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mardi 25 février 2025

Eh oui!

 Ça peut aller loin...

     Une addiction, parfois jusqu'à la nomophobie

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Il y a complot et complot...

 Il faut se méfier des mots

                   Complotisme et vérité alternative

Accuser quelqu’un de “complotiste” revient souvent à le disqualifier d’office, comme s’il délirait, comme si les complots n’existaient pas.


♦️Pourtant, l’histoire est jalonnée d’intrigues, de manipulations d’État et de mensonges institutionnels avérés. Croire que ces dynamiques auraient soudainement disparu au XXIe siècle relèverait d’une naïveté historique. L’idée même de complot est inhérente aux jeux de pouvoir depuis l’Antiquité.
➡️L’assassinat de Jules César en 44 av. J.-C. résulte d’une conspiration menée par des sénateurs romains. La conjuration de Catilina (63 av. J.-C.), révélée par Cicéron, montre comment des groupes politiques peuvent s’organiser secrètement pour renverser un régime. Ces dynamiques n’étaient pas marginales : elles structuraient la politique.
➡️ Machiavel, dans Le Prince, analyse la manipulation et l’usage du secret comme outils de gouvernement. Plus tard, en 1688, la Glorieuse Révolution entraîna la chute de Jacques II dans le cadre d’un complot soutenu par des élites anglaises et les Provinces-Unies.
♦️L’histoire contemporaine ne fait que confirmer la permanence du secret et de la tromperie dans les sphères du pouvoir :
➡️ L’affaire Dreyfus (1894-1906) : Une manipulation au sein de l’armée française a conduit à la condamnation injuste d’Alfred Dreyfus sur la base de faux documents. Ce n’est que grâce à des journalistes comme Émile Zola (J’accuse… !) que la vérité éclata.
➡️ Le scandale du Watergate (1972-1974) : Une opération clandestine menée par l’administration Nixon pour espionner le Parti démocrate démontra l’usage systématique du mensonge au sommet de l’État américain.
➡️Les armes de destruction massive en Irak (2003) : Le secrétaire d’État Colin Powell a présenté de fausses preuves à l’ONU pour justifier l’invasion de l’Irak. Des enquêtes ultérieures ont montré que ces informations avaient été fabriquées.
Bref, disqualifier toute hypothèse de complot sous l’étiquette de “complotisme” pose un problème intellectuel : si l’histoire démontre leur existence, pourquoi refuser d’examiner cette possibilité aujourd’hui ? Il ne s’agit pas de sombrer dans la paranoïa, mais d’adopter un esprit critique capable de distinguer faits établis et simples conjectures
Ainsi, la vraie question n’est pas : “Les complots existent-ils ?”, mais plutôt : “Lesquels sont en c[ours aujourd’hui ?” [ Post de P. Santilly, psychologie.] ________________

lundi 24 février 2025

Fiction?

           Un certain parallèle 

             


                  Et des analogies 

                      

                       


Un projet inquiétant



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Au pied du mur

 Tournant historique

Après un scrutin complexe, des résultats sans appel

    Les alertes n'ont pas été efficaces. La question allemande revient sous une nouvelle forme, plus inquiétante.


 On peut résumer ainsi la situation:                                                                                                                                             : TRIOMPHE DE LA DROITE DURE ET DES NÉO-NAZIS

