Ça va jazzer

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dimanche 9 mars 2025

On n'est pas de sorti de l'auberge

 Le masculinisme sort ses muscles  

                                  Une longue histoire...

                       "... Il y a quelques jours,  Mark Zuckerberg a prétendu que les entreprises privées étaient « émasculées » et a suggéré de revaloriser l’« énergie masculine », associée à la « compétitivité » et l’« agressivité ». Cette victime de l’« énergie féminine » n’est, après tout, que la troisième fortune mondiale…" 


      Un grand bond en arrière......                                         __________________________

Petiti billet du dimanche

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__ Tepco   innocenté

__ Villes US en détresse

__ Dérives. Machines  à cash

   ____________  Revue de presse ___________

samedi 8 mars 2025

L' avenir?

 Y a  encore du boulot ...

          Pour toutes les femmes.


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Vague obscurantiste (suite)

 L'offensive contre le savoir et sa transmission continue aux USA

          Un moment orwellien est en route. La liberté d'expressionn menacée.

                 Pris de cours, enseignants, chercheurs, écrivains sont entre peur et désarroi

 Point de vue:   

Derrière le slogan « Stand up for science », se lever pour la science, doit se tenir aux États-Unis vendredi 7 mars, une première mobilisation contre l’administration Trump : les scientifiques protestent ainsi contre les très nombreux licenciements de chercheurs et chercheuses des agences fédérales, notamment celles dédiées à la santé ou à l’environnement.

