une autre, privant les autres de conditions dignes d'existence, comme au Nord-Est du Brésil
Une sorte de Monipoly existe dans certains pays ou dans certaines contrées, mettant en danger, parfois de manuère irréversible, la qualité des sols.
De plus, les terres arables et parfois des plus fécondes s'appauvrissent, se dégradent (pas seulement par les fait du manque d'eau) et parfois disparaissent.
Tout cela exige études et mesures rapides. Mais surtout choix politiques, au sens large.
Les pionniers ne suffisent pas.
Nourrir la planète va devenir de plus en plus compliqué et ne peut être laissé aux multinationales.
La gestion durable des sols est un impératif absolu, comme la conservation et l'entretien du foncier agricole.
Il faut stopper les nouvelles conquêtes de terre, notamment en Afrique, l'accaparement des sols les plus productifs. La FAO devrait veiller à d'avantage de contrôle effectif.
Il y va de notre avenir.
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