HORIZONS ET COUPS DE COEUR (ou de gueule)

CARNET DE BORD D'UN PASSEUR FATIGUE MAIS EVEILLE...QUI NE VEUT PAS MOURIR (TROP) IDIOT. _____________________________________________________ " Un homme ne se mêlant pas de politique mérite de passer, non pour un citoyen paisible, mais pour un citoyen inutile." [Thucydide]--------------------- " Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti " [A.Camus]

Ça va jazzer

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samedi 29 février 2020

Savoir raison garder

       Un peu de raison, autant que possible....
                                Pour une fois dans ma vie, je suis assez d'accord avec certains propos de Brigitte.
           Pas elle, bien sûr, l'autre. Il faudrait distinguer l'homme (faillible et condamnable) et l'oeuvre, exceptionnelle (Il faut avoir vu Le pianiste, Dreyfus...).     Sinon, que faisons-nous de quantité d'hommes, qui n'ont pas été des parangons de vertu dans leur vie morale et sociale, que l'on continue à admirer pour leur talent, en littérature comme en d'autres domaines.
        Comme dans l'avis suivant, l'avis de Juliette ou les paroles de Samantha.
    Quelques distinctions s'imposent.
   Fin d'une époque. Heureusement!
        La justice d'abord.

Pas sur le tête!...😝

Publié par Etienne Celmar à 09:05 Aucun commentaire:

La solution

Faits d'hiver aux USA.
                                 Une nouvelle fusillade, comme on ne les compte plus au pays de l'oncle Sam, et de la très influente NRA, qui a pignon sur rue et sur assemblées.
 C'est devenu une routine, là où les armes, parfois les plus lourdes (on n 'est jamais assez protégé!), se vendent encore comme des petits pains.
    Mais une parade radicale a été trouvée.
  Il fallait y penser. Les Zuniens ont du génie.
      Cela va bientôt être la fin des tueries de masse en constante augmentation, notamment dans les établissements scolaires.
  Armer les enseignants et les étudiants ne suffisait pas, comme le préconisait le shérif de la Maison Blanche.
    Offrir ou faire acheter des boucliers pare-balles aux élèves, voilà la solution. Un cadeau utile. A mettre discrètement dans le sac, à côté de la tablette numérique.
    Une offre vraiment bienvenue, après la 291e fusillade dans une école depuis 2013, sans parler des autres.
  Ainsi sont préservés l'esprit du sacro-saint deuxième amendement et...les intérêts philanthropiques de la NSA, qui n'a comme souci que de veiller à l'auto-défense des honnêtes citoyens. Comme elle dit.
    Jamais sans mon arme! Mais aussi jamais sans mon bouclier!
        Que du bon sens. Le GI sur le terrain de combat a bien son gilet pare-balles. Et en Floride, comme dans le Connecticut, c'est la guerre. Pire. L'ennemi est partout. Inattendu, non identifiable. Le voisin, prêt à péter les plombs, le copain renvoyé injustement de son établissement, le déséquilibré hors de contrôle.
   En Absurdoland, il faut s'attendre à tout, partout.
   On est dans l'ordre de l'intime, le marché des armes- pas que des petites!- est grand ouvert et il y en souvent plusieurs dans le salon familial.
     En mars dernier, le New York Times faisait part d'un bien triste constat: depuis la tuerie de l'école primaire Sandy Hook, le 14 décembre 2012 dans le Connecticut, 148 personnes sont tombées sous les balles d'assaillants dans le milieu scolaire. Ces tueries de masse ont boosté le marché des équipements et systèmes de protection aux États-Unis. Rien que l’année dernière, les ventes ont atteint les 2,7 milliards de dollars (environ 2,3 milliards d’euros). Car la sécurité a un coût: les plaques Unequal avoisinent les 130 euros...."
   Gagner sur les deux tableaux, il fallait y penser.
         Les protestations de masse contre l'utilisation aveugle et ultra-permissive des armes de tous calibres n'ont pas produit l'effet escompté. Pas plus que les larmes d'Obama. Dur, dur, d'aller contre le business ambiant. 
     Pray and cry: c'était tout ce qui restait à faire. Maintenant, il y a protect yourself with Unequal.
       Un grand progrès. On a bien des boucliers anti-missibles. A échelle plus réduite, avec les boucliers personnels, nulle doute que la mortalité accidentelle ou volontaire violente va baisser spectaculairement.
  Puisqu'on ne peut pas contrôler le développement  des guns (c'est génétique), on va pouvoir permettre aux fêlés de la kalach'  d'exercer leur passion sans risques.
        En attendant que la civilisation vienne adoucir les moeurs et contrecarrer les habitudes ancestrales, puisqu'il n'y a plus de bisons ou d'Indiens à shooter, sortez votre bouclier!
     On peut toujours s'inspirer des paroles d'Einstein: La folie, c'est de faire toujours la même chose et de s'attendre à un résultat différent.
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Publié par Etienne Celmar à 07:55 Aucun commentaire:

vendredi 28 février 2020

Laïcité

Toujours y revenir      (Petite piqûre de rappel) 
                           A l'heure où l'intolérance monte, où les intégrismes, les fondamentalismes s'affirment ici comme ailleurs, en sommeil ou en action.                                                             Contre la laïcité positive ou la laïcité libérale...
    Voilà une notion, récente dans l'histoire des hommes, qui souffre de variations sémantiques qui dénaturent parfois son sens profond et qui nécessite de fréquentes mises au point.
   Une notion qui prête souvent à équivoque, qui peut être détournée de son sens, qui peut être aussi parfois instrumentalisée. Les principes de la laïcité, contrairement à ses détracteurs, s'inscrivent dans l'exigence de la liberté mais aussi de la vie apaisée en commun. Liberté de croire, mais aussi de pratiquer, à condition que cela ne trouble ni le respect dû aux personnes , ni l'ordre public. Le domaine des convictions intimes ne relève pas de la fonction étatique.   La laïcité va dans le sens de la pacification des rapports humaines, respectant la diversité potentielle des adhésions intimes.
    On voit bien ce que représente (encore) son contraire, le confessionnalisme agressif, l'intrusion du religieux dans la vie sociale et politique, sourde, insidieuse ou violente comme dans l' Egypte d'aujourd'hui ou le mouvement évangélique aux USA sous plusieurs formes ou ailleurs, les tentatives de groupements de s'immiscer dans la sphère de l'Etat à leur profit.
   Cette notion, mise en musique par les pionniers comme Condorcet et Ferdinand Buisson, peut être biaisée par des politiques eux-mêmes, par ignorance , intérêt ou arrière-pensée.
     La laïcité n'est ni positive, comme le disait Sarkozy, ni "libérale" comme le prétend Macron.
   Marlène Schiappa, brisant le silence ou l'ambiguïté du gouvernement, fait un rappel nécessaire aux valeurs fondatrices de la République.
    La laïcité bien comprise ne peut être marquée du sceau de la  radicalisation.        Elle peut être seulement exigeante et vigilante. Parler à son égard de religion laïque n'a pas de sens. 
   Qu'elle soit régulièrement en débat est normal et nécessaire, au-delà des idées reçues.
    La laïcité, c'est une liberté.
      Mais jamais définitivement et solidement établie. Elle restera toujours un combat.
   Il importe de sortit de l'ambiguïté macronienne sur le sujet.
               La paix civile est à ce prix.
   La laïcité est d'abord un principe d'unité, de portée universelle, contre tous les communautarismes religieux diviseurs et conflictuels et les risques de dérives sectaires.
__Une longue histoire. Un combat, un long combat, une vigilance permanente, de nouvelles réaffirmations quand changent les bases historiques, culturelles, quand surgissent de nouveaux lobbies, de nouvelles intolérances ou de prétentions hégémoniques de groupes religieux. L'idéal de Condorcet et de J.Ferry est toujours à réactualiser, sans céder aux pressions et aux "accomodements", aux dérives anglo-saxonnes, états-uniennes surtout.
_De ce point de vue, "
La Laïcité est inséparable de valeurs, issues des Lumières, valeurs liées à une distinction claire entre ce qui est savoir et ce qui n'est que croyances. L'Ecole n'a pas à respecter ni à reconnaître des croyances particulières, car ce n'est nullement son affaire. Elle doit surtout se garder de mélanger les genres afin de préserver la liberté intellectuelle et critique des futurs citoyens, rendre possible une certaine distance à l'égard des identités, de l'ordre de la vie privée.". Distance, mais non renoncement.
__Le problème soulevé aujourd'hui par les manifestations parfois ostensibles d'un certain islam en France et en Europe oblige à redéfinir plus clairement la notion de laïcité, sans tomber dans le piège du rejet agressif et global d'une croyance souvent paisiblement pratiquée par ceux qui s'y réfèrent encore. Certains critiques de l'Islam, au nom d'une laïcité instrumentalisée, n'hésitent pas à franchir le pas de l'exclusion culturelle ou
 du racisme masqué.
___Ce débat peut aider à mieux poser le problème.
Un débat qui ne sera jamais clos, on peut le prévoir aisément...

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Publié par Etienne Celmar à 09:43 Aucun commentaire:

jeudi 27 février 2020

Qui sont les fous?

L'ami de Montaigne a tout dit, ou presque.
 Il pensait  à la bonne folie qui pousse des hommes à dépasser leurs limites, hors de toute "sagesse" conforme, pour créer et explorer de nouvelles voies.
Contre l'immensité de ceux qui font dans la démesure et l'absence de raison, victimes de leurs passions aveuglantes, dont le narcissisme le plus exacerbé et le dogmatisme le plus étroit produisent toujours les mêmes effets: la certitude en tous points, l'intolérance, l'exclusion.
Il y a toujours un peu de folie dans l'amour mais il y a toujours un peu de raison dans la folie. (Nietzsche)
                                                                    ______________________________

Publié par Etienne Celmar à 11:03 Aucun commentaire:

La peste

Ils ne mourraient pas tous...
                                     Mais beaucoup étaient frappés.
    La santé de nos agriculteurs toujours en question.

    Depuis les travaux de Marie Robin surtout, les doutes ne sont plus permis. L'agrochimie de papa pose problème, c'est un euphémisme, pas seulement pour la santé des hommes. La qualité des sols, la flore comme la faune se dégradent ou régressent, compromettant l'avenir.
  Heureusement les prises de conscience et les résistances commencent à s'étendre, même au royaume de Monsanto-Bayer.
  L'Argntine se donne à fond, tandis que le Vietnam a dit non. La France louvoie dans l'ambiguïté, reste encore un des meilleurs consommateurs européens de "Bayanto". Et pourtant, trouver des solutions alternatives urge, à l'exemple de certaines exploitations qui innovent, soucieuses de l'avenir, sans sacrifier trop à la rentabilité.
  Dans la panoplie de la chimie à usage agricole, le SDHI est particulièrement visé pour sa dangerosité.
  Un lourd dossier . Les effets de l'agro-business sont mieux en mieux connus. Pas seulement pour les enfants. Il y a urgence. De multiples avis convergent.
  Comment s'en débarrasser? là est la question 
Les résistances et les dénégations sont intenses. Les lobbies continuent leur travail de désinformation jusqu'à Bruxelles. Malgré quelques aveux, on sème le doute. pour retarder les décisions, qui ne peuvent être finalement que politiques., dès lors que la santé publique est en question. We feed the World, mais à quel prix?
    Le chemin de la mutation sera encore long...
       Au nom des saints dogmes de l'OMC, la santé a moins d'importance que les intérêts des firmes phytosanitaires.
          Malgré les intentions du ministre de l'agriculture, on continue à employer en France de plus en plus de pesticides:
       ... Voilà ce que révèlent les statistiques que le ministère de l’agriculture a rendues publiques mardi 8 mars. Présentées en périodes lissées de trois ans afin d’intégrer les variations climatiques, elles dessinent une tendance moyenne à la hausse de 5,8 % entre 2011 et 2014. Mais si l’on s’en tient au tout dernier bilan, 2014 apparaît comme la deuxième année noire consécutive. La consommation  de produits phytosanitaires dans le secteur agricole a bondi de 9,4 % par rapport à 2013, qui avait déjà connu une augmentation de 9 %... : les agriculteurs ont acheté 16 % de produits phytosanitaires en plus en 2014. Parmi ces derniers, ceux qui utilisent des molécules suspectées d’être cancérigènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction humaine, accusent une hausse de 13 % à 22 % selon l’indicateur retenu.... le nombre de traitements est de l’ordre de 2,7 sur les choux-fleurs, 8,5 pour les cerises, 10 sur les melons, 12 pour la tomate, 19 dans la viticulture, 35 sur les pommes. Mais les rendements ne progressent pas pour autant : céréales, oléagineux, poires, pommes, betteraves sont moins productifs qu’en 2009..."