                   Très émus par le sort fait à leurs pairs, des scientifiques français appellent à manifester en soutien, ce même vendredi, partout en France. L’épidémiologiste Dominique Costagliola, une des premières signataires de l’appel, veut montrer l’ampleur internationale du séisme qui touche la science.   Un seul exemple : dimanche 9 mars débute à San Francisco la Conférence annuelle sur le VIH, un sujet où les scientifiques américain·es sont, comme très souvent, « les premiers », explique Dominique Costagliola, qui a consacré une grande partie de sa carrière à la lutte contre l'épidémie.     ___  Seulement, à San Francisco, les rangs du pays hôte seront largement désertés. Les très nombreux chercheurs qui travaillent pour les agences fédérales, notamment le National Institute of Health (NIH, Institut national pour la santé), ne pourront s’y rendre.    D’une part parce que 1 200 fonctionnaires du NIH, dont beaucoup de scientifiques, ont été remerciés par l’Office of Personnel Management (OPM), à la demande d’Elon Musk. Et celles et ceux qui restent sont dans l’incapacité de faire le voyage en Californie : leur carte bancaire professionnelle, qui leur permettait de financer leurs déplacements, a été plafonnée à 1 dollar.           Et si par chance, ils ou elles parviennent à rejoindre la San Francisco ce week-end, ils ne savent pas quels sujets aborder. Car le gouvernement de Donald Trump a imposé une censure qui ne dit pas son nom. Elle s’abat pourtant, comme un couperet, sur celles et ceux qui aborderait tout ce qui touche au « wokisme », selon l’extrême droite états-unienne (lire l’encadré). Tous les sujets cruciaux dans la lutte contre le VIH sont concernés : la prévention auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes ou les personnes trans, ou encore les inégalités raciales dans l’accès aux soins.   Une image s’impose à la climatologue française Valérie Masson-Delmotte, « l’obscurantisme » : « Ils veulent balayer la liberté académique, qui est un héritage des Lumières. »                                                                             Sur le changement climatique, les scientifiques américains sont également incontournables : ils signent un quart des publications internationales, insiste à son tour Valérie Masson-Delmotte, présidente du GIEC de 2015 à 2023. Elle échange très régulièrement avec ses collègues des États-Unis : « Ceux qui restent en poste confient leur peur et leur désarroi. Mais ils ne disent rien publiquement, de peur de devenir à leur tour des cibles. »        Les conséquences sont déjà tangibles au niveau international : « À la dernière session du GIEC la semaine dernière, les Américains étaient absents. Le prochain rapport doit sortir en 2028. Dans de telles conditions, il pourrait être retardé. Beaucoup d’États le souhaitent, comme l’Arabie Saoudite »... et sans doute les États-Unis de Donald Trump. « Le vice-président J. D. Vance a dit dans le passé que les universités et les professeurs sont des ennemis. C’est une guerre culturelle », estime la climatologue.                                                                                                  Elle évoque, non sans émotion, quelques un·es de ses confrères et consœurs remercié·es. Par exemple Zack Labe, un climatologue spécialiste de la modélisation du changement climatique, en particulier dans l’Arctique. Il tient aussi un blog de vulgarisation de ses travaux. « C’est un brillant scientifique. Il mène ses recherches à l’université de Princeton [dans le New Jersey, ndlr] dans un laboratoire pionnier, qui travaille sur la prévision des événements climatiques extrêmes. Son poste était largement financé par la NOAA [l’Agence nationale atmosphérique et océanique]. Il a été viré, comme 800 autres fonctionnaires fédéraux de la NOAA. »Même une scientifique très impliquée dans le dernier rapport du GIEC est victime de ce grand limogeage : « Sarah Cooley est une spécialiste de l’acidification des océanset des méthodes de captation de carbone ». La climatologue française n’en revient pas : « Elle a été virée brutalement. »                           La censure s’applique de manière non explicite : « Il n’y pas de liste officielles des sujets censurés, raconte Sarah, une chercheuse du NIH qui travaille sur la justice environnementale. Je ne sais pas du tout qui prend ces décisions : Trump, Musk ? En tous cas, notre hiérarchie relaie. Je suis en train d’écrire un article qui s’appuie sur un an et demi de recherches. J’ai supprimé les passages sur les inégalités raciales face au changement climatique, un terme également banni. On peut parler de météorologie, d’événements extrêmes, mais pas du climat ou du rôle joué par l’homme. »                                                                                                                       La liste est longue et subtile : « Tout cela est bizarre, arbitraire », dit Sarah. Samedi 1er mars, tou.tes les fonctionnaires fédéraux ont par exemple reçu un mail de l’OPM leur demandant de lister « cinq tâches accomplies durant la semaine ». Deadline : « Le lundi suivant minuit. » « On nous a bien dit que nous serions licenciés en l’absence de réponse, explique la chercheuse. Seulement, on nous aussi prévenus qu’on ne pouvait communiquer d’informations sensibles. Alors on reste vague. »... ( Merci à Caroline Coq-Chodorge)    __________________________

