La viande est chair chère
L'oeuf: produit anti crise?
Mais les poules suivront-elles? Heuh...pas sûr...
C'est embrouillé...
Une vieille histoire.... _________________
CARNET DE BORD D'UN PASSEUR FATIGUE MAIS EVEILLE...QUI NE VEUT PAS MOURIR (TROP) IDIOT. _____________________________________________________ " Un homme ne se mêlant pas de politique mérite de passer, non pour un citoyen paisible, mais pour un citoyen inutile." [Thucydide]--------------------- " Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti " [A.Camus] Pâques 2025: Un million de visites...Merci à vous fidèles lecteurs ou consultants d'un jour!
La viande est chair chère
L'oeuf: produit anti crise?
Mais les poules suivront-elles? Heuh...pas sûr...
C'est embrouillé...
Une vieille histoire.... _________________
Ce n'est pas le froid qui tue
___ Ce sont certaines conditions économiques et sociales qui affectent les individus La mortalité par le froid est silencieuse. La précarité énergétique reste d'actualité, même à nos portes.Ni oui ni non...
De Wauqiez à Knaffo?
Un arc républicain?
Un mur fissuré
Mais où est-elle passé?
Quand on regarde l'état de la psychiatrie aujourd'hui en France, on voit qu'il n'y a pas lieu de pavoiser. Alors qu'on sonne le tocsin actuellement sur l'état de la santé mentale de plus en plus critique de beaucoup de Français. Les soins dans ce secteur ont été relégué en seconde zône, avec un abandon progressif de la relation singulière au malade, un recul de la thérapie par l'écoute et la parole, faute de spécialistes de moins en moins formés dans ce domaine, dans une tendance de plus en plus marquée vers une technicité dite "scientifique" des soins et le recours à une thérapie chimique de plus en plus massive. La réhabilitation sociale se trouve de plus en difficulté avec le recul des techniques psychanalytiques qui ont fait leurs preuves et n'ont cessé de s'affiner depuis Freud et la mise au jour de la notion d'inconscient. Il est question de ne plus rembourser les soins qu'offre cette voie thérapeutique, qui a fait ses preuves tout en s'adaptant et en s'enrichissant toujours plus. Obsédé par la mesure, la technicité, les approches chimiques, on a fini par ne plus donner sa place à une approche plus qualitative, plus longue, plus personnelle, nécessaire dans bien des cas si l'on veut pas seulement éliminer des symptômes perturbateurs, mais soigner le mal à la racine et dans la durée. Il ne s'agit pas de réclamer l'exclusivité, mais de juger au cas par cas, de donner toutes ses chances à un approche autre que technique, positiviste et purement scientiste. “la pluralité” des approches de la psychanalyse est “absolument fondamentale” et qu’il ne faut pas “réduire l'humain à un simple cerveau connecté”, car si l’on agit comme cela, “on passe à côté de l'humanité du sujet”.
__ Pfas
__ Rêve d'ailleurs
__ Langage fleuri
__ Nouveaux OGM
__ RN; gauche ou droite?__ Conflits commerciaux
__Contenus trompeurs
__Moteurs en panne
__Machines à cash
__Business des vétos
__Capitalisme rentier
__Catastrophisme surjoué
__ Alimentation à deux vitesses
__ Les "patriotes" et les autres
__Question raciale et Républicains
____________ Un ministère de la vérité? __________
Donnez -nous aujourd'hui notre pain...pollué!
Symbole de vie et de partage ancestral, le pain n'est plus tout à fait ce qu'il était. Chez le boulanger du coin de la rue, vantant la tradition, comme chez Marie Blachère, qui fait son pain devant vous...Il y a comme un défaut, vient-on de découvrir: tout serait simple s'il n'y avait que de la farine, de l'eau et de la levure. Un élément étranger y est maintenant présent, après analyse: de l' acide trifluoroacétique😳 La contamination des farines au TFA ne fait plus de doute. Pas sympa pour la santé! Un effet de plus de notre agrobusiness qui marche aux dopants de plus en plus. Nos organismes sont trop exposés aux métaux lourds. Quelles en seront les conséquences?
Bon comme du pain blanc, disait-on souvent pour vanter les qualités d'une personne."Pour une baguette blanche, pas moins de 14 additifs sont autorisés ! Leur nombre peut être encore plus élevé dans les pains spéciaux… Et le pain étant vendu en vrac, il n’y a pas d’obligation d’étiquetage. Impossible, donc, de savoir ce qu’il contient vraiment."Et si dans les baguettes blanches et les "traditions" les substances indésirables restent en deçà des seuils réglementaires, cela n’est pas le cas pour les pains spéciaux. Autorisés, ils sont néanmoins "soupçonnés d'entraîner des effets secondaires", "à partir d'une certaine quantité ingérée".
