Surtout pour les jeunes enfants, les premières victimes.
Cela finit par se savoir et par faire consensus: trop d'écrans nuisent à leur santé, pas seulement psychique, non seulement à cause de leur aspect chronophage et de la captation d'attention qu'ils engendrent, mais aussi par leurs contenus, souvent d'une violence banalisée. Le danger n'est pas toujours mesuré de l'usage non maitrisé des écrans de toutes sortes de certains outils numériques.Plus d'un spécialiste de l'enfance et du développement du cerveau se rejoignent: la consultation immodérée des écrans dès la prime enfance et à proscrire, étant donnés les effets néfastes constatés au niveau psychologique et même physiologique: le développement du cerveau, très malléable dans les premières années, est compromis à plus d'un titre. Les enfants ne devraient pas être abandonnés très tôt au monde numérique pour des usages ludiques ou même pédagogiques, surtout hors de toute surveillance humaine. Ce qu'on compris les concepteurs et les vendeurs de ces objets digitaux de la SiliconValley, qui proscrivent les tablettes pour l'éducation de leurs propres enfants. Les facultés cognitives seraient compromises par un usage abusif des outils numériques. Les recherches se poursuivent sur ce sujet. Mais on sait déjà que le développement affectif et social est atteint à des degrés divers. L'addiction caractérisée aux portables se remarque aussi chez l'adulte, mais l'emprise est bien plus marquée dans les premières années, compromettant les possibilité d' apprentissages multiples et divers et sclérosant l'attention et la vie affective.
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