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mercredi 24 décembre 2008

Sale temps pour les riches !

Pauvres (trés) riches !

Quand la presse financière s'apitoie..._________

-"L’argent, plus on en a, plus on risque d’en perdre. Surtout si ces milliards de dollars suivent le cours de la bourse"

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"Les riches sont touchés par la crise. Certes, ils sont loin d'être au bord de la faillite, mais ils voient la Bourse faire du yo-yo. L'avenir est tellement incertain ; ils sont nerveux, plus prudents", explique Russ Alan Prince, président de Prince & Associates, à l'origine de l'étude."Je comprends ce qu'ils ressentent, moi-même j'ai dû renoncer à acheter une Maserati à mon amie de la Côte ouest et moins de diamants à celle de la Côte est", ironise un lecteur du site du Wall Street Journal, qui a dévoilé l'étude le 18 novembre.

-Qu'en est-il des 3 millions d’Américains qui ont perdu leur logement depuis le début de la crise des subprimes?

-Conte de Noël...


Beverly Hills : "Ce sont les riches qui ont le plus perdu" | Rue89:

"... Niché au 3ème étage d’un immeuble ordinaire, la Beverly Loan Company, une sorte de mont de piété pour nantis, fait en ce moment de sacrées affaires. Comme me le précise son jeune PDG, Jordan Tabach-Bank:"Si je vous disais qui vient me trouver pour obtenir un prêt, vous seriez complètement choquée. Evidemment, je ne peux divulguer l’identité de mes clients, mais je peux vous dire que ce sont des stars, des producteurs, des réalisateurs, des hommes d’affaires, des avocats connus dont personne ne s’imagine qu’ils ont des problèmes d’argent."D’après Jordan, ces clients-là sont pris à la gorge comme tout le monde. Ils viennent déposer des bijoux de prix (il y a un collier d’une valeur de 300 000 dollars) ou des oeuvres d’art (il y a un Picasso) pour payer soit les hypothèques de leurs palaces, soit leurs employés. Jordan ajoute:"Certains arrivent en vélo dans l’allée et me téléphonent en arrivant pour que ce soit moi qui descende les trouver. Ils ne veulent pas être vus. Imaginez un peu que ça se sache."
Décidément, les temps sont durs..."

-La crise déclasse les riches:
"Trente milliards d'euros : c'est ce qu'ont perdu les dix plus grosses fortunes françaises depuis notre classement annuel effectué l'été dernier. La tempête financière des derniers mois n'a épargné presque personne. Les sociétés cotées ont directement pâti de la chute de la Bourse parisienne, entraînant leurs gros actionnaires dans cette chute. Et même les sociétés non cotées ont perdu de la valeur, comme Auchan, le groupe familial des Mulliez, dont la valeur s'est dégonflée de 6,4 milliards d'euros. La raison : les résultats semestriels, que le distributeur a été obligé de publier pour la première fois au mois d'août, sont en ligne avec ceux de ses concurrents..."

-La crise: les 300 plus riches de Suisse ont perdu 70 milliards :
" La crise financière fait aussi des trous dans le portemonnaie des superriches. Les 300 personnes les plus fortunées de Suisse ont vu leur pactole total fondre de 70 milliards de francs ou 13% cette année, selon le dernier classement du magazine alémanique "Bilanz". Le fondateur des meubles Ikea, Ingvar Kamprad, est toujours assis sur la plus grande fortune de Suisse. Roger Federer fait son entrée dans le cercle des plus grandes fortunes..."
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-Crise financière : Les riches perdent gros..
"L’argent, plus on en a, plus on risque d’en perdre. Surtout si ces milliards de dollars suivent le cours de la bourse. La crise financière américaine n’a donc pas épargné les plus grosses fortunes du pays.

Bill Gates aurait perdu douze milliards de dollars dans la crise des marchés financiers, selon le magazine américain Vanity Fair qui s’est amusé à dresser la liste des vingt-cinq plus gros « losers du marché boursier ». Idéal pour relativiser. Au palmarès, on retrouve le gratin des pionniers du Web :-Steve Jobs (Apple, 22ème) avec 2,3 milliards de dollars perdus.-Jeff Bezos (Amazon, 15ème) avec 4,5 milliards de dollars perdus.-Pierre Omidyar (eBay, 16ème), 4,4 milliards de dollars perdus.En comparant les comptes de ces entreprises cotées en bourse d’une année sur l’autre, Vanity Fair a calculé le pourcentage de perte de ces empires. Avec 91% de perte en un an, Sheldon Adelson, milliardaire américain propriétaire de casinos à Las Vegas, détient la palme. Il a perdu près de 25 milliards de dollars en l’espace de quelques semaines. Dur..."Pour Walton Clan, patron des grands magasins Wal-Mart et second « plus gros losers », la perte de 25 milliards de dollars n’est toutefois pas dramatique. En octobre, la valeur de la chaîne s’estimait toujours à 87 milliards de dollars.

Pas de quoi rejoindre les 3 millions d’Américains qui ont perdu leur logement depuis le début de la crise des subprimes…"

-Les très riches, premières victimes de la crise... - Echos de Russie



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