                       Evitez les pommes, traitées plus de trente fois.!..  
_______________L'Europe s'apprète à à prolonger la mise en vente d’un herbicide, le glyphosate, pourtant de plus en plus contesté pour ses effets cancérogènes. Le feu vert devait être donné par les Etats membres ces 7 et 8 mars. Selon une note à laquelle a eu accès Le Monde, le vote s’annonçait d’ailleurs "sans fracas". Il était en effet question d’autoriser le glyphosate jusqu’en 2031.
Le lobbying intensif mené par les industriels s'avérait une fois encore fort efficace, puisque l’avis favorable émis au préalable par l’Autorité européenne de sécurité des alimentas (EFSA) était fondé, relève Le Monde, sur des études… "réalisées par les industriels eux-mêmes" ! Et le quotidien de souligner la "crise de confiance"  envers les institutions.
     L’un des principaux composants de son produit phare est controversé : le désherbant Roundup, retiré partiellement du marché.
  Les effets, même OGMisés, sont loin d'être anodins...
     La santé des personnes passe avant les intérêts de certaines multinationales
         La France n'est pas la seule touchée.
            Et si… on bannissait les pesticides?
                         De la ferme expérimentale de la Bourdaisière, en Touraine, à la ferme du Bec Hellouin, en Normandie, l’Institut national de recherche agronomique (INRA) s’intéresse à la rentabilité de plusieurs fermes qui fonctionnent en agro-écologie.
         De plus en plus, l’agriculture biologique apparaît aussi comme un moyen d’être payé le prix juste pour sa production. Pour le céréalier Philippe Fourmet, c’est le système conventionnel qui fragilise économiquement les agriculteurs : « C’est quand vous avez des années difficiles que vous vous apercevez que vous êtes d’une fragilité extrême et que vous dépendez totalement de l’extérieur. »
Le passage en agriculture biologique serait-il une forme d’émancipation? Les agriculteurs reprennent le contrôle sur la manière dont ils cultivent, mais aussi, dans de nombreux cas, sur la manière dont ils vendent. AMAP, Ruche qui dit oui, magasins de producteurs, vente à la ferme… les réseaux de distribution en circuit court se multiplient.
                Les méfaits des pesticides sont mieux connus. Une bombe sanitaire.
    Un espoir: 
                 ... Les scores remarquables des 1 900 fermes qui se sont engagées dans le réseau Dephy, mis en place à partir de 2012 dans le cadre d’Ecophyto, pour expérimenter des modèles de production inspirés de l’agro-écologie et diffuser la bonne parole. En deux ans, ces exploitations ont réduit leur recours aux pesticides : les grandes cultures de 10 %, l’arboriculture et la viticulture de 12 %, les légumes de 15 %, la canne à sucre de 22 % et l’horticulture de 38 % !
Ecophyto 2 devrait donc s’attacher à étoffer ce réseau de pionniers, le faire passer à 3 000 exploitations, puis à 30 000 et même à « 300 000 ou 400 000 agriculteurs qui vont se convaincre mutuellement », pronostique-t-on au ministère. En attendant, la culture bio a progressé de 5,4 % en 2014, puis de 11,8 % en 2015 pour atteindre un peu plus de 4 % de la surface agricole nationale.
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Publié par Etienne Celmar à 08:34 Aucun commentaire:

mercredi 26 février 2020

Dieu est-il en RTT?

Ou aux abonnés absents?                  (bis repetita)
                            C'est la question que l'on est tenté de se poser bien souvent.
    Quand on voit comment "il" laisse se déployer la folie des hommes. Sous des formes parfois les moins imaginables.