Derrière " ... Derrière le slogan « Stand up for science », se lever pour la science, doit se tenir aux États-Unis vendredi 7 mars, une première mobilisation contre l’administration Trump : les scientifiques protestent ainsi contre les très nombreux licenciements de chercheurs et chercheuses des agences fédérales, notamment celles dédiées à la santé ou à l’environnement.  Très émus par le sort fait à leurs pairs, des scientifiques français appellent à manifester en soutien, ce même vendredi, partout en France. L’épidémiologiste Dominique Costagliola, une des premières signataires de l’appel, veut montrer l’ampleur internationale du séisme qui touche la science.  Un seul exemple : dimanche 9 mars débute à San Francisco la Conférence annuelle sur le VIH, un sujet où les scientifiques américain·es sont, comme très souvent, « les premiers », explique Dominique Costagliola, qui a consacré une grande partie de sa carrière à la lutte contre l'épidémie.                                                                                                                                           Seulement, à San Francisco, les rangs du pays hôte seront largement désertés. Les très nombreux chercheurs qui travaillent pour les agences fédérales, notamment le National Institute of Health (NIH, Institut national pour la santé), ne pourront s’y rendre.  D’une part parce que 1 200 fonctionnaires du NIH, dont beaucoup de scientifiques, ont été remerciés par l’Office of Personnel Management (OPM), à la demande d’Elon Musk. Et celles et ceux qui restent sont dans l’incapacité de faire le voyage en Californie : leur carte bancaire professionnelle, qui leur permettait de financer leurs déplacements, a été plafonnée à 1 dollar.     Et si par chance, ils ou elles parviennent à rejoindre la San Francisco ce week-end, ils ne savent pas quels sujets aborder. Car le gouvernement de Donald Trump a imposé une censure qui ne dit pas son nom. Elle s’abat pourtant, comme un couperet, sur celles et ceux qui aborderait tout ce qui touche au « wokisme », selon l’extrême droite états-unienne (lire l’encadré). Tous les sujets cruciaux dans la lutte contre le VIH sont concernés : la prévention auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes ou les personnes trans, ou encore les inégalités raciales dans l’accès aux soins.                                                                                                                                 Une image s’impose à la climatologue française Valérie Masson-Delmotte, « l’obscurantisme » : « Ils veulent balayer la liberté académique, qui est un héritage des Lumières. »Sur le changement climatique, les scientifiques américains sont également incontournables : ils signent un quart des publications internationales, insiste à son tour Valérie Masson-Delmotte, présidente du GIEC de 2015 à 2023. Elle échange très régulièrement avec ses collègues des États-Unis : « Ceux qui restent en poste confient leur peur et leur désarroi. Mais ils ne disent rien publiquement, de peur de devenir à leur tour des cibles. »      ___Les conséquences sont déjà tangibles au niveau international : « À la dernière session du GIEC la semaine dernière, les Américains étaient absents. Le prochain rapport doit sortir en 2028. Dans de telles conditions, il pourrait être retardé. Beaucoup d’États le souhaitent, comme l’Arabie Saoudite »... et sans doute les États-Unis de Donald Trump. « Le vice-président J. D. Vance a dit dans le passé que les universités et les professeurs sont des ennemis. C’est une guerre culturelle », estime la climatologue.          Elle évoque, non sans émotion, quelques un·es de ses confrères et consœurs remercié·es. Par exemple Zack Labe, un climatologue spécialiste de la modélisation du changement climatique, en particulier dans l’Arctique. Il tient aussi un blog de vulgarisation de ses travaux. « C’est un brillant scientifique. Il mène ses recherches à l’université de Princeton [dans le New Jersey, ndlr] dans un laboratoire pionnier, qui travaille sur la prévision des événements climatiques extrêmes. Son poste était largement financé par la NOAA [l’Agence nationale atmosphérique et océanique]. Il a été viré, comme 800 autres fonctionnaires fédéraux de la NOAA. »                   Même une scientifique très impliquée dans le dernier rapport du GIEC est victime de ce grand limogeage : « Sarah Cooley est une spécialiste de l’acidification des océanset des méthodes de captation de carbone ». La climatologue française n’en revient pas : « Elle a été virée brutalement. »    La censure s’applique de manière non explicite : « Il n’y pas de liste officielles des sujets censurés, raconte Sarah, une chercheuse du NIH qui travaille sur la justice environnementale. Je ne sais pas du tout qui prend ces décisions : Trump, Musk ? En tous cas, notre hiérarchie relaie. Je suis en train d’écrire un article qui s’appuie sur un an et demi de recherches. J’ai supprimé les passages sur les inégalités raciales face au changement climatique, un terme également banni. On peut parler de météorologie, d’événements extrêmes, mais pas du climat ou du rôle joué par l’homme. »             La liste est longue et subtile : « Tout cela est bizarre, arbitraire », dit Sarah. Samedi 1er mars, tou.tes les fonctionnaires fédéraux ont par exemple reçu un mail de l’OPM leur demandant de lister « cinq tâches accomplies durant la semaine ». Deadline : « Le lundi suivant minuit. » « On nous a bien dit que nous serions licenciés en l’absence de réponse, explique la chercheuse. Seulement, on nous aussi prévenus qu’on ne pouvait communiquer d’informations sensibles. Alors on reste vague. »   La brutalité du procédé du duo Trump/Musk continue de sidérer leurs victimes. Le 27 février à 15h46, Penelope a été informée par téléphone qu’elle était licenciée. À16h38, elle a reçu un mail l’informant qu’à la fin de la journée, soit deux heures plus tard, elle devait rendre son badge d’accès, son ordinateur, son téléphone. Aucune justification n’était donnée....(Merci à Caroline Coq-Chodorge)

vendredi 7 mars 2025

Si on a bien compris...

