Un certain bon sens économique:
Ce n'est pas la première fois qu'on l'entend dire.
Il serait temps!
L'économie, telle qu'elle va (depuis quelques décades surtout), avec ses inflexions libérales-thatcheriennes et ses dérives ultra-financières, suit des chemins dangereux.
L'économie est une chose trop sérieuse pour être confiée aux économistes patentés et aux politiques ignorants, naïfs ou complaisants
La théorie économique est une étude trop sérieuse pour être laissée aux économistes qui ont pignon sur rue et sur C'est dans l'air...
En économie, on marche sur la tête, parfois avec une certaine candeur ou une désarmante bonne foi...
Le bon sens n'est pas toujours la chose la mieux partagée, malgré Descartes.
Que ce soit dans les choix macro-économiques eux-mêmes ou dans la théorie qui s'efforce, souvent inconsciemment, de les justifier a posteriori.
Le constat n'est pas nouveau: ce n'est pas une science dure. C'est une connaissance toujous imparfaite où entrent une grande part d'interprétation et des postulats, des présupposés rarement mis en évidence.
Les économistes peuvent s'égarer et la théorie peut déraper. Les crises sont là pour nous le rappeler, que très peu anticipent, aujourd'hui comme hier, et le creusement croissant des inégalités est un indicateur de dérives peu analysées.
___D'où le cri de J.Généreux, économiste non orthodoxe selon les lois du marché: «Halte à la Déconnomie!», remettant en question les choix et les orientations actuelles au niveau macro-économique.
Jacques Généreux se demande comment des responsables aussi intelligents, des prix Nobel, des journalistes en vue, des hommes politiques formés aux « meilleures écoles » se fourvoient avec une telle application. Il a cette phrase : « Les dirigeants, les intellectuels, se trompent en toute sincérité et mènent au désastre avec l’authentique fierté du service rendu à la nation. » Il dénonce dans cet entretien un système « insensé, imbécile, catastrophique et incroyable ». Un système « déconnant » qu’il propose de ramener à la raison.
Rude tâche, apparemment prétentieuse.! Mais il n'est pas le premier à remettre en cause les structures établies dans le domaine économico-politique. Déjà au 19° siècle, en passant par des réformistes du XX° jusqu'aux critiques de Keynes et celles plus limitées du libéral modéré américain Stiglitz après la crise de 2008. La critique est décapante et mérite qu'on s'y attarde de manière critique.
La faillite des économistes d'influence est patente.
Il est temps de défaire un système économique et ses penseurs mais pour mieux penser une reconstruction possible L’ânerie est de tous les domaines. Ce n'est pas juste une provocation...
Le temps n'est pas au beau fixe, à tel point qu'on se demande parfois à quoi servent les économistes.
Il n'est pas nécessaire d'être (faux) Prix Nobel pour constater une certaine faillite, annonciatrices d'autres désordres.
_________________________
Rude tâche, apparemment prétentieuse.! Mais il n'est pas le premier à remettre en cause les structures établies dans le domaine économico-politique. Déjà au 19° siècle, en passant par des réformistes du XX° jusqu'aux critiques de Keynes et celles plus limitées du libéral modéré américain Stiglitz après la crise de 2008. La critique est décapante et mérite qu'on s'y attarde de manière critique.
La faillite des économistes d'influence est patente.
Il est temps de défaire un système économique et ses penseurs mais pour mieux penser une reconstruction possible L’ânerie est de tous les domaines. Ce n'est pas juste une provocation...
Le temps n'est pas au beau fixe, à tel point qu'on se demande parfois à quoi servent les économistes.
Il n'est pas nécessaire d'être (faux) Prix Nobel pour constater une certaine faillite, annonciatrices d'autres désordres.
_________________________
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire