Pour un temps...
Ecrans au vestiaire. Sortir de sa bulle. Respirer...Parler. C'est une initiative innovante, qui peut servir d'exemple. Un signe en tout cas. Des soirées sans smartphones, qui semblent avoir un succès grandissant. Renouer avec les liens sociaux semble devenir une exigence nouvelle. Déjà, des établissements incitent à s'en passer un temps. Pour refaire société, comme on dit. Volontairement. Pour renouer avec une socialisation mise en péril. La solitude est souvent au bout de l'écran.« Le smartphone est partout dans nos vies et pourtant nous pensons très mal cet objet si familier. L’emprise qu’exerce l’intimité de l’écran nous a conduits à en faire une affaire personnelle. Addiction, narcissisme et désocialisation, la plupart des termes qui nous servent à en débattre le désignent comme l’agent d’une atomisation de la société. Son écran, dit-on partout, a capturé les individus et mettrait en péril la vie privée, l’attention profonde et le lien social. » La nomophobie est un signe de dépendance extrême Un peu, ça va. Beaucoup, c'est problématique. Trop, c'est trop...
Surtout pour nos ados.

Le portable: un grand pas pour l'humanité ou parfois un fléau social?
Ça fait débat...comme on dit.
Isolement et repli sur soi narcissique sont souvent les conséquences d' un usage devenu incontrôlé.
Ce qui réjouit fort les opérateurs, les fabricants et les marchands.
Comme nous le décrit le conteur Nabum, qui montre ici comment des jeunes peuvent faire tenir à leur joujou toute la place, comme si c'était la prunelle de leurs yeux, jusqu'à en devenir invivables.

La nomophobie (no mobile-phone phobia) peut prendre des formes inquiétantes et même quasi pathologiques.
Les plus accros seraient impulsifs.
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