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jeudi 17 décembre 2020

Il s'appelait Ludwig

 Le Grand    [En deux mots]

            Il fait la une des pages culturelles. Avec raison, Il est bon de rappeler que ce n'est pas un chien, au cas où...mais que s'il a eu parfois une vie de chien, il a laissé une oeuvre dont on n'a pas fini d'étudier la complexité et la profondeur, d'aimer l'inspiration et l'éclat, de s'étonner de sa modernité et de sa pérennité. Même si, trop (partiellement)  entendu, parfois trop distraitement, il s'est parfois banalisé, pour nos oreilles saturées de musiques en tous genres. 

          C'est le moment de le réécouter d'une oreille neuve, à l'occasion de ses 250 ans. Il s'est affranchi largement des règles établies et des conventions admises. Il faut réécouter les oeuvres moins entendues, les plus inattendues, les plus déroutantes parfois, comme les quatuors finaux. Une continuité et des ruptures annonçant des créations futures, envers et contre tout.           ____ Il sait tout, disait Schubert mais nous ne pouvons pas tout comprendre encore, et il coulera beaucoup d’eau dans le Danube avant que tout ce que cet homme a créé soit généralement compris. __Mezzo      _________________

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