Question de croyance?
[On comprend mieux...] |
___________Mais une frange non négligeable de personnes er d'institutions contestent encore ce constat, attribuant les transformations climatiques à des causes (surtout) naturelles, comme les très nombreux changements qui ont affecté l'histoire de la terre. Une remise en question liée encore à l'ignorance ou au déni, mais aussi à l'intérêt, au refus de remise en cause de pratiques, industrielles ou agricoles notamment, qui sont soupçonnées être des facteurs d'accélération et d'aggravation du climat local ou général. C'est ce appelle parfois le grand déni, qui domine encore dans plusieurs pays du monde, notamment aux USA, dans les milieux industriels et conservateurs. Il fut un temps où en France Claude Allègre se faisait le champion de cette cause, au nom de données prétendument scientifiques. On ne l'entend plus. Mais une vague médiatique continue la même musique en France et même au sein d' institutions européennes. Diverses formes de climat-scepticisme continuent à se manifester. Aux USA, c'est plus généralisé et affiché, souvent sans complexe, au service d'intérêts affirmés. Au nom du " libre marché". Refusant les évidences et ramenant tout à un éco-pessimisme punitif et catastrophiste. Comme dit Naomi Klein: « c’est peut-être au moment du désastre ou juste après, qu’il est possible de reconstruire autrement. » ______________________
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire