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vendredi 22 avril 2016

USA: violence ordinaire

 Balles perdues...
                   Il est une grande absente dans la course vers la Maison Blanche:
                            C'est la question des armes.
      On comprend pourquoi. En faire une analyse critique, c'est se condamner à perdre inévitablement des voix. Trump a fait plusieurs fois l'apologie de l'homme armé, prêt à dégainer. Cela fait partie de son succès dans certains milieux.
     Ce serait aussi passer à côté du soutien financier que la très puissante NRA, lobby majeur,
accorde à ceux qui défendent le Deuxième amendement, la main sur le coeur, ou se refusent à vouloir réformer sur ce sujet. Si Obama a osé naguère fustiger les tueries à répétition favorisées par les armes de guerre diffusées un peu partout, sur un marché peu ou pas réglementé, c'est parce qu'il savait ne pas se représenter.
   Le rapport irrationnel aux armes à feu, au pays de l'oncle Sam, plonge dans une histoire compliquée et est marqué par une violence quasi-fondatrice, qu'entretiennent  las aventures guerrières de la puissance impériale, sur son sol et sur ses fiefs. 
  Le pays, c'est connu, est celui des records en tous genres.
     _______Un certaines presse se nourrit depuis longtemps des "accidents", quasi quotidiennement. Le public en est friand.
   La prison est une industrie, une des plus performantes au monde.
    Il  a plus de prisons que d'écoles.
              Voilà qui aurait laissé songeur Victor Hugo.
   On ne parle pas de toutes les tueries. Une par jour en moyenne. Aujourd'hui encore.
         Les armes représentent une ancienne, étrange et morbide fascination.
                    Le colt fait encore souvent la loi.
  Pas une journée sans un drame
          La NRA défend un droit sacré.
                  Le débat est  sans fin. 
    Un jour peut-être, un homme politique d'exception osera une révolution à l'encontre d'un business si florissant, mais au bilan si sanglant, et d'un système politique si complaisant. Les récentes larmes compassionnelles de B.Obama sont vaines. L'exemple australien est édifiant.
    L'ennemi intime hante la pays, certains Etats plus que d'autres, où le passé n'est pas passé...
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jeudi 21 avril 2016

Histoire de brasseurs

...De vent.
           Brasseur est un métier noble
         
   A l'heure où les bières s'épanouissent et se diversifient au pays de la cervoise.
     Mais brasser du vent est moins passionnant.
    
 Surtout quand c'est au boulot
             Le bore-out n'est pas loin...
                      Le vide de sens, c'est le pire.
                                                     Vous me direz: tant qu'on a un travail...
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Brèves du jour

__ Bercy: Merci pour...les régularisations.
                       On attend la suite, des actes. On est loin du compte. Il y a des verrous à faire sauter.
                                Une goutte d'eau.  Il n'y a pas que Panama...


___Tous unis derrière Gattaz?  non, il y a des "tensions"
                                                    La division patronale n'est pas nouvelle. Des intérêts qui divergent.

__   Libre-échange transatlantique:  les patrons en veulent-ils?
                                                            Cela favoriserait surtout les transnationales.
                                       Le libre échange n'a pas que des vertus...

__    Hinkley: point de rupture? Au plus mauvais moment, dans le contexte d'une EDF mal en point.
                               Les  risques sont dénoncés.

__   Amiante: on n'a pas fini d'en parler.
                                       Les effets sont encore à venir...

__   Le Grand Jeu:. pour une approche géopolitique nouvelle:
                                 Ça continue...
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mercredi 20 avril 2016

Les pôvres!

 Y a pas à dire
                   ...C'est pas çhez nous qu'on verrait ca.
     Se sacrifier ainsi pour l'amélioration des service publics.
             Mais on ne les écoute pas!
       Avec une seule de ces fortunes, on en ferait des choses...
         Ce ne serait que normal.
  Enfin, ce n'est qu'une déclaration d'intention.
        Attendons avant de leur donner une médaille.
   W.Buffet s'était déclaré lui aussi candidat au sacrifice.
        Mais c'était autrefois...
    Comme B.Gates, il préfère la Charity business; ça rapporte plus...
               Régulièrement, des bouffées de "générosité" (ou de mauvaise conscience, voire de narcissisme) poussent certains très riches américains à faire des déclarations qu'on aurait tendance à nommer "civiques".
  Comme disait  Bloomberg, «cette fortune, je ne peux ni la dépenser entièrement ni l’emporter dans la tombe.»
                           Décidément, la théorie du ruisellement ne marche pas.
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Chut! secret d'affaires...

 Les affaires sont les affaires..                                                 [Notes sur un débat en cours]
.                                          Personne n'a à y mettre son nez.
 Sauf que...il y a affaires et affaires..
     La notion de secret des affaires recouvre des aspects variés et parfois contradictoires.
       Le risque est grand quand on l'invoque de tout mélanger: le légitime et le moins légitime.
  Il est nécessaire de répéter qu'un certain nombre d'affaires d'Etat ne doivent pas, du moins pour un temps, devenir publiques et exigent même parfois un secret absolu. Certains secrets d'Etat ont leur valeur. Comme dans certaines dispositions secrètes dans la lutte antiterroristes, certaines négociations diplomatiques cruciales...A condition que ces dits secrets ne servent pas d'alibis à certaines pratiques privées qui n'ont rien à voir avec l'intérêt général ou à des manoeuvres discutables et des pratiques douteuses...    
   De même pour les secrets industriels de fabrication et de pratiques des entreprises, dont il faut préserver le contenu contre intrusions, espionnages et piratages, dans un contexte de concurrence non faussée..
   Mais il est des pratiques dans le domaine économique qui nécessitent d'être portées au grand jour, pour un fonctionnement plus normal, plus légal des affaires. Il est sain de pouvoir dénoncer pratiques douteuses, ententes sur les prix, corruptions, etc...
     Informer n'est alors  pas un délit. C'est souvent le contraire.
  Les lanceurs d'alerte désintéressés, intérieurs ou intérieurs, se révèlent souvent nécessaires pour mettre à jour certaines pratiques déloyales ou frauduleuses, parfois savamment voilées.
      C'est là toute l'ambiguïté de la directive sur le secret des affaires.
   Au sens strict, sans cela, pas de Panama papers, pour ne citer que la dernière affaire mise à jour.
 On comprend donc les réticences et les oppositions devant un texte vague ou biaisé, favorables à certains milieux où l'on préfère la chape de plomb à la lumière trop crue. 
      Telle qu'elle est, la directive sur le secret des affaires menace les lanceurs d'alerte:
 ...Michel Barnier, le commissaire au marché intérieur de l’époque, s’est laissé convaincre et a proposé, en novembre 2013, une directive sur le secret des affaires, une législation a minima qui autorise les Etats à aller plus loin s’ils le souhaitent. Ce projet ayant été largement inspiré par des cabinets d’avocats grassement rémunérés par les multinationales, comment s’étonner que sa première version permettait d’interdire aux journalistes de faire leur métier et de baillonner les lanceurs d’alerte ? En effet, le « secret des affaires » aurait concerné l’ensemble de la société et plus seulement les concurrents commerciaux : « de facto, on passe d’un cadre juridique de concurrence déloyale à quelque chose qui se rapproche de la propriété intellectuelle, sur le modèle américain où le secret des affaires en est une catégorie », explique Martin Pigeon de Corporate Europe Observatory: « l’intention concurrentielle n’est plus requise ».
       Les alertes dites éthiques" risquent d'être sérieusement entravées, vois réprimées.
           Les hommes qui en savaient trop sur certaines affaires doivent être protégés.
     La loi française a un peu progressé sur ce sujet, et reste équivoque et parfois contradictoire.
 Malgré la volonté de création d'un statut unique de protection de tous les lanceurs d'alerte, le dispositif pénal est vague et formel
    Le Conseil d'État a émis un avis défavorable jeudi dernier au dispositif de «convention de compensation d'intérêt public» (CCIP) aussi appelé «transaction pénale». La mesure a donc été retirée de la loi Sapin 2. Cette proposition très symbolique, entendait permettre aux entreprises soupçonnées de corruption de payer une amende -plafonnée à 30% de leur chiffre d'affaires moyen sur les trois dernières années-, sur le modèle américain du «plaider coupable», plutôt que de s'engouffrer dans des procédures judiciaires lourdes, longues et qui n'aboutissent jamais à des sanctions en France.
      Il reste bien du chemin à faire pour progresser contre la pression des lobbies et ne pas tomber dans la répression légale, comme aux USA, dans l'affaire Bradley Manning, qui nous apprend beaucoup sur la justice militaire américaine et le droit à l'information. 
        "...Toute cette affaire, tant le déroulé du procès que le verdict, inquiète de nombreuses associations. Pour l’ACLU, « il semble clair que le gouvernement cherche ainsi à intimider quiconque ayant en tête de révéler des informations de grande valeur dans le futur ». Même son de cloche chez Reporters sans frontières, déclarant que « le verdict sert d’avertissement à tous les lanceurs d’alerte, contre lesquels l’administration Obama est en train de mener une offensive sans précédent, en ignorant l’intérêt public de leurs révélations » (ici).
« Cela menace aussi le futur du journalisme d’investigation, qui risque de voir sa source s’assécher », poursuit l’association. Elle estime que Manning a révélé de « graves abus » commis sous l’administration Bush, en témoigne la vidéo montrant un hélicoptère de l’armée américaine ciblant et tuant une douzaine de personnes dont deux photographes de l’agence Reuters, en 2007, rendue publique par WikiLeaks en avril 2010..."
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mardi 19 avril 2016