Bien souvent orthographe varie..
Une déjà longue histoire, parfois compliquée
La citoyenneté et sa formation en péril
Dans la vague populiste montante, il devient de plus en plus difficile pour le citoyen moyen, surtout s'il lit peu et ne dispose que de peu de moyens d'information relativement sérieux, de culture minimale et d'esprit critique un peu exercé, de se forger une relative bonne opinion de la la marche du monde et de ses implications dans le réseau des actions politiques et économiques. De s'informer, quoi! Même si une presse totalement objective n'existe pas au sens strict. Pas plus qu'un relai télévisuel, même non orienté, non marchandisé ou non partisan. Ce qui n'exclut pas des ligne éditoriales différentes. Ne parlons pas des réseaux dits sociaux, qui véhiculent le meilleur et le pire, jusqu'aux fake news les plus grossiers. C'est aujourd'hui au niveau mondial que se pose le problème. Les ados sont particulièrement visés, mais pas seulement. La confiance est ébranlée sur les sujets les plus discutés, où les esprits se crispent, enracinés dans leurs idées préconçues, leurs parti-pris. La polémique domine. Les échanges critiques fondés et argumentés se réduisent au profit d'opinions le plus souvent non vérifiées ou seulement affectives ou partisanes, voire passionnelles. "... Les conditions de l'indépendance de l’information sont les premières à avoir été balayées. Dès la fin de la décennie 2020, les grandes entreprises du numérique ont définitivement capté le marché de la publicité. L’assèchement des recettes publicitaires a conduit tous ceux qui en dépendaient, même partiellement, à la faillite. Plusieurs acteurs de l’information autrefois essentiels sont devenus une cible de choix pour ceux-là mêmes qui les ont privés de cette source de revenus. Certains ont été intégrés, dans une logique de concentration horizontale, à ces grandes firmes du numérique qui contrôlent désormais toute la chaîne de valeur, des matières premières aux terminaux en passant par l’infrastructure. Les autres sont réduits à un rôle de sous-traitants, fournisseurs de données dites « propres ». Dotée jadis d’une valeur commerciale directe (par la publicité, la vente au numéro ou à l’abonnement), l’information n’a plus, pour ces grands acteurs du numérique, qu’une valeur indirecte. Au premier rang desquelles l’information résumée à sa plus stricte expression, sa plus stricte valeur d’usage : de la data – et encore : de la data moins qualifiée que celle récoltée directement par ces entreprises de la tech auprès des publics, en aspirant leurs données (émotionnelles, de santé, communication, travail, consommation, etc.) du berceau à la tombe. L’information indépendante d’intérêts économiques n’existe donc plus. C’est ensuite la vérification qui est devenue impossible. La désintermédiation initiée par les réseaux sociaux au début du XXIe siècle, couplée aux progrès de l’intelligence artificielle générative a donné naissance à une industrie du faux sans précédent. Parler de « faits », de « vrai » qui serait opposé au « faux », est, depuis le début des années 2030, devenu impossible. Au-delà des tentatives de manipulations géopolitiques, au-delà de son exploitation par des acteurs politiques internes, ce sont finalement les publics eux-mêmes qui ont donné le coup de grâce à la notion de vérification, en décrochant de l’information. Ils ont tout simplement fini par s’en détourner complètement, démunis devant le coût de plus en plus élevé de vérification leur incombant en bout de chaîne. Pris en étau entre le déluge d’informations et l’indistinction des contenus, les citoyens ont fait un choix radical : celui de l’évitement..." Et le ludique finit par primer sur le théorique. Comprendre est devenu trop compliqué et fatigant, à l'heure de l'homme pressé . La démocratie en pâtit. C'est le choc des opinions sans modération. "Comprendre est souvent devenu superflu. Les avis ou les prises de parti se donnent à l'état brut. Une certaine "brutalisation" des débats se généralise, les mots devenant des armes, les réponses jaillissant avant la réflexion, comme si vaincre valait plus que convaincre. Le débat sur la labellisation qui agite certains responsables est biaisé. L'heure n'est pas à un contrôle plus ou moins officiel de l'information , mais à un réalignement des organes qui se veulent encore d'information sur leurs fondamentaux et sur la fidélité à la déontologie journalistique, si mal respectée. Personne ne devrait y échapper. Y a du boulot! ________________