      Vraiment opportun? Et quel parapluie?

              La guerre , on sait  comment ça commence...

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En avant, vers plus d' obscurantisme

Eteindre les lumières

        L'ignorance gagne.           STAND UP FOR SCIENCE!


             Une vraie contre-culture est en route...dangereusement.

                 La censure a déjà une longue histoire aux USA, en rapport avec une culture d'origine puritaine. Les Etats républicains sont particulièrement en tête de l'inquisition, Bible Belt en tête.  En 2023, le nombre de titres ciblés par la censure aux Etats-Unis a augmenté de 65% par rapport à 2022. Depuis Trump, le phénomène augmente en flèche. Le monde académique est visé. Une vague inquiétante, malgré les oppositions.                                                                                        Les sciences elles-mêmes sont menacées. Sous la pression notamment des évangélistes. Cela n'est pas nouveau, mais ça s'amplifie. L'information est de plus en plus sous contrôle. Qui veut contrôler les esprits...  comme sous un nouveau maccartisme.    "<... Hannah Arendt note que “le totalitarisme, une fois au pouvoir, remplace invariablement tous les vrais talents, quelles que soient leurs sympathies, par ces illuminés et ces imbéciles dont le manque d’intelligence et de créativité reste la meilleure garantie de leur loyauté”. La présidence Trump ne conduit pas au totalitarisme (il faudrait inventer un mot : le capitalotarisme ? la couillosphère ?) et ne rassemble certes pas que des imbéciles ou des illuminés (tout de même, ils paraissent nombreux) ; en revanche elle incorpore des “éléments” de totalitarisme. Et parmi ceux-ci, il y a cette étonnante mafia qui compose son gouvernement, à commencer par un vice-président qui aime à répéter le mot de Richard Nixon “Les professeurs, voilà l’ennemi.” ...                                                                                                                            Une conjuration antis sccience   _ God bless...                                                                                                                                               Bientôt des autodafés?


    Malheureusement, ce rituel sinistre de l'autodafé revient régulièrement.

  Quand la pensée gêne, quand la critique menace, quand la dérision se manifeste, même un peu.
On pense à Nüremberg et à toutes les villes du Reich où la pratique fut systématique et encouragée, manifestant une soif de pureté devenue folle et de contrôle absolu du  pouvoir. Même pour les livres les plus anodins en apparence.
Les livres sont dangereux, ironisait déjà Voltaire.


      Mais les autodafés remontent à une époque plus lointaine, parfois plus limitée.
  Daesh n'a cessé d'entretenir la haine des livres,
     A Mossoul, il s'est livré à une destruction systématique de tout de qui symbolisait le mot culture:
          ...Selon Associated Press, les «combattants» ont brûlé depuis un mois des livres pour enfants, des recueils de poésies, des ouvrages de philosophie et des titres scientifiques sur la santé et le sport ainsi que des journaux du début du XXe siècle. Seuls les livres sur l'islam auraient échappé aux flammes.