      Une bibliothèque ne suffirait pas à en décrire le dixième, sans remonter jusqu'au problématique déluge, événement favorisé par un Dieu vengeur, selon les textes, pour faire un grand nettoyage terrestre. Bon débarras! On efface tout et on recommence à zéro avec Noë, sur du neuf, du costaud. Las! ça n'a pas marché longtemps...
     |Ça continue, et ce n'est plus un mythe. C'est le b******, et pas qu'un peu!
  Il suffit de jeter un oeil sur la situation actuelle en Syrie, de se pencher sur ce qu'est devenu Alep, la splendeur passée, et tant d'autres villes.  On a envie aussi de pleurer sur le sort du Yemen, devenu un chaos sans nom. Après l'Irak et l'Afghanistan.
   Le Liban est un dans une effervescence dangereuse, à la croisée de conflits qui le dépassent.
     Ce sont presque tous les pays du Golfe arabo-persique qui suscitent l'appréhension.
       Aux USA, la maladie des armes engendre un massacre par semaine.
          Etc, etc, etc.... On finit hélas! par s' y habituer.
 Depuis St Augustin, on s'échine à trouver des justifications à ces folies récidivantes, à rendre rationnel l'irrationnel. Le mal serait la contrepartie de la liberté des hommes, mis à l'épreuve. Il serait même nécessaire pour que le bien existe, comme l'estime l'armée des théologiens, comme le prône aussi Leibniz, qui ne s'embarrasse pas des détails; il s'agissait de sauver le Créateur, de sauvegarder son image. La théodicée devenait une tâche difficile: comment défendre l'indéfendable? Mais si Dieu est Dieu, s'il est tout puissant et s'il sait tout, même à l'avance, même le pire prévisible, pourquoi s'est-il mis à une tâche créatrice vouée à l'échec répétitif.?
    Mystère, dira-t-on. L'entourloupe est bien connue, pour contrer le scepticisme toujours émergeant, qui ne peut longtemps s'enfermer dans des paradoxes insoutenables.
     Pourquoi existe-t-il tant de mal, tout étant formé par un Dieu que tous les théistes se sont accordés à nommer bon ? disait Voltaire.
     Tous les théologiens, tous les idéologues de toutes les religions passées, présentes - et à venir - se sont heurtés ou se heurteront - au problème fondamental qui hante l’humanité depuis que celle-ci a pris conscience de son état : le problème de l’existence du mal. ..comment un dieu peut-il être à la fois bon et mauvais, puisqu’on suppose que le Bien, sacralisé et placé au plus haut degré de l’échelle des valeurs, est l’essence même de ce dieu ? Toutes les religions, tous les systèmes théologiques ont posé comme postulat l’existence d’un dieu infiniment intelligent, infiniment bon, et l’on ne comprend pas que, tout à coup, ce dieu bon puisse commettre le mal, ou tout au moins qu’il puisse permettre l’existence parallèle en lui, ou à côté de lui, d’un être infiniment intelligent, certes, mais aussi infiniment mauvais.» (Jean Markale)
  Débats insolubles et vains, qui nous enferment dans des impasses rationnelles et des querelles présupposant une foi. La question de fond..
      Ne doit-on pas conclure,  que l'humanité est encore ensauvagée, que l'humanité n'est qu'un vernis fragile qui peut sauter plus facilement qu'on ne le croit, mais qu'il est vital de renforcer sans relâche.   L'homme civilisé reste encore à construire. Sans fin. Une tâche autant individuelle que politique.
      Comme disait Nathalie Goulet, à propos du conflit du MO, J'ai peur que nos enfants et nos petits-enfants assistent encore longtemps à cette guerre fratricide en terre Sainte où le Dieu des 3 religions monothéistes est sensé demeurer.   Je crois que Dieu est en RTT ou que, comme beaucoup d'entre nous, il a renoncé à tenter de juguler la folie des hommes."
    Les justifications faiblissent.Le téléphone ne fonctionne plus. Les SMS non plus...


