A Bakou, dopé au pétrole, on parle du climat
C'est un peu comme si on discutait des droits de la femme à Téhéran. C'est peu de dire qu'on ne peut en attendre beaucoup, surtout quand certains brillent par leur absence, que d'autres ne ménagent pas leurs critiques. A l'heure où le climat s'emballe et que le climato-scepticisme reprend de la vigueur, notamment Outre-Atlantique, où l'on assiste à un grand bond en arrière. Comme une odeur de pétrole... sur le feu.
Depuis 2009, les choses n'ont que peu changé dans les faits. La crise s'approfondit alors que le réchauffement s'emballe et que des moyens font défaut. Comment résoudre l'injustice climatique.?"...Le choix de la capitale de l'Azerbaïdjan.pour accueillir cette conférence est plus controversé encore que ne l'avait été celui de Dubaï en 2023. Mais en dehors de polémiques, d'échec ou de succès retentissant, les COP ne passionnent pas les opinions publiques. D'autant moins que, partout dans le monde, la priorité environnementale recule et le changement climatique inquiète de moins en moins..." La transdisciplinarité fait défaut et les émissions de Co2 rebondissent.. Notre histoire est tellement liée aux évolutions climatiques! Il est temps de sortir de l'ambiguïté...
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