Ça va jazzer

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samedi 4 janvier 2025

Il va nous manquer

So britisch! 

      Le maître en dérision et en autodérision a fait une grande fugue. Un peu sarcastique parfois, mais capable de nous faire hurler de rire...         Rire pour survivre dans un monde devenu plutôt fou. So british!  

Un subtil croqueur de la farce humaine

                                                                                  ___ Sans rire ni humour, que deviendrions nous?


         L'humour, même noir, peut aider à vivre.


                        

__ "La vie est comme une tragédie dont il convient de rire"


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Comment s'en débarasser?

Pour un temps...

       Ecrans au vestiaire. Sortir de sa bulle. Respirer...Parler.                                                                                                                    C'est une initiative innovante, qui peut servir d'exemple. Un signe en tout cas. Des soirées sans smartphones, qui semblent avoir un succès grandissant. Renouer avec les liens sociaux semble devenir une exigence nouvelle. Déjà, des établissements incitent à s'en passer un temps. Pour refaire société, comme on dit. Volontairement. Pour renouer avec une socialisation mise en péril. La solitude est souvent au bout de l'écran.« Le smartphone est partout dans nos vies et pourtant nous pensons très mal cet objet si familier. L’emprise qu’exerce l’intimité de l’écran nous a conduits à en faire une affaire personnelle. Addiction, narcissisme et désocialisation, la plupart des termes qui nous servent à en débattre le désignent comme l’agent d’une atomisation de la société. Son écran, dit-on partout, a capturé les individus et mettrait en péril la vie privée, l’attention profonde et le lien social. »                                                                                                      La nomophobie est un signe de dépendance extrême Un peu, ça va. Beaucoup,  c'est problématique. Trop, c'est trop...

     Surtout pour nos ados.
                            "....Si l’on ne peut pas vraiment parler d’addiction, au sens d’une dépendance qui nécessiterait un sevrage, certains adolescents peuvent développer des comportements particulièrement toxiques vis-à-vis de leur smartphone, au point de se sentir angoissés à l’idée de ne pas l’avoir à portée de main.    Des études scientifiques récentes sur le sujet étayent l’idée qu’une nouvelle névrose se répand dans notre société aujourd’hui, et plus particulièrement auprès des adolescents, ces digital natives, ultra-connectés : l’angoisse ou la phobie de se retrouver sans son smartphone, connue sous le terme de « nomophobie ».     La nomophobie, contraction de « no mobile phobia », désigne une forme de pathologie liée aux technologies modernes, notamment au smartphone et à la peur excessive d’être séparé de son smartphone. La personne redoute alors de ne pas être en mesure de communiquer, de perdre sa connexion, de ne pas pouvoir accéder à l’information ou de renoncer à son confort...."
     Mais n'y a-t-il qu'eux qui sont concernés?
 Le portable: un grand pas pour l'humanité ou parfois  un fléau social?
Ça fait débat...comme on dit.
     Bien qu' étant théoriquement un instrument de communication (même s'il est devenu un objet à tout faire, vrai couteau suisse, multifonctionnel), de mise en relation des hommes, son usage inconsidéré, devenu souvent abusif, voire addictif,  désocialise.
  Isolement et repli sur soi narcissique sont souvent les  conséquences d' un usage devenu incontrôlé. 
Ce qui réjouit fort les opérateurs, les fabricants et les marchands.
    Comme nous le décrit le conteur Nabum, qui montre ici comment des jeunes peuvent faire tenir à leur joujou toute la place, comme si c'était la prunelle de leurs yeux,  jusqu'à en devenir invivables.
 Cette fois-ci, il ne fabule pas. C'est du vécu. A l'école.
     La nomophobie (no mobile-phone phobia) peut prendre des formes inquiétantes et même quasi pathologiques.
    Les plus accros seraient impulsifs.

 

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vendredi 3 janvier 2025

Marketing territorial

Une région est attractive par nature ou ne l'est pas.

   Les Vosges, mon pays de coeur, ont assez de charmes pour être désirables sans tapage


       Surtout mon village natal...

