CARNET DE BORD D'UN PASSEUR FATIGUE MAIS EVEILLE...QUI NE VEUT PAS MOURIR (TROP) IDIOT. _____________________________________________________ " Un homme ne se mêlant pas de politique mérite de passer, non pour un citoyen paisible, mais pour un citoyen inutile." [Thucydide]--------------------- " Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti " [A.Camus]
mercredi 25 février 2009
Plus vert que vert
Le vert fait vendre
Ou l'écologie récupérée...
"Le "greenwashing" (grosso modo, "laver plus vert que vert") consiste à attribuer à un produit ou service des qualités environnementales qu’il n’est objectivement pas capable de tenir."
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-"Le terme Greenwashing (traduit généralement par "blanchiment écologique") est utilisé pour désigner un procédé de marketing utilisé par une organisation (entreprise, gouvernement, etc) dans le but de donner à l'opinion publique une image écologique responsable, alors que plus d'argent a été investi en publicité verte (la couleur verte symbolisant ici l'écologie) qu'en de réelles actions en faveur de l'environnement."
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-Les arnaques à l’écologie, pour très bientôt ?
" Le filon de l’écologie et du développement durable est devenu un gros filon... Et là où il y a de l’argent, il y a aussi exploitation voire escroquerie...."
-Trop de vert nuit à la publicité:
"Les retombées générées par une approche résolument tournée vers l’environnement et l’éthique séduisent les entreprises. Toutefois, entre les produits proposés, l’attitude de ces firmes et leur discours, le décalage s’avère parfois criant. Un fossé pointé du doigt par différents acteurs économiques et sociaux."
-Greenwashing, trop vert pour être honnête?:
"De plus en plus de publicité mettent en scène des animaux, des images de la nature et de l’environnement, leur permettant d’associer ces valeurs « pures » à leurs propre produits et / ou services (qui eux ne le sont absolument pas)."
-Blanchiment écologique, ou quand l’environnement fait vendre:
"De plus en plus de publicité mettent en scène des animaux, des images de la nature et de l’environnement, leur permettant d’associer ces valeurs « pures » à leurs propre produits et / ou services (qui eux ne le sont absolument pas).
Ce type de pratique, qualifiée de « blanchiment écologie » par lalliance découle d’un manque de contrôle de la publicité effectué par Bureau de Vérification des Publicités (BVP)"
-Observatoire indépendant de la publicité:
-Greenwashing - La mascarade écologique:
" ...il est évident que les grandes marques de ce monde n'ont d'autre choix que de prendre le tournant environnemental dans le but de se forger un capital de sympathie auprès des éco-consommateurs dont le nombre ne cesse d'augmenter.Mais est-ce réellement le début d'une ère nouvelle ou plutôt une image savamment travaillée à coup de campagnes marketing ? D'après vous ?Les campagnes publicitaires aux allures «éco-bio» qui ne sont en réalité que de la poudre aux yeux pour se donner une image publique responsable, sont tellement nombreuses que le terme désignant cette technique se nomme «Greenwashing» ou «mascarade écologique»!
-Peugeot s'adonne au "greenwashing":
"une technologie plus propre pour plus de plaisir". C’est le slogan accolé à la publicité pour la 4007, le tout dernier 4x
-FRANCE 3 - Luttons contre le greenwashing !!
-Cérémonie de remise des Prix Pinocchio 2008 (Greenwashing)
-Greenwashing - Wikipédia
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Manipulation des signes:
"Pas une grande entreprise qui n’affiche sa vertu. À l’analyse, les prétentions éthiques semblent plutôt se rapprocher d’une logique de simulation, pour parler comme Jean Baudrillard (Cf. Simulacres et simulation, Galilée, 1985). Plus que des stratégies rhétoriques, ces démonstrations de responsabilité opèrent dans l’ordre des signes et de leur manipulation. L’enjeu pour ces entreprises, c’est la réputation, donc le travail sur ce qui risque de préoccuper les esprits soupçonneux. D’où l’importance des rapports et autres outils de communication. Car, au final, dans cette logique de simulation, ce n’est pas tellement l’action sur la réalité qui compte, mais tout le travail de mise en avant de convictions qui finit par tenir lieu de référence à la réalité. La transformation de celle-ci n’est plus alors entrevue que dans une relation complètement distendue, presque accessoire.Sur le cas, connexe et révélateur, des déchets ménagers et de leur gestion, voir une ancienne contribution parue dans Les effets du développement durable, sous la direction de Patrick Matagne, L’Harmattan, 2006. "
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