Une affaire de passion ou de raison?
D'usage, bien sûr. Dont les règles et les méandres, les fantaisies, les incohérences parfois, ne sont pas toujours bien claires, pour les meilleurs linguistes eux-mêmes. C'est toute une histoire bien sûr...qui n'est pas finie. Loin de sacraliser l'orthographe, comme ce fut longtemps le cas, il convient d'en respecter au mieux les règles, surtout à l'heure où la lecture se fait plus rare, où l'écrit tend à s'effacer ou à prendre des libertés nouvelles et rapides. On peut toujours se morfondre sur les libertés ou les fantaisies d'aujourd'hui en la matière, vouloir des simplifications jamais suivies d'effets. les polémiques sont vaines. Elles dépassent d'ailleurs nos frontières. L'arbitraire est universel, dépendant d'une histoire complexe, comme au niveau des us et coutume. On a beau dire avec l'académicien Valéry que "Notre orthographe est la plus imbécile du monde», rien n'y fera. L'Académie constate ou consacre. C'est tout. C'est aussi l'histoire d'une longue querelle. Les opinions sont variées, même chez les plus célèbres.
On se demande, par exemple: l’ortografe, ça sert à koi ? Même si elle a ses raisons...que la raison ne connaît pas toujours.
Périodiquement, on parle de réforme.
Mais le terrain est miné, comme avec l'accent circonflexe, qui en désarme plus d'un.
De quoi mettre la puce à l'oreille.
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