En se promenant dans les Vosges
Et autour de Raon aux Bois, mon village bien nommé
CARNET DE BORD D'UN PASSEUR FATIGUE MAIS EVEILLE...QUI NE VEUT PAS MOURIR (TROP) IDIOT. _____________________________________________________ " Un homme ne se mêlant pas de politique mérite de passer, non pour un citoyen paisible, mais pour un citoyen inutile." [Thucydide]--------------------- " Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti " [A.Camus] Pâques 2025: Un million de visites...Merci à vous fidèles lecteurs ou consultants d'un jour!
Qui vient de loin
Une déjà longue histoire... De mythique, symbolique et religieux, la sapin est devenu objet commercial, produit festif voué à la décoration et au support de lumières et de cadeaux.
Le développement vertigineux et la vente massive du produit-phare de Noël font que le symbole n'est plus ce qu'il était. Ras le sapin!
Dans mon enfance (c'était après JC quand même!), le petit arbre symbolique était recherché et choisi avec soin dans la forêt vosgienne proche. C'était généralement un petit épicéa qui n'avait pas la longévité des produits danois d'aujourd'hui, mais qui était destiné à ne rester au salon que quelques jours, avec ses petits cadeaux et ses modestes friandises suspendues qui nous mettaient en joie. La magie de ses bougies (pas électriques) fascinait nos yeux d'enfants, mais juste pour une petite période. Le plastique n'avait pas encore conquis les salons.
Aujourd'hui, dans l'espace du marché -roi, où le Père Noël standard est devenu un excellent vendeur, le "sapin" hors lieu est devenu un produit hautement rentable, à l'échelle quasi- internationale.
Le prix du sapin a suivi les courbes des ventes saisonnières, comme les oeufs au chocolat de Pâques.
Une fructueuse affaire, qui se développe dans le sens inverse des croyances religieuses en voie de disparition, pour l'arbre-culte qui avait intégré une bonne part de la mythologie antique de l'arbre toujours vert, donc en quelque sorte symbole de renouveau et d'éternité.
____ "...Que vous le considériez comme un totem non confessionnel de la fête du solstice d’hiver ou comme un symbole de la Nativité, il y a des chances que vous achetiez encore un sapin cette année. Il brille la nuit de Noël en France dans près d’un foyer sur quatre.
On a beau ne pas vouloir casser l'ambiance...
Ce n'est pas Noël pour tout le monde.
Comment ne pas penser aux personnes victimes du chaos ambiant?
A Gaza comme en Ukraine. Sans parler du Soudan, oublié. Et Mayotte! La fatalité a bon dos!
Dernier Noël de guerre, comme en 1917? On peut rêver, même d'une trêve..
___________________________Austérité ou pas, il passera quand même.
Avec une hotte sélectivement garnie.![]() |
Jan Steen 1665__ St Nicolas |
Et chimiquement problématique
Expériences en cours
Derniers réglages?
Et après? That is the Question....
_________________________La "fée des logis", disait-on...
Une source d'énergie et de lumière qui révolutionna la vie. Si l'exploitation du charbon, d'abord en Angleterre, sonna l'heure d'un développement industriel qui n'allait plus s'arrêter, les débuts de l'électricité, un peu plus tardifs, contribuèrent peu à peu à accélérer ce même envol, jusqu'à se substituer peu à peu aux ressources de la mine. Ce fut une révolution, pas seulement matérielle. En effet, l'éclairage, en particulier, constitua une mutation dans la vie urbaine comme dans les foyers, où chaque membre de la famille fut capable de retrait et de plus grande indépendance par rapport à la cellule familiale, centrée jusque là sur l'unique foyer de la cuisine commune, ce qui ne fut pas sans conséquences psychologiques et sociales .Les prémisses de ces changements profonds se situent au 19° siècle. Toute une histoire...surtout entre les deux guerres, surtout dans les campagnes où put commencer une lente mutation. Jusqu'aux changements d'aujourd'hui, parfois incertains, étant donné le défi des virages énergétiques à affronter.
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Ils seraient trop nombreux, les "mamadous"
Ils sont indispensables, malgré leur précarité
________________________ Enfin!
__ Enfin (2)
__ Inquiétant
Elémentaire! |
__ Brouillard
__ Désaveu
__ Historique
__ Etranglement?
__ L'emmerdeur
__ Choc mondial
__ Annus horribilis?
__ Dévastation sociale
__ Sionisme en roue libre
C'est le projet des suprémacistes israëliens
A Gaza comme en Cisjordanie. Sans parler du Sud Liban. Les mythes peuvent être meurtriers.
Reconstruire sur les ruines? Les volontés colonisatrices concernant Gaza anéanti sont toujours là, comme au Sud Liban, revendiquée comme terre israëlienne, partie de la "Terre promise". La déshumanisation se poursuit. Le piège mortel se referme. Les otages attendront . En France, la censure se poursuit.
