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dimanche 27 mai 2018

Survol

__ Paradoxe britannique à "Londongrad".
          Les oligarques russes posent moins de problème au bord du Léman.
                    Mais que fait Poutine?

__ Ryanair, c'est toute une aventure.
                   Low cost, low security, great profitable business.

__ Ubu est-il passé par là, logé dans l'algorithme de Parcoursup?
                     Un « bizutage de notre jeunesse »?

__ Les fonctionnaires, des espèces menacées?

__  Mark Zuckerberg a fait des petits.
             Malgré ses confessions à N.Y. et à Bruxelles, le petit génie de Facebook ne changera rien d'essentiel.

__ Après Police Academy, voici Marion Académie, sous le patronage de Millon et Bannon.

__  L’Italie après les élections du 4 mars: inconnues et certitudes.
                  La lutte pour une autre Europe vient-elle de commencer?
                       Vers l’agonie de l’Union européenne ou une nouvelle donne enfin négociée?

___ Point de vue sur la déroute au Venezuela:
                                                   ... La politique économique bolivarienne n’a rien à voir avec un changement révolutionnaire anticapitaliste ou avec une métamorphose des relations sociales de production. Le processus bolivarien a plutôt été une variante des politiques économiques dérivées dudit «rentisme pétrolier» qui avait déjà été expérimenté lors du premier gouvernement de Carlos Andrés Pérez (1974-1979). La composante idéologique et certains discours anti-impérialistes et anti-entrepreneuriaux trompent la plupart des analystes qui étudient les discours des présidents et non leurs politiques spécifiques.
      Bien que le gouvernement bolivarien ait augmenté les dépenses sociales, nationalisé les entreprises, développé des politiques de transferts directs aux plus pauvres et accordé d’énormes subventions dans les services publics, la centralité de sa politique économique n’était rien d’autre que la poursuite de l’appropriation et du gaspillage des revenus pétroliers, avec l’aggravation de la consolidation de politiques de «contrôle» qui n’ont fait qu’accélérer les processus de destruction de l’agriculture, de l’industrie et du commerce en faveur de l’enrichissement du capital importateur-financier et de l’engraissement d’une caste militaro-bureaucratique hyper-corrompue qui pille la nation, jusqu’à l’appauvrir à des niveaux jamais vus auparavant sous ces latitudes....
                    Qui a dit que le pétrole était l'excrément du diable?
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