      Pourquoi alors "se vendre"?... comme on disait dans les années 80. ___ "..Matthieu Adam (2016) a montré comment la production des territoires urbains est marquée par l’influence de l’idéologie néolibérale : « cela se traduit par deux phénomènes, d’une part, la marchandisation des espaces au service des intérêts des villes, en concurrence à l’échelle mondiale, et le processus de métropolisation qui concentre les valeurs dans, et autour, des plus grosses d’entre elles ». On peut étendre ce raisonnement à l’ensemble des collectivités territoriales, qui cherchent à attirer les entreprises, les investissements et la main d’œuvre qualifiée, espérant des retombées économiques, en particulier des créations d’emplois et des recettes fiscales..."

 



    

Varia

__ Com'    

__ E-sport

__ Inutile

__ Oubli

__ Uberisaton                

__ Provocation

__ Moralistion?

__ Gigantisme >

__ Limogeage

__ Place nette?

__ Mortelle Europe?

__ Services publics: crise

__ Energie et thermodynamique       _________________

jeudi 2 janvier 2025

Dans le brouillard...

        Accrochons-nous!

              




       Malgré tout!     

                                 






  “La vie, ce n’est pas d’attendre que les orages passent, c’est d’apprendre à danser sous la pluie.”   ♪♫♪           _____________________

Présidentialisme à l'épreuve

Faut-il déprésidentialiser?

                        Et dans quelle mesure? Notre "pôle de stabilité" a ouvert la voie à une aventure institutionnelle inédite. L'homme que les Français ne  méritent pas..(.selon, dit-on, la dame de l'Elysée) cherche en vain une issue, dans un pays déclaré par lui "non réformable"!.. La grenade élyséenne n'a pas fini de produire ses effets dévastateurs...  Un nouvel équilibre est à trouver. De nouvelles voies sont possibles.                                                        La dissolution a été le geste de trop, qui a mené à l'impasse dans laquelle nous nous trouvons.  "...Il faut écouter la fin du propos de François Mitterrand à l’égard du chef de l’État (de l'époque) : « Le premier ministre est son aide de camp, les autres ses ordonnances. Ce qui ne l’empêche pas de surveiller son petit monde de près et d’entretenir une escouade d’attachés obscurs et diligents qui oriente et contrôle, de l’Élysée, les actes ministériels. Les membres du gouvernement savent qu’ils dépendent d’une humeur et pour s’y adapter s’entraînent au dressage qui assouplit l’échine. La plupart y réussissent sans forcer leur nature. Certains en souffrent, mais tirent un mérite supplémentaire de la difficulté qu’ils ont à se montrer serviles. »                                        Et si on modifiait la consititution? En publiant « Sortir de la Ve », Carolina Cerda-Guzman revient efficacement sur les raisons d’en finir avec le régime hyper-présidentialiste actuel. Plutôt qu’un nouveau texte constitutionnel fait en chambre, la juriste propose une méthode pour que les citoyennes et les citoyens participent à son écriture. 