Ce qu'est Alep devenue...
Publié par Etienne Celmar à 09:31 Aucun commentaire:

A la trace

Tous pistés?
                     Attention où on met la souris.
         Big Brother vous guette. O Tesquet nous prévient. Après d'autres et la CNIL.
  "..Né en 1987, Olivier Tesquet est journaliste à Télérama. Depuis dix ans, il s’intéresse à la façon dont le numérique, et plus particulièrement la surveillance, recompose notre environnement. Il a produit et animé l’émission « Tout est numérique » à l’été 2018 sur France Inter et a reçu le Prix Relay de la meilleure enquête en 2019. Il est également l’auteur de Comprendre WikiLeaks (Max Milo, 2011) et coauteur de Dans la tête de J. Assange..."
     Dans la navigation numérique, quelques précautions s'imposent, sans être sûr d'obtenir jamais la sûreté absolue.On peut cependant limiter les possibles pistages de toutes sortes. Le risque peut être réduit. Avec un bouclier, c'est mieux. 
     Souriez! vous n'êtes plus pistés...
                                                        ___________________________
                                                        ___________________
Publié par Etienne Celmar à 07:21 Aucun commentaire:

mardi 25 février 2020

Vélorution (suite)

Vélo des villes, vélo des champs
                       Non seulement, c'est pas bon pour la santé...si on n'en fait pas.
   Mais en plus, ça donne des ailes sur les boulevards,
      Le biclou revient doucement à la campagne, après un long abandon, voire un certain mépris.
          Pas seulement pour le loisir.
De bon matin...
Mais, pour le travail distant, c' est plus compliqué pour l'instant.                             
         Tant que je pédale, je suis en équilibre, tant que je pédale, je tourne rond..
                                                       ___________________
Publié par Etienne Celmar à 10:54 Aucun commentaire:

Comment s'en débarrasser?

Nucléaire: démantèlement au programme    (notes)
                                                                  Une question "centrale" .
          Une tâche titanesque, onéreuse et un casse-tête attend la France.
  Ce long processus n'avait pas été pensé réellement et les coûts faramineux n'avaient pas été provisionnés, contrairement à ce qui nous fut dit.
  Aujourd'hui, on débranche.
       Après Chooz, trente ans après, on y sera peut-être encore.
      Après Superphéni,: un échec, trente ans au moins de travail. On improvise en permanence.
      Après Brennilis, où on bricole toujours. Et les autres...
  Une aventure à risques qui n'avait pas été sérieusement programmée. Le métier se perd, disait récemment un haut responsable, au vu notamment du fiasco de Flamanville.
 Les failles actuelles ou à venir ne manquent pas, que relève aussi l'ASN.
      Quantité de questions restent en suspens, rarement abordées frontalement et publiquement, pas seulement en France.
   D'aventures en déconfitures, le nucléaire français demandait des réponses pour le moins plus audacieuses.
  Ce ne sont pas les plans d'urgence, dont on connaît les limites,  qui peuvent rassurer les attentes de la majorité de Français qui souhaite la sortie le plus tôt possible des impasses dans lesquelles nous nous sommes mis.
  Sur le papier, tout paraît (presque) simple.
   Que deviendront les multiples déchets radioactifs?
     Notre transition énergétique accuse du retard, par rapport à d'autres pays.
        Mais EDF sait-elle où elle va?
           Le débat n'est pas près de se terminer...
                                              ______________________________

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Publié par Etienne Celmar à 08:39 Aucun commentaire:

lundi 24 février 2020

Se méfier de l'apparence?

Les apparences sont parfois trompeuses.
Mais parfois aussi, trompeurs sont les jugements qui en parlent.
Qu'y a-t-il derrière la façade?
L'apparence mérite parfois d'être réhabilitée.


Publié par Etienne Celmar à 12:07 Aucun commentaire:

