Une page se tourne.
Et quelle page! ___La fin de la fin de l'Empire postcolonial. La fracture est aussi interne.
La royauté et ses ombres. La reine est morte vive le roi! Mais quel roi sera-t-il? C'est là que ça peut se compliquer...Peu importe pour le gouvernement britannique.. Une icône est partie, certes mais une royauté surtout cosmétique. Mais qu'elle. aurait pu ne pas être. Les vicissitudes de la couronne risque de déboucher sur un délitement. Une histoire pleine d'aléas...et de chiens fous. Vicissitudes de la maison Windsor, aux origines compliquées et aux ambiguités manifestes. L'ombre de George VI plane encore sur le château, comme celle du sulfureux EdouardVIII, qui a poussé trop loin le bouchon...par sympathie...
Tant de cérémonies: shocking!
« Je trône dans l’azur comme un sphinx incompris ;
J’unis un cœur de neige à la blancheur des cygnes ;
Je hais le mouvement qui déplace les lignes,
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. »
" La mystification princeps concerne sa légitimité. Elle incarnait le bien-fondé, le bon droit, la légalité. C’était présomptueux. Elle fut en effet une bien tardive présomptive – ainsi appelle-t-on les personnes désignées pour succéder au souverain et gravir le trône à sa place. ...."[Antoine Perraud]___________
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