                                                                                                                                                                  
Comme le signalait à l'époque le constitutionnaliste René Capitant, c'est« Une occasion perdue », et « le texte le plus mal rédigé de notre histoire constitutionnelle, [ce qui] restera une cause d’humiliation permanente pour ceux qui ont tenu la plume. » Seule la crise algérienne en cours, censée être résolue par de Gaulle, invite à soutenir le nouveau régime. Car « [s’il] fallait juger le projet de Constitution métropolitaine pour lui-même, isolé de son contexte […], il y aurait peu de raisons de l’approuver .."                                                                                                        Et si le problème majeur consistait à changer une constitution qui ne cadre plus avec les nouvelles donnes de la vie politique, qui ne respecte plus les équilibres des origines, adossée à une figure d'exception et qui encourage une course sans fin vers le pouvoir suprême? Trop de verticalité de la part d'un président devenu jupitérien. Une politique du secret et parfois... du mépris et finalement, au cours du temps, une République affaiblie. Il y a danger à maintenir le système en place.                                                                      Que l'on songe à la critique de Villepin et aux propos de Mendès-France en son temps. Déprésidentialiser est une voie possible et nécessaire. "...En 1962, dans La République moderne, Pierre Mendès France fustigeait la Ve République, qui souffrait selon lui d'une "totale absence d'équilibre entre les principaux organes de l'Etat", la concentration des pouvoirs dans les mains du président de la République faisant obstacle à la démocratie. Que dirait-il aujourd'hui, à l'heure des "hyperprésidents" ? Certes, nombreux sont ceux qui se réjouissent ou s'accommodent de cette prépondérance ; reste que d'autres continuent à raison de s'en alarmer et appellent à repenser nos pratiques et notre Constitution. C'est le cas du think tank Generation Libre, qui publie Déprésidentialiser la Cinquième République, un riche recueil collectif signé par huit auteurs - des chercheurs, des professeurs de droit, un ancien ministre ou encore un préfet.                                                                               "...Un système qui  sape les fondements, en conférant quasiment les pleins pouvoirs à un homme seul, à ses caprices ou ses emportements. Et qui abaisse ou bâillonne toute forme de contre-pouvoirs véritables, qu’il s’agisse des syndicats, des autorités indépendantes ou de la presse. À la volonté de tous, ce système oppose la tyrannie d’un seul.  Maintenant que le gouvernement Barnier vient de tomber, on mesure mieux encore à quel point ce combat démocratique est impérieux. Car, de crise en crise, le présidentialisme français est désormais crépusculaire et est en train d’amener le pays dans un chaos dont on voit mal comment il en sortira.  C’est peu dire que les alertes pointant les ravages du présidentialisme sont anciennes. Elles sont presque aussi vieilles que la République. Elles ont été particulièrement virulentes sous le Second empire : de très grandes voix, comme celle de Karl Marx (1818-1883) dans Le 18 brumaire de Louis Bonaparte, ou de Victor Hugo (1802-1885) dans Napoléon le Petit, ont dénoncé chacun avec leurs mots les errements de ce régime autoritaire. Et tous les républicains de l’époque ont enfourché ce même cheval de bataille, en étant envoyés en prison ou au bagne pour cela..."                   ____________________

mercredi 1 janvier 2025

Souhaits

 Que dire de mieux

    Malgré l'annus horribilis...

                        ___    Le drôle de chat peut faire mieux:
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Le Nouvel An n'aura pas lieu

 ...Le premier janvier

.....A Pékin
          Ils attendront, comme tous les ans.
                                     Il faudra encore patienter.
    Car le calendrier chinois étant un calendrier luni-solaire, la date du Nouvel An chinois dans le calendrier grégorien varie d'une année sur l'autre, mais tombe toujours entre le 21 janvier et le 19 février, lors de la deuxième nouvelle lune depuis le solstice d'hiver quand le soleil se trouve dans le signe du verseau. C’est, comme tous les commencements de mois lunaires chinois, le premier jour d'une nouvelle lune. Par convention, l'alignement astronomique qui signale la nouvelle lune est déterminé à l’observatoire de la Montagne Pourpre à Nankin.
     Comme les Chinois de New-York, de Paris....農曆新年
Avec des rites très particuliers, hauts en couleurs et riches en symboles, "Selon la légende, il existait autrefois un terrible animal (le nian) qui terrorisait les populations. Toutefois, cet animal avait peur de bruit, de la lumière et de la couleur rouge. Pour perpétuer la tradition et chasser les mauvais esprits, les Chinois décorent leur maison en rouge (couleur de la chance et du bonheur), allument des lanternes et lancent des feux d'artifices. De nombreuses villes organisent des défilés grandioses pour marquer l’arrivée de la nouvelle année et chaque famille se retrouve autour d'un repas de fêtes.
    Autre culture, autres moeurs, fêtes et rites...
  En France, la date du jour de l'an a souvent changé.
Pour le 1er janvier, il faudra attendre le 9 août 1564, avec la promulgation du roi Charles IX.
    De vieilles traditions, comme celle de l'offrande des cadeaux, perdurent.
         Faire bombance et ripaille pour une année d'abondance ne date pas d'aujourd'hui.
                                                    BONNE ANNEE!  
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_______* Pour une année forcément réussie, voici un bon programme , c'est pas très compliqué. [Téléchargez la version 2.025 disponible gratuitement sur Gogol, garantie sans virus (de la grippe ou de macronite aiguë...)]
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