Comme disait l'ami Sarko
Comme répètent les amis de Duplomb de la FNSEA
Ou ça commence à inquiéter?
CARNET DE BORD D'UN PASSEUR FATIGUE MAIS EVEILLE...QUI NE VEUT PAS MOURIR (TROP) IDIOT. _____________________________________________________ " Un homme ne se mêlant pas de politique mérite de passer, non pour un citoyen paisible, mais pour un citoyen inutile." [Thucydide]--------------------- " Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti " [A.Camus] Pâques 2025: Un million de visites...Merci à vous fidèles lecteurs ou consultants d'un jour!
__ Pépite
__ Alarme
__ Rupture
__ Rigueur
__ Dindons
__ Désertion
__ Cogestion?
__ Pur génie
__ Protestation
__ Bombe fiscale
__ Jours sombres
__ Duplomb encore
__ Machine infernale
__ Quelle neutralité ?
__ Recul géopolitique?
__ Remises en question__ Archives sensibles
__ Flamanville: sans fin?
__ Bio en régression ?
__ Vide à la demande
__ Rachida et Nicolas
__ Nuits berlinoises
__ Blocage autoritaire
__ Justice sans moyens
____ USA: nouveau Far West économique? _______________
Tempête politique....
___ On n'insistera jamais assez sur les pièges de l'austérité
___ Une figure majeure incarnant les nouvelle tendances du capitalisme libertarien aux USA : Peter Thiel "...Pour saisir la vision du monde de ceux qui ont porté et entourent aujourd’hui Donald Trump, l’ouvrage de Quinn Slobodian, Le Capitalisme de l’apocalypse. Ou le rêve d’un monde sans démocratie (Seuil), qui vient de paraître, est une lecture indispensable. Il commence d’ailleurs par un rêve de Peter Thiel, un des plus grands investisseurs du secteur technologique et grand soutien du nouveau président états-unien, également connu pour son complotisme. Ce rêve, formulé en 2009, c’est celui d’un monde composé de plus de mille États. « Si nous voulons plus de liberté, nous devons augmenter le nombre de pays »,
___ Le grand bidouillage à l'école et ses conséquences:
___ Les paroles de Jeffey Rosen semblent bien se réaliser : : "...Recevant à la Maison Blanche des responsables religieux et du monde des affaires, le 14 juillet, le président des Etats-Unis a attaqué ses adversaires démocrates en assurant qu’ils étaient « le Mal ». Il a relayé, le 1er juillet, les discours xénophobes qui ont accompagné l’émergence d’une figure progressiste dans la course à la mairie de New York, Zohran Mamdani, né en Ouganda, envisageant même un réexamen de sa procédure de naturalisation. Cette menace a également été agitée envers son ancien allié Elon Musk, lui aussi né en dehors des Etats-Unis, après leur rupture spectaculaire, en juin. Le même mois, le département de la justice a publié une note faisant de la dénaturalisation une priorité, même si elle ne peut s’appliquer qu’à des personnes ayant « obtenu illégalement » leur naturalisation ou en « dissimulant un fait important ou en faisant délibérément de fausses déclarations ».
___ Contre- information
___ Détruire, dit-il... C'est au-delà d'une obsolescence programmée
___ Dilemme allemand
___ Le saint patron est partout. Pericles est à l'oeuvre.
___ France sous tutelle?
___ Un chantier sans fin. En attendant Godot ?
___ Urgences démographiques
___ Au chevet de la planète
___ Après la politique du vide à Gaza , Cisjordanie en sursis.
Pas de Hamas en Cisjordanie. Et pourtant... Israël franchit une nouvelle étape vers l’annexion de la Cisjordanie occupée. Le Parlement israélien a adopté mercredi 23 juillet, à 71 voix contre 13, un appel symbolique demandant au gouvernement d’intégrer officiellement ce territoire palestinien occupé, afin de bloquer “toute perspective d’un État palestinien”. Ce texte, soutenu par des membres de la coalition de Benjamin Netanyahu ainsi que de l’opposition, affirme le “droit naturel, historique et légal” d’Israël sur cette terre occupée depuis 1967.L’Autorité palestinienne a condamné cette démarche comme une “atteinte directe” aux droits de son peuple. Pour l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), ce vote constitue une “violation flagrante du droit international”.Aujourd’hui, quelque 500 000 colons israéliens vivent en Cisjordanie occupée, aux côtés de 3 millions de Palestinien·nes, dans un territoire dont la colonisation est considérée illégale par l’ONU.