«Où que nous regardions, l'ombre gagne. L'un après l'autre les foyers s'éteignent. Le cercle d'ombre se resserre.» Aimé Césaire
La résistible ascension du fascisme dans le monde se poursuit. Notre regard se tourne vers l'Allemagne, pays que l'on espérait immunisé, après avoir fait basculer le monde dans la guerre totale, la barbarie raciste et le génocide il y a 80 ans. Il n'en est rien. Le résultats des élections législatives qui ont eu lieu en Allemagne ce dimanche 23 février 2025 nous rappelle que rien n'est jamais acquis, et que la pire des obscurités peut regagner du terrain à tout moment.
⚫ Premier enseignement du scrutin : une participation très élevée.
Les autorités estiment qu'entre 83 % et 84 % du corps électoral s'est déplacé dans les urnes. C'est le niveau de participation le plus élevé depuis la réunification du pays après la chute du bloc de l'Est. Autrement dit, on ne peut même pas se rassurer du résultat désastreux par un boycott populaire des urnes : ce sont des dizaines de millions de personnes qui ont plébiscité la droite radicale et l'extrême droite, dans le pays le plus peuplé et le plus riche d'Europe.
⚫ Deuxième enseignement : le triomphe de la droite.
Le grand parti conservateur, la CDU qui est l'équivalent des Républicains en France, fait carton plein avec autour de 30% des voix selon les premiers résultats diffusés par les médias publics. Comme en France, ce grand parti de droite s'est radicalisé ces dernières années : plutôt centriste à l'époque de la chancelière Angela Merkel, il s'aligne désormais sur les positions les plus réactionnaires. À sa tête, un certain Friedrich Merz, qui est à la fois politicien et homme d'affaires, et qui a notamment travaillé pour la banque HSBC. Toute ressemblance avec un certain Macron est tout à fait fortuite…
Il y a quelques jours, cet homme a brisé un tabou absolu en Allemagne, en votant une résolution anti-immigration avec l'extrême droite. Un fait inédit depuis la chute du nazisme, qui a provoqué de grandes manifestations dans tout le pays.
Merz est décrit comme «conservateur sur les questions sociétales» notamment concernant les LGBT ou l'avortement. Il s'oppose aussi à la parité hommes-femmes, au gouvernement comme dans son parti. Économiquement, c'est un ultra-libéral qui veut durcir les règles d'indemnisation du chômage. Ici encore, toute ressemblance avec la France... Enfin, Merz veut «des mesures drastiques contre l'immigration» et investir massivement dans l'armement pour «rétablir les capacités de Défense» du pays. Quand l'Allemagne se droitise et se réarme brutalement, il faut s'inquiéter sérieusement.
⚫ Troisième enseignement : les néo-nazis de l'AfD poursuivent leur ascension fulgurante.
Si le Front National a mis plusieurs décennies à atteindre le niveau qu'on lui connaît, L’Alternative pour l’Allemagne – AfD – n'a qu'une dizaine d'années ! Le parti arrive en deuxième position et obtient près de 20% des voix. Il double son score réalisé lors des précédentes élections. Et l’AfD est un mouvement qui ne prend même pas la peine de faire semblant et ne joue pas la carte de la dédiabolisation.
Ses représentants ont rencontré en 2023 d’autres groupes néo-nazis pour discuter de la possibilité d’expulser d’Allemagne des millions de personnes. Cette conférence avait eu lieu à Wannsee, une commune au sud de Berlin très symbolique : c’est là que les nazis avaient élaboré la solution finale. La devise des SA était «Alles für Deutschland», l’un des slogans de l’AfD est «Alice für Deutschland», Alice Weidel étant la cheffe du parti.