«L'accord entre Israël et le Hezbollah ne changera rien. […] La seule solution qui puisse empêcher le retour de l'ennemi chiite, c'est la colonisation juive.» Au début du mois de décembre, alors que l'armée israélienne était accusée par la France d'avoir enfreint à une cinquantaine de reprises le cessez-le-feu au Liban, conclu le 27 novembre entre l'État hébreu et l'organisation islamiste chiite, le mouvement messianiste juif nommé «Uri Tzafon»1 («Lève-toi, ô Nord» en français) affirmait encore sur son groupe WhatsApp la nécessité pour Israël de coloniser la région.Depuis la création d'Israël en 1948, plusieurs mouvements messianiques ont appelé à la colonisation du Liban au sud du fleuve Litani, une région qu'ils revendiquent comme partie de la «Terre promise». Avec pour emblème un cèdre entouré de l'étoile de David, Uri Tzafon a rassemblé plusieurs milliers d'adeptes depuis le printemps 2024 et soutient que la colonisation du Liban serait à la fois une nécessité sécuritaire –un moyen d'«accorder une sécurité véritable et stable au nord de l'Israël», selon les communiqués publiés sur son groupe WhatsApp– et une quête messianiste pour «récupérer» le territoire. ___Uri Tzafon est un mouvement nationaliste «aux origines du sionisme» et qui «considère la Bible comme un cadastre», indique Karim Émile Bitar, professeur de relations internationales à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth et chercheur à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). «Avec l'arrivée d'ultranationalistes au sein du gouvernement israélien, ouvertement en faveur d'une colonisation, ces courants messianistes se font de plus en plus entendre, notamment sur la colonisation de la bande de Gaza et pour certains [comme Uri Tzafon, ndlr] sur la colonisation du Sud-Liban», observe ce spécialiste du Proche-Orient. __ «Attention! Cette terre est celle d'Israël, elle appartient aux juifs. Il vous est demandé de l'évacuer immédiatement.» Au cours du mois de juin, c'est par des drones et des ballons dans le ciel du sud du Liban que ces messages, écrits en arabe, sont parvenus aux habitants de la zone, ainsi menacés d'expulsion. Bien qu'elle reste très minoritaire au sein de l'opinion israélienne, la mouvance inquiète de plus en plus au Liban. Le 20 novembre, le «chercheur» israélien Zeev Erlich, âgé 71 ans, a été tué dans le sud du pays, alors qu'il enquêtait sur une ancienne forteresse en compagnie de la brigade Golani de l'armée israélienne. «L'objectif déclaré de l'entrée [de Zeev Erlich] dans le sanctuaire du prophète Shimon dans la ville de Shamaa était la recherche de preuves historiques liées à la terre d'Israël», a avancé le ministre libanais de la Culture dans un communiqué, accusant Israël de vouloir «occuper la terre, l'histoire et le patrimoine du Liban, s'il trouve les moyens de le faire». Selon le quotidien de centre-gauche israélien Haaretz, Zeev Erlich avait été invité par l'armée israélienne à «évaluer une forteresse» que Tsahal prévoyait de «transformer en poste d'observation». En 1982, en pleine invasion israélienne du Liban pour neutraliser l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) du territoire, des groupuscules orthodoxes ont revendiqué l'annexion du sud du pays du Cèdre. À l'époque, environ 20.000 colons vivaient dans les territoires occupés de Cisjordanie et de la bande de Gaza. Leur influence politique sur le gouvernement israélien est alors dérisoire. Créé en 1974, le mouvement messianique d'extrême droite Goush Emounim (ou «Bloc des fidèles») pousse à l'installation des premières colonies en Cisjordanie occupée et lie ses prétentions territoriales religieuses au sud du Liban, en faisant valoir le récit biblique des tribus d'Asher et de Nephtali –deux des douze fameuses tribus d'Israël– qui auraient vécu dans la région. Leurs revendications sont restées lettre morte auprès des autorités. Mais depuis, la politique d'Israël a bien changé. Et les colons de Cisjordanie, à l'époque isolés, reçoivent aujourd'hui le soutien actif du gouvernement. Dirigeant du parti nationaliste et sioniste religieux Mafdal (ou Parti national religieux), classé à l'extrême droite, Bezalel Smotrich, ministre des Finances du gouvernement actuel de Benyamin Netanyahou, est aujourd'hui surtout fort de son administration en charge des territoires occupés de Cisjordanie. Car leur tutelle, auparavant militaire, est désormais passée au civil. ___ Si la mouvance d'Uri Tzafon est encore ultra minoritaire dans l'opinion publique, des membres du Likoud, le parti du Premier ministre Benyamin Netanyahou, plaident quand même pour qu'Israël conserve un contrôle sur la région en l'occupant. En octobre 2023, le magazine d'investigation indépendant +972 (pour lequel collaborent des journalistes israéliens et palestiniens) avait révélé des documents de l'ancien ministère israélien du Renseignement –dissous en mars 2024– qui projetait une occupation puis une expulsion des Palestiniens de la bande de Gaza, pour permettre l'annexion du territoire, un scénario encore impensable avant les attaques du 7-Octobre..."