To be or nor to be (happy)

 Heu-reux! 
                  (Comme Fernand)

           On n'arrête pas le progrès...
      On connaissait le PIB (Produit Intérieur Brut)
  Voici maintenant le BBI (bonheur brut intériorisé).
                  C'est pas fait pour les brutes.
  Vous pouvez en calculer l'indice, comme au Bouthan.
    Mais c'est fragile...
Google peut vous aider, en vous trouvant le bon algorithme.
    Pas facile, car c'est hors de toute mesure.
               Mais on peut toujours  rêver...☺
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Du côté de l'Alberta

 Nouvelle ruée vers l'Ouest
                                    Visitez l'Alberta
                                                      Ses immensités vierges et sauvages, ses paysages grandioses...
          ...Et ses schistes bitumineux.
                    Sur une superficie équivalente à la Belgique, le Canada met un tigre dans son moteur.
   On vous y attend. à bras ouverts. On embauche. On creuse, on fore, à tours de bras.  Drill, baby, drill!
    Même s'il faut une dépense en énergie considérable pour obtenir du pétrole (l'équivalent d'un baril dépensé pour deux obtenus, au bout d'un processus nécessitant beaucoup d'eau et de produits chimiques, qu'on retrouve ensuite dans les sols et les rivières...
   La splendide forêt d'une région plus grande que la France est la première victime d'une aventure qui s'emballe.
       Un pollution à grande échelle, qui n'est que partiellement contrôlée, malgré les démentis officiels. Bien que peu évoquée ailleurs, elle suscite régulièrement là-bas un tollé.
   Pas seulement dans les milieux écologistes et aussi pour les forages plus "classiques" de gaz de schistes.
   Des scientifiques s'inquiètent. Les lobbies rassurent, comme ils le font pour l'amiante, pourtant en déclin.
        Selon les "autorités officielles" le niveau de pollution serait tolérable. L’exploitation de ce pétrole justifierait économiquement les avantages fiscaux, subsides et autres aides publiques offerts à ces industries. Plusieurs études indépendantes viennent cependant réfuter cette idée. L’industrie du sable bitumineux serait largement plus polluante que déclaré. Mais quel est le poids de l’écologie face aux chiffres ? Le projet d’exploitation en Alberta, au Canada, représente à lui seul une manne de 2280 milliards de dollars canadiens (1600 milliards d’euros). Comment rivaliser avec de pareils chiffres ?
  Face à l’immobilisme des gouvernements qui se soumettent volontiers aux lobbies industriels, les citoyens prennent en main la résistance. Gabriel Nadeau-Dubois, étudiant engagé remarqué durant le printemps érable, est notamment une figure importante de ce mouvement. La très connue Fondation Suzuki fait également pression, notamment en introduisant des recours judiciaires contre les forages de TransCanada. Preuve en est que ces mouvements peuvent avoir une efficacité locale, fin 2014, le premier ministre du Québec marquait ses réserves concernant un projet de port pétrolier au large de Cacouna, à proximité du lieu de vie des bélugas. La lutte continue.
     L'exploitation de l’or noir de la discorde n'en est qu'à ses débuts, selon les prévisions.
  Une  catastrophe écologique  de grande ampleur, plus grande que prévue, se prépare
          Une vision d'avenir à courte vue, dans un pays qui a bien d'autres ressources d'énergie, propres celles-là.
                 Il est plus que temps de penser l'après-pétrole.