Un responsable de l’AfD avait jugé, début 2024, que tous les SS «n’étaient pas des criminels». L’une des affiches de campagne du parti comporte le slogan «Nous protégeons nos enfants», et montre une famille blonde aux yeux bleus, avec les deux parents bras tendu, comme un salut nazi, se rejoignant pour former un toit au dessus de leur progéniture. Juste avant le scrutin, l’AfD a glissé dans la boîte aux lettres d’habitant-es d’origine étrangère des imitations parfaites de billets d’avion pour un voyage sans retour. Alice Weidel salue ce soir le «résultat historique» de son parti et se réjouit : «Nous n’avons jamais été aussi forts au niveau national».
L’AfD a bénéficié du soutien total, depuis des mois, du clan de Donald Trump et en particulier d'Elon Musk, qui a mis sa plateforme au service de l'extrême droite allemande durant toute la campagne, et a personnellement publié des dizaines de tweets pour le parti, avec son compte qui bénéficie de plus de 200 millions d'abonnés. Musk est même intervenu dans un meeting de l'AfD pour rassurer les militants néo-nazis, en leur expliquant qu'ils ne doivent pas avoir honte d'être allemands et qu'ils sont un grand peuple de guerriers.
L'AfD déclare ce soir : «Nous sommes ouverts à des négociations de coalition avec la CDU» et souligne sa place incontournable : «Sinon, aucun changement de politique n’est possible en Allemagne». En effet, le Parlement Allemand compte 630 sièges, la CDU en raflera autour de 197 et l'AfD presque 140. Ces deux partis pourraient avoir une majorité s'ils s'alliaient.
⚫ Autre enseignement : le parti social-démocrate est mort.
Le SPD, équivalent du PS français, s'effondre alors qu'il était au pouvoir, avec autour de 16% des voix. C'est une chute sans précédent depuis la seconde guerre mondiale. Pour autant, vu de France, ce score reste étonnamment haut pour un parti de social-traîtres, alors que notre PS est descendu à 2%. À la tête du SPD, on trouve un certain Olaf Sholtz, une sorte de Valls germanique qui était membre de l'aile droite du parti à l'époque du chancelier Gerhard Schröder, et qui a appliqué des mesures néolibérales dévastatrices pour les classes populaires. Comme d'habitude, la gauche qui trahit ouvre la voix au fascisme.
Les Verts, alliés des socialistes, font autour de 13% des voix. Le parti confus BSW, qui mêle une ligne anticapitaliste et anti-immigration frôle les 5%, comme le parti centriste. Die Linke, le parti de gauche, sauve les meubles avec 8% des voix, après avoir beaucoup reculé par le passé.
⚫ Dernier point : quelle coalition pour diriger l'Allemagne ?
Le Parlement allemand sera fragmenté, puisque les élections sont proportionnelles. Il faudra donc former une alliance entre partis. La CDU veut composer un gouvernement au plus vite : «Il s’agit avant tout de former le plus rapidement possible un gouvernement opérationnel en Allemagne, avec une bonne majorité parlementaire. Le monde extérieur ne nous attend pas».
Pour l'heure, la CDU n'osera sans doute pas faire rentrer les néo-nazis dans son gouvernement, et va se tourner vers les socialistes.
À l'issue de ce scrutin assez catastrophique, il y a trois possibilités. La plus probable donc : une coalition mêlant la droite dure et la gauche molle avec l'AfD comme grand parti d'opposition. Ce qui risque de faire monter encore plus le dégoût et la colère, et alimentera le fascisme. Moins probable en l'état actuel des choses : une alliance néofasciste tout de suite, qui aurait la majorité au Parlement mais qui reste inacceptable pour une bonne partie des allemands.

