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vendredi 18 avril 2025

Trump et les banques

       Vers de nouvelles crises?

              Malgré les  difficultés du moment, les grandes banques se portent bien. Pout l'instant... Merci qui?   Certains voient cependant venir une possible crise financière. Mais le somnambulisme touche aussi les géants de Wall Street, où on fait de bonnes affaires. A court terme.   


                                                                                                                                                                                   Pourvou que ça doure, comme disait la mère de Napoléon. "...Grâce aux impressionnants revenus de trading, la banque d'affaires mondiale Goldman Sachs a annoncé une hausse de 15% de son bénéfice, atteignant 4,74 milliards de dollars...    BlackRock, a également profité de cette agitation. Avec 12% de hausse du chiffre d'affaires, des afflux nets records et plus de 11.500 milliards de dollars d'actifs, la multinationale américaine confirme que la nervosité des marchés financiers peut rapporter gros à certains..." Mais "Les antécédents rappellent que l'euphorie du trading est souvent éphémère. Il a fallu des années aux banques pour retrouver leurs niveaux d'avant la crise de 2008. Et même en 2020, malgré l'explosion des revenus liée à la pandémie, cela ne s'est pas traduit par une surperformance boursière durable."     Black Rock, une maison pas comme les autres...                                                                                                                                          La Fed fait de la résistance. La régulation financière se trouve mise en question, comme avant, dans le sillage de Clinton...pour le pire?  Car Donald est plein de sollicitude pout le monde de la finance, oubliant que le capitalisme bancaire dérégulé peut mener à la faillite. La prédation continue...avec brutalité.   


                                                                                                                    Malgré la volonté politique de prédation, le maître de la Maison Blanche n'est pas un  idiot. C'est le problème.  Il faut l'écouter:      " Donald Trump a bâti sa réputation, de façon certes discutable, sur ses capacités de négociations. Et il les a développées dans le milieu ultra-sauvage de l’immobilier new-yorkais, comme le rappelle l’ancien directeur général de l’Organisation mondiale du Commerce : « M. Trump a appris à faire des affaires sur le marché immobilier new-yorkais influencé par la mafia et ses tactiques sont basées sur l'extorsion ». Pour lui, un « deal équilibré », obtenu après des négociations brutales, c’est quand il a obtenu 90 et l’autre 10…Sans compter ceux en lien avec son entrée en politique après 2015, Donald Trump a écrit 18 livres, la plupart sur les affaires et la négociation. Son premier ouvrage, publié à 41 ans en 1987, est d’ailleurs le plus emblématique. Mêlant autobiographie et conseils pratiques, il est intitulé « The Art of The Deal » (« L’art de la Négociation »). Il s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires. Petit florilège :« Ma façon de traiter les affaires est simple et directe.
 Je vise très haut et puis j’augmente de plus en plus la pression sans m’arrêter – jusqu’à ce que j’atteigne mon but. Parfois, je me contente de moins que ce que je souhaitais, mais dans la plupart des cas, je finis quand même par obtenir ce que je veux. […] Je suis le premier à admettre que je suis très compétitif et que je ferai presque n’importe quoi dans les limites légales pour gagner. Parfois, une partie de la conclusion d’un accord consiste à dénigrer vos concurrents. […]Un des secrets pour voir grand est de se concentrer entièrement sur l’objectif. […] Et c’est particulièrement vrai dans le domaine de l’immobilier new-yorkais où vous avez affaire aux gens les plus malins, les plus durs et les plus vicieux du monde. J’ai appris à aimer me mesurer à ces types et à les écraser. […]                                                                  Les gens croient que je suis joueur. Je n’ai jamais joué de ma vie. […] Il se trouve que je suis prudent en affaires. Je m’engage toujours en prévoyant le pire. Si vous prévoyez le pire, si vous vous donnez les moyens de l’assumer, alors le meilleur ira toujours de soi. […]La pire approche à adopter quand vous voulez conclure un accord est d’avoir l’air d’y tenir à tout prix. Votre interlocuteur, encouragé par l’odeur du sang, sent alors qu’il vous tient et vous êtes mort. La meilleure façon de s’y prendre est d’être en position de force. […] En un mot, il vous faut convaincre l’autre qu’il a vraiment intérêt à trouver un accord avec vous. […]La touche finale, que j’utilise souvent pour achever en beauté la promotion de mes projets, est la bravade. Je joue avec les fantasmes des gens. [...] Un peu d’exagération ne nuit pas. Les gens aiment croire que quelque chose est ce qu’il y a de plus grand et de plus spectaculaire au monde...»_________________

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