vendredi 11 avril 2025

Gaza (suite...sans fin?)

 Jusqu' à quand? Vers l'anéantissement? ou la déportation?

                     On croyait avoir tout vu. Mais tout s'aggrave. Une détresse explosive. Toute proche de l' enfer. Un gouffre sans fin...On ne sait plus trouver les mots pour qualifier cette situation dramatique.. Malgré l'inversion du langage. L' impunité est totale. Même les secouristes ne sont plus en sécurité. La peur domine.                                                                                             La division mine Tsahal, l'armée la plus morale du monde, disaient-ils.. Que pourra faire le Président, dans ce climat   de terreur entretenue?  ? Contre le suprémacisme de Bibi mettant en danger son pays                                                                                              Est-il possible d'aller plus loin dans la destruction et l' horreur?  Pas une journée sans de nouvelles victimes, de nouvelles destructions. Des réservistes de l'armée israëlienne n'en peuvent plus. La dévastation laisse sans voix. Comme c’est le cas depuis un an et demi, il est impossible de rendre compte très précisément de la situation à Gaza puisque le gouvernement israélien bloque également tout accès à la presse. Mais ces derniers développements ne laissent malheureusement plus guère de doute sur la nature réelle des intentions et des actions du gouvernement israélien, et même si c’est bien sûr aux juges de la Cour pénale Internationale qu’il reviendra de trancher la question en dernier ressort, il devient impossible, pour toute personne sensée, d’écarter l’idée que nous avons bien affaire désormais à un génocide au titre des 3 premiers cas de figure prévus par la Convention.t                                                                   Parler de génocide ne fait plus problème pour certains esprits jusque là modérés et prudents:   


                                                                                                                            Point de vue:              " Jusqu’ici, je faisais partie de celles et ceux qui refusaient d’employer le terme de « génocide » pour désigner la sale guerre que mène depuis un an et demi le gouvernement de Benyamin Netanyahou contre les Palestiniens à Gaza, bien que nombre de responsables israéliens aient exprimé à de multiples reprises des intentions qui étaient clairement génocidaires à ce sujet. Il me semblait que les qualificatifs de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité étaient suffisants pour caractériser de tels actes. Et il me paraissait important de ne pas prendre le risque de galvauder le mot de génocide.             Mais aujourd’hui il n’est plus possible d’en rester là. Le gouvernement israélien a en effet rompu unilatéralement la trêve signée sous les auspices du président Joe Biden pour reprendre la guerre et les bombardements, condamnant ainsi selon toute probabilité les otages survivants tout en causant de nouveau la mort de milliers de civils supplémentaires, dont de très nombreux enfants.      Mais il ne s’est pas contenté de ce crime-là. Il a aussi instauré depuis plus d’un mois maintenant un blocus complet de l’enclave, ne laissant entrer à Gaza ni nourriture, ni carburant, ni eau, ni électricité, ni médicaments. Ce qui fait que non seulement la famine règne partout dans l’enclave mais l’eau potable y fait aussi défaut ainsi que l’accès aux soins les plus élémentaires...."   __________________

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