_________________________Désertification accélérée:
Un phénomène qui prend de l'ampleur en France dans le centre des villes moyennes. Des rideaux de commerces qui ne se relèvent plus débouchant sur une désertification accélérée de quartiers autrefois bien vivants. L'activité commerciale a basculé vers les faubourgs et lee zônes périphériques, enlaidies et saturées, selon le modèle américain déjà ancien: no parking, no business! Va-ton poursuivre ce modèle sans réaction? Une dévitalisation à questionner. Le petites et moyennes villes (ne parlons pas des villages, dortoirs ou non)) sont devenues des sortes de déserts, semblant comme mortes même de jour. La vie commerciale s'est déplacée en périphérie, ou se résume à des activités de plus en plus réduites, rendant certains quartiers sans âme, parfois tristes , même sinistres, tant l'abandon est manifeste.
La reconquête, au programme avant les élections municipales, ne se fera pas rapidement et par pur volontarisme, car la logique de désertification s'est installée depuis longtemps.
De puissants intérêts privés n'ont pas peu joué dans ce phénomène qui gagne encore.
Une ville peut se dépeupler, lentement ou rapidement pour plusieurs raisons.
Le cas de Détroit après la crise de 2008 et l'effondrement de l'industrie automobile en est un exemple récent. Mais ce qui pose problème aujourd'hui, de manière plus générale, c'est la perte de substance des centres des villes moyennes, depuis une vingtaine d'années, du fait de la disparition ou de l'exode massif des commerces de proximité au profit des espaces commerciaux extérieurs, qui drainent la clientèle là où "on trouve tout" facilement, de l'alimentation aux loisirs en passant par le bricolage et la restauration....et même ce à quoi on n'aurait pas pensé.
No parking, no business. Le slogan américain a été suivi un peu partout, sans résistance des consommateurs.
Il suffit de voir ce qu'est devenue une ville de 10 à 20.000 habitants: un quasi-désert. Des agences bancaires, immobilières, des coiffeurs, quelques services....Une activité réduite à peau de chagrin. Des soirées assez sinistres, des week-end tristes. Des centres urbains désertés, sans vie.
La surproduction de surfaces de vente en périphérie a créé les conditions de ce déclin, qui renforce une régression des relations de voisinage, de la vie associative, de la vie tout court. Parfois même le boulanger ou le boucher s'est exilé. Comme s'en plaint par exemple le maire de Perpignan:
« ... La situation est catastrophique : sur les trois dernières années, 300 000 m2 de superficies commerciales ont vu le jour et 100 000 m2 sont déjà prévus pour la suite. Une multiplication des centres commerciaux aux effets dévastateurs : un quart des commerces du centre-ville ont déjà fermés. Cette concurrence exacerbée a des incidences directes sur l’emploi, avec une baisse de 10% des salariés, et fragilise la viabilité des commerces restant avec une baisse d’un tiers de leur chiffre d’affaires ».
Selon le parlementaire, une « spirale infernale» se met alors en place : la fréquentation du centre-ville diminuant, les commerces baissent en qualité, la ville perd en attractivité, « notamment auprès des classes moyennes et supérieures qui préfèrent partir emménager en périphérie », amplifiant d’autant plus la paupérisation du centre-ville.....
L’étude PROCOS précise : «le nombre de commerces en cœur de ville reflue depuis 12 ans, il a diminué en moyenne de 3,7 %. Alors que dans le même temps, le parc des surfaces commerciales français a doublé, passant de 70 millions à près de 140 millions de mètres carrés »
Les centres-villes sont donc en péril, ainsi que les villages environnants, mais on ne s'attaque pas aux causes principales. La proximité recule: Face à la disparition du commerce de proximité partout en France, et jusque dans des villes de taille conséquente comme Le Havre ou Saint-Etienne, le gouvernement s’apprête à annoncer une série de mesures. Mais pas question, bien entendu, d’instaurer un moratoire sur l’implantation de grandes surfaces en périphérie. Au nom de la liberté, Bercy s’y oppose. C’est la même comédie depuis la loi Royer de 1973. Régulièrement, les responsables politiques feignent de découvrir le problème et prennent quelques décisions pour masquer, en la matière, leur soumission au libéralisme sans limites. On ne voit pas de quelle liberté il s’agit quand une poignée de centrales d’achat imposent leur loi. L’Allemagne, l’Italie, la Suisse réglementent leur urbanisme commercial. Y vit-on moins libre qu’en France ? (Xavier de Jarcy)
Il est devenu urgent de changer de modèle: le dispositif d’autorisation préalable délivrée par les CDAC est notoirement peu efficace et, malgré ses remaniements successifs, n’a jamais permis de réguler la prolifération anarchique des zones commerciales dans les périphéries des villes.