Agriculture au tournant

Agro-perplexité
                      La grand messe de la Porte de Versailles, grande vitrine pour Parisiens hors sol, ne doit pas masquer les mutations en cours et les crises profondes que vit le monde paysan, surtout dans les secteurs  de l'élevage de moyenne grandeur.
   L'agrobusiness galopant en cours va-t-il finir par avoir raison de l'agriculture relativement raisonnée  en vigueur jusqu'ici. Rappelons-nous de l'affaire Lactalis et celle de la ferme des mille vaches.
  Les paysans ont de moins de pouvoir sur leur activité, soumise à la loi du marché.
 La réforme de la PAC fragilise un peu plus des régions entières où la précarité, parfois la détresse, devient de plus en  plus prégnante. L'ouverture  aux marchés, maintenant aussi internationale, crée des inégalités de fait  tant au niveau de la qualité des produits que du niveau de vie des agriculteurs.
    Les précaires invisibles deviennent de plus en plus nombreux, malgré le silence dans nos campagnes.
  Le "malaise" est  la conséquence d'évolutions rapides qui mettent à mal l'exploitation familiale dans ce qu'elle avait encore de traditionnel. le quantitatif tend à primer sur le qualitatif.
  Changer le système, hérité de Pisani, devient une nécessité, sous la poussée de nouvelles exigences et des changements climatiques en cours, ainsi que les exigences de revenus décents dans la concurrence des firmes et de la pression des grands distributeurs.
  La survie est possible à certaines conditions, qui ne dépendent pas seulement des agriculteurs eux-mêmes, mais aussi du contrôle du marché et des aides sélectives accordées, comme on le fait en Norvège et même aux USA. Une profonde réforme de l'aide de Bruxelles s'impose.
  Sans cela, on verra la crise s'approfondir, notamment avec le vieillissement de la population agricole et la hausse du foncier. Nos campagnes à l'abandon, voilà le risque, comme la revente des terres à des investisseurs privés, parfois étrangers.
    Répondre à certaines exigences de fond ne doit plus tarder. C'est une question vitale.
              Entendez-vous dans nos campagnes...♪♫♪
Petits (et grands) paysans

Publié par Etienne Celmar à 09:12 Aucun commentaire:

dimanche 23 février 2020

Brèves du dimanche

__ Graines de Trump.

__ D'abord la réélection.


__ Alstom bombardé number one.

__ Contents, les actionnaires.

__ Banlieue encombrée.

__ Supprimer l' ENA?

__Sapiens: une aventure.

__ Silence! on tue.  SDHI en question.


__ Un record! Icône en question.

__ Une route qui ne mène nulle part.
                                                _______________________________________
Publié par Etienne Celmar à 06:05 Aucun commentaire:

samedi 22 février 2020

L'enfer ?

C'est sur terre.
                  Ou ça peut l'être à tout instant.
     Pas besoin de chercher très loin, surtout pas dans un arrière-monde quelconque.
  Un imaginaire qui a rempli une fonction bien particulière.
Même si les questions furent permanentes:
  Dès le vi s, le pape Grégoire le Grand reco­nnaîssait à regret que l'enfer, cette volonté de discipliner par la peur, au motif que l’on serait plus ­enclin à bien se conduire quand on craint d’être puni dans l’au-delà, ne fonctionnait pas.
    En Syrie, on le trouve un peu partout, à Idlib aujourd'hui, où l'on atteint des sommets dans l'horreur.
            Et, le pire, on s'habitue...
                                                   On cherche un vaccin.

                                                    __________________________

Publié par Etienne Celmar à 11:36 Aucun commentaire:

Chut! on privatise...

A bas bruit.
           Les voyages, dit-on, forment la jeunesse, mais ils contribuent aussi à la richesse. Ils ne sont pas que loisirs, ils sont aussi des outils d'échanges et de développement. Depuis longtemps. Qu'il soient urbains ou inter-cités.
  Nous sortons à peine d'un âpre débat sur le statut de la SNCF, pas toujours très clair, où de nombreux aspects sont restés masqués. L'ambiguïté plane toujours. Déjà des présidents de région s'agitent pour introduire du privé  dans les chemins de fer locaux.