Cet autodafé n'est malheureusement pas le premier. L'histoire de l'humanité est jalonnée par la destruction des livres. «Là où l'on brûle les livres, on finit par brûler des hommes», disait l'écrivain et poète Heinrich Heine. Car, les livres, comme les biens culturels, sont bien plus que des symboles, ils représentent l'ouverture au monde, la diversité des cultures et des civilisations, des savoirs, les connaissances et les doutes. Tout le contraire d'une idéologie bornée qui veut imposer son point de vue unique...
    A Sarajevo, au Mali, à Tombouctou les manuscrits détruits témoignent de la même haine
Ailleurs, la "talibanisation" des esprits poursuit épisodiquement son oeuvre. Mettre la pensée au pas est toujours la tentation d'un pouvoir qui se sent faible.
Un acte, public ou privé, qui est rarement sans signification
On peut toujours ironiser
    Demain comme hier, le phénomène peut se reproduire, parfois de façon sournoise et insidieuse.
Nul pays n'est à l'abri de la pensée totalitaire s'attachant à coloniser les esprits part le vide . Parfois au nom de l'esprit divin.
Ecrire peut devenir un délit. La vigilance s'impose.
      Seuls les livres, bien choisis, peuvent nous sauver de nous-mêmes.

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jeudi 6 mars 2025

Ça ne tourne plus rond...

 Alors?

          Rebooter?


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Varia

__ Merci!

__ Imitation

__ Problématique

__ Continuité?

__ Explosif

__ Ambiguïtés

__ Retournement?

__ Incertitudes

__ Défaillances

__ Rétropédalage

__ ans concession

__ IA en question

__ Pierre Edouard

__ Politique contradictoire

__ Economie parallèle

__ Trump et la bible

__ Survie politique

__ Déficit allemand

________  No other Land:  GAZA en question      _______________________

mercredi 5 mars 2025

Au Canada ou ailleurs...

   Copains comme cochons... 

             Qui trumpe l'autre?

                   


          Une alliance objective durable?








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Y a comme un défaut...

 L'embêtant, c'est la mortalité.

                                            Et si on changeait la donne?
     Nos premiers géniteurs ont tout fait capoter, ces cons.
          Nous étions bien destinés à une vie sans fin, dans des conditions on ne peut plus idéales.
      Hélas! Eve n'a vu que son intérêt à court terme.
  Et patatras! Un jour notre corps nous abandonne.
     Le Grand Architecte aurait pu anticiper cette défaillance fatale.
       A croire qu'il était en RTT, comme trop souvent depuis. désertant son ouvrage.
   Pas étonnant qu'on finisse par l'oublier, à part quelques-uns.
                    Heureusement, quelques petits gars qui n'ont pas froid au yeux, veulent réparer l'erreur.
  Pas seulement en pensée, mais dans leurs laboratoires, ou plutôt devant leurs ordinateurs.
   Le numérique sortira l'humanité de l'ornière fatale, de la fameuse grande blessure narcissique dont parlait Freud. Il va falloir s'y préparer, c'est pour demain. Sans rigoler.
   L'homme éternel est presque à notre portée selon les petits génies de la Silicon Valley, reprenant avec sérieux un vieux rêve et les vaines tentatives de certains utopistes soviétiques des années 20. Il ne manque plus que quelques algorithmes à affiner.
      Le plan Ambrosia ne suffira pas.Le patron d'Amazon veut aller plus loin: Jeff Bezos a investi dans Unity Biotechnology, qui travaille sur le ralentissement des cellules humaines. Serge Brin, cofondateur de Coogle a déboursé un milliards de dollars a créé Callico, pour des recherches intensives sur l'allongement (infini?) de la vie.
   Ray Kurzwail, directeur technique chez Google, est un précurseur du transhumanisme. Il annonce pour 2045 le saut vers l'immortalité. Comme Peter Thiel, de paypal, fervent de biotechnologie.
  Voilà qui va redonner vigueur à la notion de progrès, qui avait du plomb dans l'aile.
    Au-delà de la médecine 2.0, asservie aux big data.
  L'homme de demain est à notre portée. La posthumanité nous sourit. L'éternité est à l'horizon.
             La mort va cesser d'être un problème métaphysique pour devenir un problème technologique.
      C'est aussi simple que cela...
  Vive la régénération perpétuelle de l'espèce...à condition de s'abstenir de faire des enfants, cette source de tracas!
  Tant pis si l'éternité pourra paraître bien longue, surtout à la fin...
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