Et la question n'est pas seulement esthétique (la laideur des entrées de villes), elle est aussi immobilière et micro/macro-politique.
Les promoteurs et les grands groupes de distribution ont gagné, avec la complicité d'élus locaux à courte vue et/ou intéressés électoralement, au nom d'une modernité naïvement proclamée.
Il est bien tard pour revenir en arrière et toutes les incantations comme tous les colloques restent purement verbaux.____
- L'agonie commerciale des quartiers centraux dans les petites villes : l'exemple de Parthenay
- Le cas d'Albi.
- Les coulisses de la grande distribution.
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Comme d'habitude...
Une domination constestée
Les coulisses ne sont pas tristes
Au nom du sport, on peut se poser des questions
A GAZA, l'indignation ne suffit plus
A l'heure où Trump veut en finir, où la pression internationale s'accentue, que Netannyahou tente de gagner du temps., créant l'indignation et le désarroi.... Il importe d' entendre certaine voix qui dérangent. Notamment celle de deux ONG israëliennes, de Mona Chollet, qui livrait ses premières impressions. Mais aussi d'écouter les échos de la consciences déchirée de certains juifs, israëliens on non, en plein désarrroi: Est-ce possible de lire ce témoignage avec d'autres sentiments que ce "mélange de bouleversement, de honte et de rage ? Oui, apparemment c'est possible : ces jeunes israéliens qui vont boire des bières à Sderot en contemplant les bombes tombant sur Gaza en sont la preuve. Mes larmes et ma rage ne changeront rien à mon impuissance, je le sais. Mais il y a au moins une guerre, fut-elle insignifiante, que je peux déclarer : à celles et ceux qui je connais et qui me connaissent, et qui seront tenté·es de nier, ou même de minimiser, peut-être en mettant en balance les victimes du 7 octobre et les otages. Il n'y a rien à mettre en balance, rien !D'un côté, les terroristes du Hamas, qui ont fait ce que les terroristes font, et que je refuse de nommer résistants. On ne fera pas revenir les victimes, mais le compteur s'est arrêté (ou quasiment) depuis bien longtemps. De l'autre, des fascistes, oui des fascistes, qui tuent, affament, torturent. On va arrêter de se pignoler pour savoir s'il faut ou non employer le mot génocide, je m'en fous en fait : la réalité, c'est que des juifs peuvent se comportent comme des fascistes. Les preuves sont là, et on ne peut plus se cacher derrière la théorie "des faits impossibles à vérifier" et du "Hamas qui fait exprès de mettre les civils en bouclier". Tous les gouvernements, même ceux qui restent inactifs, même ceux qui sont complices, le savent. Je n'ai plus aucun espoir : Les palestiniens qui survivront haïront les juifs, tous les juifs, pour des générations. Le reste du monde se sentira également légitime à haïr les juifs, tous les juifs, pour des générations, tout comme le monde entier a détesté les allemands, tous les allemands, à cause des nazis. En écrivant ça, je sais que je vais fâcher (notamment) une grande partie de ma famille, qui sont des gens que j'aime pour la plupart. Mais la tension entre la situation des palestiniens et le conflit de loyauté qui commanderait de se taire n'est plus supportable. Je rejoins à 1000% Mandy Patinkin, qui appelle tous les juifs dans le monde entier à réfléchir pour se poser ces questions. Le fascisme est en train de gagner partout, jusque dans le pays où je vis, où je me pensais protégé de ça. Je n'ai plus d'espoir, et donc plus rien à perdre. Donc les gens qui pensent que j'exagère, voire que mon propos est intolérable, sortez de ma vie; vous n'y trouverez rien qui vous convienne...." (PJA)
______ L'aplomb de Duplomb
Une copie à revoir.
Le rendement d'abord?
Contestation et division
Toxicité avérée
Et dérive constitutionnelle
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__ Dérive
__ Exode
__ Mercenaires
__ Blocage
__ Corruption
__ Manipulation
_____ Indéfendable >>
__ Acétamipride
__ Dérégulation__ Arroseur arrosé
__ Canicule finlandaise
__ Loi du marché
__ La mèche "Epstein"
__ Situation critique
__ Retour de flammes
__ Corruptions ukrainiennes
__ Divisions communautaires
__ Désersification urbaine
________________ Terrible vérité ________________
Le grand retour?
Le Boss de la Maison Blanche veut changer les règles du jeu international. Aussi au niveau financier, le nerf de la guerre. . C'est là que le bât blesse. Dans le nouvel ordre mondiale qui se dessine, la finance va prendre une place de choix,sous l'impulsion de la Fed, aux ordres de la Maison Blanche. Non sans risques, s'accordent à dire nombre d'économistes, comme Stiglitz. Lagarde alerte. On craint une nouvelle crise financière, alors que nous sommes à peine remis de la précédente. On a vu ce que pouvait produire une finance sans règles minimales, sans contrôles suffisants. Trump veut en faire une arme de combat. Cela s'annonce déjà mal. Et les USA risquent de ne pas être les seuls perdants.. La guerre des capitaux est engagée...
Une affaire ambiguë
Nécessaire à partir d'un certain niveau de taille et de complexité, que ce soit dans l' industrie ou les services, pour organiser la bonne gestion du travail et le suivi humain et technique du personnel, le management peut connaître des dérives pour des raisons diverses: pas seulement à cause de certains objectifs irréalistes, imposés par souci de rendement à tout prix, par l'imposition de normes inatteignables, ou à cause de rapports hiérarchiques dégradés débouchant sur une certaine souffrance au travail. La "communication", mot fétiche dans la direction contemporaine, est loin d'être toujours le vrai problème. Un certain degré d'absurdité dans les injonctions et les conditions de travail est parfois en cause. La question du SENS se pose aussi et surtout dans certains cas, en ce qui concerne notamment les Bullshit Jobs... Il en résulte une souffrance au travail, souvent masquée, aux formes et aux expressions variées, qui commence enfin à être mieux appréhendée. On peut même parler parfois de gestion par le stress. Christophe Dejours a bien montré toutes les conséquences négatives de certaines pratiques d' entreprise. A ce sujet, on se souvient de l'affaire France-Télécom-Orange, qui a fait l'objet d'un jugement et qui a débouché sur des condamnations.
Un lourd dossier tournant autour de la souffrance au travail, qui déboucha sur de nombreux drames.
Difficile d'être populaire!...
Elle a tout le monde sur le dos, ou presque, et la question de la dette divise. T.Breton a du faire ses valises sur son initiative . Les critiques pleuvent. L'incurie est dénoncée, comme sa verticalité. L'affaire Pfizer n'est pas digérée. Le Pfizergate a laissé des traces. On lui reproche trop de naïvetés et un manque d'audace en ces temps incertains. Elle incarne les travers de l'eurocratie." Comment l’Europe doit-elle réagir aux futurs tarifs douaniers que Donald Trump annonce pour bientôt ? Comment doit-elle réagir à l’avancée technologique que représente DeepSeek, la nouvelle IA chinoise ? Comment doit-elle réagir aux menaces accrues qui pèsent sur sa sécurité et à la nécessité d’accroître ses dépenses de défense ? Comment l’Europe doit-elle réagir à ci et à ça ? L’UE n’est plus aujourd’hui qu’un assemblage politique qui cherche comment répondre le moins mal possible à ce qui se décide ailleurs.Sur les questions de défense, les leaders de l’UE, accompagnés du Royaume-Uni et du patron de l’Otan, se sont réunis en conclave le 3 février pour tenter de bâtir une réponse coordonnée. Pas facile pour l’Europe de la paix, l’un de ses piliers originels, de passer à l’Europe de la guerre. L’UE est en retard sur le plan technique, elle manque de financements et remédier à cela prendra beaucoup de temps. Le plus facile est d’acheter du matériel américain, au mieux acquérir des licences américaines et produire avec un seuil minimal d’inputs européens… Pas de quoi se réjouir et même de quoi inquiéter les industriels français de l’armement. ..." L'Europe traverse assurément une de ses crises les plus graves. Plus qu'une crise de confiance. -Le chemin sera long sur la voie d'un accord renégocié ou d'une refondation/ -Alors qu'en Italie, c'est arrière toute et qu'en périphérie, les replis nationaux, voire nationalistes gagnent du terrain. Le Brexit n'arrange rien -Si le rêve européen est à réinventer, c'est qu'il a été perdu, voire perverti; transformé en gestion économique néolibérale, en simple marché où la concurrence joue au dépends de la solidarité. -On attendait Erasme, disait quelqu'un, ce fut Moscovici qui vint. -Peut-on sauver ou changer le rêve européen et repenser une véritable souveraineté européenne?-Peut-on encore se contenter d' espoir ou d'envolées rhétoriques? allons-nousvers un hiver européen? -Jean Quatremer, pourtant fervent européiste, met parfois le doigt là où ça fait mal.