samedi 7 juin 2014

Au fil du net

*  D-Day: ombres et lumières
           Usa et guerre 39-45: ambigüités
               Une bonne guerre pour  certains.
       La face cachée des libérateurs 
         La France sous les bombes alliées

*  Merkel et Cameron: même combat

* Un Espagnol de plus au chômage...

* Sissi: retour vers le passé
           Les généraux et les affaires

* Duplicité US: l’empire américain dicte sa loi
     Le gouvernement  durcit le ton 
       La faute au dollar
         Deals de justice? __Rien sur les turpitudes de W.Street, Goldman Sachs...
             Too big to jail?

* Boycott d'Israël: appel du journaliste israëlien Gideon Levy
      Colonisation toujours en cours:  1500 nouveaux logements dans les colonies
          Alarmes israëliennes. 
     Fièvre nationaliste dans les rues de Jérusalem
         La  Palestine refuse de disparaître 

* BCE: redécouverte de l'eau chaude
           Enfin! Bonne nouvelle?

* Trop fort!  Pour soutenir la croissance, drogue et prostitution vont être comptées dans le PIB 
      Un PIB à démystifier
         PIB, coke, crack, et lupanar
                                              Discours de Robert Kennedy, 18 mars 1968 ,université du Kansas :
« Notre PIB prend en compte, dans ses calculs, la pollution de l’air, la publicité pour le tabac et les courses des ambulances qui ramassent les blessés sur nos routes.
Il comptabilise les systèmes de sécurité que nous installons pour protéger nos habitations et le coût des prisons où nous enfermons ceux qui réussissent à les forcer.
Il intègre la destruction de nos forêts de séquoias ainsi que leur remplacement par un urbanisme tentaculaire et chaotique. Il comprend la production du napalm, des armes nucléaires et des voitures blindées de la police destinées à réprimer des émeutes dans nos villes.
Il comptabilise la fabrication du fusil Whitman et du couteau Speck, ainsi que les programmes de télévision qui glorifient la violence dans le but de vendre les jouets correspondants à nos enfants.
En revanche, le PIB ne tient pas compte de la santé de nos enfants, de la qualité de leur instruction, ni de la gaieté de leurs jeux.
Il ne mesure pas la beauté de notre poésie ou la solidité de nos mariages.
Il ne songe pas à évaluer la qualité de nos débats politiques ou l’intégrité de nos représentants.
Il ne prend pas en considération notre courage, notre sagesse ou notre culture.
Il ne dit rien de notre sens de la compassion ou du dévouement envers notre pays.
En un mot, le PIB mesure tout, sauf ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue ».
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 - Photos: hier et aujourd'hui
- Revue de presse internationale du 01/06/2014
- Revue de presse du 07/06/2014 
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