Enfin, et c'est la seule perspective qui ne mène pas le pays le plus peuplé d'Europe vers l'extrême droite et la guerre : une recomposition de la gauche et surtout un puissant mouvement social pour empêcher cet engrenage. L'Allemagne est au pied du mur.    _____     Un score historique  __    Point de vue ___                                                                        

dimanche 23 février 2025

Danger existentiel

    Quel sursaut pour l'Allemagne?

           L'apathie gagne dangereusement

                      Le réveil tarde

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Petit billet du dimanche

__  PFAS

__ Racket

__ Tokamak

__ Fractures?

__ Fracturation

__ Hypothèses

__ Sidération

__ Calamiteux

__ Sidération

__ Das Auto >>

__ Quelle issue?

__ Contribution

__ Manipulation

__ Démantèlement

__ Qui désinforme?

__ Colère écologique

__ Projet Madagascar

__ Faible défense

__ Musk en lui-même

                 ____ Ou l'on reparle des inégalités ____________

samedi 22 février 2025

Un surcroît de raison ne nuit pas

 Surtout par les temps qui courent...

         Une thérapie nécessaire

                 Ne pas céder à l'effroi, malgré la sidération

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Marche arrière vers une agriculture moins raisonnée

 Régression et aveuglement

        La protection de l'environnement passe au second plan en ces temps d'effervescence paysanne. Les tensions ne sont pas apaisées dans nos campagnes, que le pouvoir essaie tant bien que mal de résorber ...pour un temps. Mais le monde paysan, ou ce qu'il en reste, n'est-il pas toujours en situation de tension, étant donné ce qu'on exige d'elle depuis qu''elle est intégrée à l'économie libérale de marché.  Les  enjeux climatiques semblent s'effacer et les concessions reprennent de l'actualité. On verra plus tard pour l'urgence climatique... Un net recul sous l'effet des groupes de pression  de l'agrobusiness. Et pourtant une agroécologie est possible et surtout nécessaire. Si on renonce peu à peu au modèle agricole présent et à sa logique mercantile dans les secteurs les plus productifs. Le renoncement à certaines normes environnementales est inquiétante à plus d'un titre.                            Ce week end, les vaches tiennent salon Porte de Versailles et la visite présidentielle à nos bovins indifférents aura sans doute encore valeur d'apaisement provisoire.                                     Comme avant, lcolère est manifeste. les raisons en ont été partiellement données. Question de normes. De prix aussi, dans la concurrence devenue internationale de produits de base. Une autre politique agricole commune s'impose, pour reconquérir un minimum de souveraineté alimentaire an matière de quantité, de qualité et d'exigences environnementales. L'agriculture n'est pas une production comme une autre, soumise plus que jamais à des injonctions contradictoires.                                                    On parle peu de la diversité du monde paysan, selon les activités et les régions. Peu aussi des inégalités. Toutes les vaches ne vivent pas dans les mêmes conditions ou ne doivent pas répondre aux mêmes exigences. En Bretagne, par exemple, berceau de l'élevage intensif voulu par Pisani, pour des raisons historiques, tout le monde n'est pas logé à la même enseigne et l'agriculture de firme tend à s'étendre. Ce que vise à décrire R. Legendre, ce qui ne plaît pas à tous.


                                                                                                                                                                                      "...François Purseigle et Bertrand Hervieu, sociologues, qui ont publié en 2022 l’ouvrage Une agriculture sans agriculteurs (Les Presses de Sciences Po), font ce constat : « Sept exploitations sur dix en élevage porcin sont des exploitations de grande taille économique. Alors que les exploitations de taille moyenne étaient, il y a encore dix ans, majoritaires en Bretagne, les exploitations dites “grandes” représentent aujourd’hui 37 % des exploitations bretonnes. »                                                                                                                                     "...    Les chercheurs relèvent également que la filière porcine est celle où l’on recense le plus de holdings, des sociétés de gestion de patrimoine financier qui abritent des dizaines d’entreprises agricoles aux formes juridiques variées. Ce qu’incarnent les Le Bihan, Dartois, Kerdoncuff, Crespel. Tous producteurs de porcs. « Cette réalité, souvent niée, illustre l’émergence d’agricultures sans agriculteurs ou dirigées par des chefs d’entreprise éloignés de la figure traditionnelle du chef d’exploitation familiale », expliquent les sociologues. « Dans certaines régions comme la Bretagne, où des filières d’élevage se sont engagées dans un processus de concentration particulièrement net, le nombre d’exploitations de taille moyenne s’est même réduit de près de 40 % entre les deux derniers recensements [ceux de 2010 et 2020 – ndlr] », ajoutent-ils.                                                                                                 Des fermes de plus en plus grandes, aux montages juridiques de plus en plus complexes. Et comme dans un jeu de vases communicants, les exploitations individuelles, elles, sont de moins en moins nombreuses. « Le scénario actuellement à l’œuvre est bien celui d’un accaparement des terres au détriment de candidats à l’installation », estime le rapport Sempastous, consacré à la régulation du foncier agricole.   La fédération nationale des Safer confirme une tendance « vers l’agrandissement d’exploitations existantes plutôt que l’installation de nouveaux agriculteurs. Si ce mouvement se poursuit dans le cadre de l’accélération des départs en retraite, c’est le visage de l’agriculture française [et] la vitalité même des territoires ruraux qui sont en jeu ».   
Les entreprises agricoles de plus en plus importantes deviennent aussi trop grosses et trop chères à transmettre à un agriculteur ou même à un binôme d’agriculteurs. L’organisation du travail au sein des exploitations s’en ressent. La sous-traitance se développe à travers l’essor des entreprises de travaux agricoles (ETA). La Bretagne en compte 850 en 2023, soit près de 6 000 salarié·es. Les éleveurs ont de plus en plus besoin de déléguer des cultures pour se concentrer sur l’élevage...."                                           La Fnsea n'est pas étrangère à cette évolution vers une agro-industrie à courte vue. Une impasse?...Changer de paradigme est un impératif. ___ Pratiques de rupture.___

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vendredi 21 février 2025

Qui est le maître?

 Sans commentaire...

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De tout

__ Vive le roi!


__ The Destroyer


__ Rêve  texan             


__ Gaza instrumentalisé


__ A qui profite l'I A?


_ Silence, on reconstruit


 __ Quand  le shérif accable l'Europe:

                        Libre propos

__ Du côté du Potomac:

               Crise climatique déniée

                    Le shérif de la Maison Blanche n'en a cure

                 "Nous entrons dans un âge d’or de l’ignorance "

__  On est trop souvent tenté de voir en lui un simplet, ou un véritable malade mental. C'est à notre avis passer à côté des faits, et il ne faut pas sous-estimer que sa capacité à transformer ses échecs en victoire dans la presse peut avoir l'air minable, mais démontre sa capacité de persuasion.

1️⃣ Bien que ce projet ne nous plaise absolument pas, nier que Donald Trump puisse avoir un projet est une grossière erreur. Il a su s'entourer et bien que des contradictions semblent évidentes, les retournements de veste constatés montrent davantage que le capitalisme version Trump est quelque chose de très plastique et qu'il sait s'adapter.
Aussi, la récente décision de Trump d'imposer au monde de la recherche de bannir les mots “climat” et “femme”, ne vient pas d'un esprit dérangé.
Ce projet porte même un nom : Projet 2025. La fondation Héritage, think tank conservateur influent, l'a conçu. Il ne sort pas des fantasmes d'un seul individu illuminé.
2️⃣ Que propose t-il en substance ?
Le projet propose d'élargir les pouvoirs du Président, de nommer des fonctionnaires selon leur idéologie. Bref, refonder l'État.
La vision de la famille y est hétérosexuelle, fondée sur la Bible, donc anti-IVG.
Autoritarisme et famille traditionnelle sont la base.
3️⃣ Qu'est-ce que le monde selon Trump... et sa clique ?
Le capitalisme est en crise et à la croisée des chemins. Faut-il continuer comme avant, de manière prédatrice, ou le réorienter ? On vous laisse deviner.
Ainsi on marchande l'aide à l'Ukraine contre ses terres rares ou même on vise les richesses souterraines du Groenland. Dans le monde selon Trump, la voracité va aller jusqu'à épuiser les dernières ressources, au risque d'une guerre.
Le capitalisme façon Trump a n'est rien d'autre qu'un capitalisme autoritaire et extractiviste des plus agressif, c'est la forme qu’a pris le plus souvent le libéralisme économique dans l’histoire comme le rappelle Arnaud Orain dans "Le Monde confisqué".
4️⃣ Dans ce cadre, les luttes antiraciste féministe ou écologistes sont bien sûr des obstacles. S'il y a une urgence climatique, il y a une urgence aussi pour les tenants du vieux monde. Et ce projet là est malheureusement cohérent (à court terme).
Réduire Trump à un simple malade mental c'est ignorer son projet et sa capacité de séduction auprès de dizaines d'entrepreneurs et d'Américains sans emploi.
La science doit générer du profit. Si elle ne sert pas, ou pire, si elle entrave, elle doit être muselée. [Auteur inconnu\] ________________________