    Des erreurs d'aiguillage ont été  commises, pas seulement au Royaume-Uni.
Les réticences ont été nombreuses vis à vis de certaines mesures, même si des aménagements étaient sans doute nécessaires. La question de la dette n'a pas été sérieusement examinée.
     Surtout, les coûts futurs la privatisation envisagée n'ont pas été sérieusement envisagés. (*)
     Un processus et une gestion où le profit tient la première place, où les actionnaires réclament leur dû.
                 ___(*)  ...Cette politique est fortement encouragée par l’Union européenne particulièrement sur le marché de l’énergie (électricité et gaz). Elle est souvent un préalable à la privatisation qui représente un transfert d’une partie, voire de la totalité du capital d’une entreprise du secteur public au secteur privé (Française des jeux, en novembre 2019).
En Europe, la privatisation du rail s’est traduite par une augmentation des prix et une perte de la moitié des effectifs, et ce même dans les pays à forte productivité. En outre, la transition du secteur public au privé induit une précarisation de statut des cheminots. Nous sommes donc bien loin d’une amélioration de service ou d’une baisse des coûts.
     En Grande-Bretagne, on a observé le développement du travail à temps partiel et donc des réductions importantes du salaire moyen. En Espagne, les négociations salariales ne sont plus régionales mais effectuées entreprise par entreprise et sont indicées sur le chiffre d’affaires. En Irlande, on a constaté une augmentation des heures supplémentaires non rémunérées.
     Chez nos voisins anglais, malgré des augmentations de fréquentation, les prix du billet sont six fois supérieurs à la moyenne européenne pour un service de moindre qualité et ont bondi de 25 % (hors inflation) depuis 1995. Un usager britannique dépense en moyenne 14 % de son salaire mensuel dans les transports.
    Les trains anglais demeurent les plus chers en Europe et cela malgré des subventions importantes de l’État anglais. Dans un sondage officiel, 60 % des Britanniques sont favorables à une renationalisation des transports d’autant plus que cette opération permettrait une économie de plus d’1,5 milliard de Livres qui permettrait de réduire les tarifs de 18 %. En outre, la qualité du service s’est détériorée engendrant des retards considérables, des trains bondés et des accidents qui ont marqué la conscience collective (accident de Hatfield en 2000 avec un bilan de 4 morts et 70 blessés).
    Le constat est plus spectaculaire en Allemagne. L’ouverture du rail à la concurrence remonte à 1994 et a engendré un coût social important avec des effectifs qui sont passés de 350000 à 220000. La privatisation du rail reste cependant légère avec seulement 10 % des 33000 km, passés sous gestion privée.
      De 2005 à 2016, les tarifs moyens ont explosé de 40 % pour les trains régionaux (environ 2,2 fois plus vite que l’inflation sur la période) et de 31 % pour les trains longue distance (environ 1,7 fois plus vite que l’inflation). La qualité du service s’est également détériorée avec notamment un train sur quatre en retard et des accidents de plus en plus nombreux.
    Plus loin, le modèle japonais est très marqué par son efficacité et l’absence de retard mais avec un revers de la médaille : la cherté du service. Ainsi, il faut débourser plus de 200 euros pour un trajet de deux heures. C’est l’équivalent d’un aller-retour Paris-Lyon.
    Lors d’une privatisation, l’acquéreur privé intègre dans ses charges le coût du capital qui représente la rémunération qu’il doit verser aux actionnaires et aux agents qui l’ont financé. Ce coût supplémentaire est répercuté sur le prix de vente final et fait croître ainsi le prix payé par le client.
    Fatalement, la privatisation conduit à une augmentation du prix pour les usagers. Seule une situation extrêmement concurrentielle pourrait amener une entreprise privée à réduire fortement ses coûts, ce qui la dissuaderait au final à investir dans l’activité.
    En définitive, on comprend bien que la concurrence pure et parfaite développée par la théorie néoclassique, modèle économique qui vise une situation d’équilibre déterminant les quantités et les prix des biens, ne peut s’appliquer ici. En réalité, « elle est plus rare encore qu’un train italien arrivant à l’heure ». En effet, le marché des services publics s’efforce d’augmenter le bien-être collectif tout en évitant les pertes. Son objectif n’est pas le profit maximum mais la satisfaction maximale de la société, quitte à engendrer un déficit ne répondant pas aux principes de la concurrence. En tout état de cause, « la libéralisation ne conduit pas à une baisse des prix, bien au contraire souvent »...
                                                _______________________
Publié par Etienne Celmar à 09:35 Aucun commentaire:
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Etienne Celmar
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La curiosité est mon plus vilain défaut, le non-conformisme, ma ligne de conduite et l'humour, mon arme préférée.
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Ce ne sont que quelques billets.
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Des analyses ou plutôt souvent des esquisses d'analyses sur des problèmes que je juge utiles pour mieux comprendre le présent et pour penser l'avenir (sans voyance particulière).
Les choix subjectifs, appuyés tout de même sur de nombreuses lectures, ne manquent pas, mais l'esprit humain est ainsi fait que la neutralité pure ne peut être qu'un mythe. Ne pas choisir est encore un choix, surtout en matière sociale et politique.
Il va se soi que je ne prends pas toujours à mon compte l'entièreté des documents sur lesquels je m'appuie, mais j'assume.
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