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lundi 18 avril 2016

Paléo et néocrétinisme

Le crétinisme a de l'avenir
                                                 Il se renouvelle sans cesse
                                    Pas seulement chez les lapins 
                     Pas besoin d'en fabriquer
      Comme le disait un paléo-crétin, l'ex-Ministre des Affaires Européennes, Denis McShane, qui avait qualifié les opposants à la constitution européenne de « néo-crétins »
      A crétin, crétin et demi. 
 Attention! on peut toujours être le crétin de quelqu'un...

    
Idem pour la connerie d'ailleurs...
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BCE et Allemagne

Turbulances berlinoises
                                      Et guéguerre monétaire.
:                                                               La politique monétaire actuelle de la BCE pour une relance éventuelle de l'économie passe mal à Berlin. C'est un euphémisme.
   La capitale allemande accuse M Draghi de flouer ses épargnants par des taux d'intérêts trop bas.
      Deux logiques monétaires s'affrontent, qui ont aussi des dimensions politiques, électorales.
  On pensait que la BCE était indépendante, c'était du moins ce qui était voulu.
       Mais plus au regard du Dr Schaüble, qui émet de vives critiques sur la politique monétaire menée pas Draghi. Francfort devient un champ de luttes entre deux institutions, deux lignes.monétaires, donc économiques.
    Il est vrai que la voie prise par la BCE est lourde d'incertitudes par ces temps de crise, de récession rampante, et de guerre des monnaies.  Elle paraît jusqu'ici peu efficace et la relance européenne se fait attendre.
  Son discours ne passe pas dans la droite libérale allemande, rebelle par principe à toute inflation, même minime, d'autant que Mario souhaiterait la fin d'une politique monétaire commune.
  Ce n'est pas bon signe pour certains économistes quand la BCE sort l’artillerie lourde et continue à faire marcher la planche à billet pour relancer une production plus qu'atone, éviter une déflation mortelle. A quoi cela sert-il de continuer à arroser le désert?
         On ne voit toujours pas la machine redémarrer.
  Le Dr Draghi doit changer de médecine ou se recycler, pour soigner l’économie européenne.
      Berlin, qui ne va pas trop mal pour l'instant, merci!,fait les gros yeux, la Bundesbank est furibonde: surtout pas d'inflation, même légère et régulatrice. Surtout ne pas revoir le statut d'une monnaie unique qui désavantage par trop les partenaires économiquement inféodés.
  Le magicien de Goldman Sachs voit-il le problème?
        Les mesures annoncées par Mario Draghi indiquent que la BCE a bien pris conscience que la zone euro est confrontée à un risque sérieux de déflation. Les mesures prises pour y faire face seront-elles efficaces ? On peut sérieusement en douter.
  Mais la politique de la chancelière, arc-boutée sur un euro-mark trop fort pour ses partenaires voisins,  l'obsession de l'épargne pour des raisons démographiques mais aussi électorales, tétanisée  par la crainte irraisonnée d'une inflation même minime, n'est guère cohérente avec le principe de l' autonomie de la banque centrale, qui s'efforce d'injecter des liquidité pour éviter une déflation dangereuse, mais sans relancer vraiment la croissance.
   La zizanie fait tache d'huile:  Sapin  recadre Schaüble, le Président de la Bundesbank défend Draghi. L'Europe vacille.
   Tout se passe comme si la BCE devenait un bouc émissaire, alors que Super Mario ne peut décréter un relance.
   Bref, un début de panique et de fronde chez les politiques allemands:
   ...Depuis 2014, la politique de la BCE qui, pour lutter contre le risque déflationniste se fonde sur la « répression financière » est bien moins favorable aux épargnants allemands. Et voici soudain que l’indépendance de la BCE n’est plus aussi sacrée. Depuis, ce week-end, la guerre semble même ouvertement déclarée entre les politiques allemands et Mario Draghi. Preuve que les positions théoriques tiennent souvent davantage à des questions d’intérêts qu’à des convictions bien ancrées. Lorsque l’Europe est moins favorable, l’Allemagne sait aussi se faire critique de l’Europe…
     Schaüble s'en prend vivement à la politique des taux. Des positions pas dénuées d' incohérence, qui pointent le problème aigü des fonds de retraite dans le contexte de baisse régulière de natalité allemande. Une cagnotte pour plus tard...aux meilleures conditions.
     ...le vice-président du groupe parlementaire de la CDU, Michael Fuchs, de prévenir que son parti va aller plus loin dans la protestation en affirmant que « nous ne crions pas encore assez fort. » Dans les colonnes du Spiegel, Ralph Brinkhaus, lui aussi vice-président du groupe parlementaire de la CDU, affirmait que l'Allemagne « devait placer la BCE sous pression pour l'amener à se justifier, sinon rien ne changera ». Bref, l'heure est à la rébellion ouverte contre la banque centrale. Selon le Spiegel, le gouvernement envisagerait même de porter plainte contre la BCE si elle se lançait dans « la monnaie hélicoptère », information cependant ensuite démentie.
      Selon Godin,  en réalité, la BCE agit comme un bouc émissaire commode d'une classe politique allemande en désarroi devant la montée d'AfD. Accuser la BCE d'avoir contribué « pour moitié » à la montée de l'AfD, c'est, pour Wolfgang Schäuble se dédouaner à bon compte de ses responsabilités, non seulement dans le domaine migratoire, mais aussi dans la dégradation visible des infrastructures publiques et des services publics qu'ont généré sa politique budgétaire, mais aussi des conséquences sociales des « réformes structurelles ». Le débat sur la politique monétaire est donc une aubaine pour les Conservateurs allemands pour dissimuler leurs propres échecs et le risque politique qu'ils ont fait naître.
           La fragilité du système financier allemand est ainsi mise en évidence; que la crise de la Deutsche Bank a encore récemment mis en lumière. La politique de la BCE met la pression sur ce système financier parce qu'il est obsédé par des rendements élevés qui sont naturellement trop élevés, et dans certains cas -assureurs- garantis. La faute n'en revient pas à la BCE, mais bien aux banques et assureurs allemands qui, compte tenu de la situation économique et financière aurait dû « déshabituer » les épargnants allemands à ces rendements. Le gouvernement fédéral, si prompt par ailleurs à faire la leçon au monde entier n'a pas jugé bon de réagir. C'est pourtant un problème majeur qui est à la source de l'excédent courant allemand, lui-même source d'un déséquilibre immense dans la zone euro. Si la politique de la BCE alimente des bulles, c'est que des banques entretiennent ces bulles par des promesses démesurées.
    La BCE alimente-t-elle l'euroscepticisme en Allemagne ? 
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dimanche 17 avril 2016

Nouvelles frontières

 Il sera une fois dans l'espace...

  Ils vont marcher  sur Mars.

        Ils ne rêvent (peut-être pas) complètement.
               Même si souvent l'homme di-vague. 
                   20000 lieues années-lumières  dans les airs...
                                  Comme Jules Vernes, qui ne délirait pas toujours.
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