Le MILLION de visites est atteint. Merci de vos visites et de votre indulgence. En route pour la suite...si Dieu me prête vie!

jeudi 5 juin 2025

Sous contrôle

 Quel meilleur moyen de gouverner?

           Comme en Floride, dans l'Ohio, etc...   Des incultes au pouvoir

                             Orwell n'a pas pris une ride

                                    

                                             Un sport souvent instrumentalisé                                     __________________________

Varia

__ En danger

__ Stupéfiant

__ Gigantisme

__ Transfert

__ Cynisme

__ Espionnages

__ Colonisation

__ Vers la fin?

__ Il était temps!

__ Régression

__ Brossages d'egos

__ Massacre particulier

__ Effondrement de droits

__ Promesses trahies

__ Intense lobbying

__ Echecs et histoire

__ Alliés de Poutine

__ Le monde et la CIA                    

__ Rabotage discutable

__ Soutien inconditionnel

__ Campagne de Shein

__ Au nom du LR

__ Incertitudes polonaises

__ Parcours Sup et le bac       _______________________

mercredi 4 juin 2025

Une liberté

 Parmi d' autres 

                  Bien française

                                 














________  Même l'humour NOIR  ______

Un parcours semé d'obstacles

 Un système très discuté

              Il est proposé de revenir sur l'outil d'orientation blanquerien, pour mettre un terme, notamment à sa relative opacité et ses dysfonctionnements . L' outil d'orientation est sans doute né dans un bureau d'études privé cher payé. Des soucis se font jour peu à peu. On met en avant le stress qu'il engendre et même, sur de nombreux points, son absurdité . De plus, comme cela a été montré, il joue en faveur de l'enseignement privé. Il est temps de repenser ce système, élaboré dans l'ombre d'obscurs cabinets.                                  Cet outil de sélection/orientation demande à être repensé, dans le cadre d'un système universitaire devenu le parent pauvre de la politique scolaire française. Un système algorithmique encore opaque sur bien des points. De plus, "...Il existe une forme d'inégalité face à l'enjeu qu’est l’orientation : tous les élèves ne disposent pas du même niveau d’informations sur les filières. Parcoursup a créé un stress lors de cette année de seconde qui n’existait pas dans le système précédent. Et demander à un élève de 15 ou 16 ans de faire des choix d’orientation si tôt, c’est ne pas tenir compte de l’évolution d’un adolescent, qui change d’intérêts en fonction de ses découvertes...."   De plus, "   "La plateforme a bouleversé le rapport de l’enseignant à l’élève. Car pour être sûr d’obtenir une place dans la filière de son choix, ce dernier doit avoir le meilleur dossier possible. Et comme 40 % de la note du bac provient des évaluations en contrôle continu, l’élève a l’impression d’être en surveillance permanente. Dès le début de la 1re, c’est comme si chaque devoir était une épreuve terminale. Il ne peut pas échouer. Ce système supprime la valorisation de la progression, qui est pourtant l’un des fondements de la pédagogie. Par ailleurs, ne pas comprendre un chapitre du cours, cela arrive. Cela ne devrait pas occasionner une telle tension pour se rattraper. Le lycée est devenu une usine à stress...."     


                                                   Plus insidieusement et plus gravement, "...
Combiné au Bac Blanquer organisé en contrôle continu dès la classe de 1ère, le dispositif Parcoursup engendre une situation pathogène pour de nombreux·ses jeunes et pervertit leur rapport aux études: il ne s'agit plus d'apprendre, y compris en ayant droit à l'erreur, mais de valoriser son dossier en vue du marché concurrentiel de l'enseignement supérieur..."   Bref, ce serait un "générateur d'anxiété", selon le journal Le Monde. De plus, il y a toujours la crainte de ne pas disposer des bonnes clés. Les familles sont, elles aussi, impliquées dans ces choix de "formation motivée", qui arrivent bien trop tôt dans le parcours scolaire. La pression parentale sur les enseignants et celle qui pèse sur les élèves dès la première dénaturent le véritable enjeu de la transmission des savoirs.   La transparence ne brille pas dans ce système complexe, qui rencontre un nombre toujours plus grand de critiques: si on on croit les sondages, "...Cette année, les lycéens et les étudiants interrogés se montrent nettement plus critiques vis-à-vis de la plateforme par rapport à l’édition précédente : 66 % la trouvent accessible (contre 81 % en 2021) et 63 % estiment qu'elle fournit des informations utiles pour leur orientation (contre 76 %). Une minorité, 44 %, la trouve utile (- 18 points), 38 % intuitive (- 10 points) et 33 % en capacité de répondre à leurs questions (-11 points). Malgré les fiches détaillées par formation, seuls 54 % des jeunes considèrent que Parcoursup est simple d'utilisation et 44 % qu’elle est efficace...."                                                                               Une inflation dans les notes est constatée et déplorée. ainsi qu'une stratégie précoce en amont de la part de certains parents favorisés pour préparer les parcours scolaires de leurs chers petits... 
                     

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mardi 3 juin 2025

Libres propos

      D' Israëliens de divers horizons

                                 Face aux exactions continues à Gaza et à l'accélération de la colonisation

               Barnavi vit très mal l'affrontement qui s'éternise:          J’ai honte, je suis humilié d’être citoyen d’un pays gouverné par un tel gouvernement. C’est un sentiment difficile à exprimer. D’ordinaire, on n’est pas forcément d’accord avec tel ou tel gouvernement. C’était mon cas pendant longtemps, mais bon. Et là, on a changé d’échelle. On a affaire à des gens — il faut bien comprendre de quoi il s’agit — ce sont des ministres qui, en France, seraient derrière les barreaux.
Il s’agit d’ « une bande de suprémacistes, de fascistes, de fondamentalistes » et des ministres qui « devraient être derrière les barreaux ». Et il demande avec force à  à l’Europe de, enfin, se mobiliser tous ensemble. Lors de l’année que nous avons passée, nous avons passé notre vie à manifester contre la réforme judiciaire. Avant même le 7 octobre. On nous menaçait de nous transformer en Hongrie. Ce n’est pas la Hongrie, c’est la Hongrie plus les fondamentalistes religieux. Vous vous rendez compte, on serait plus près de l’Iran que de la Hongrie. Donc voilà, il ne s’agit pas seulement de ce qu’ils disent, il s’agit de ce qu’ils font, de la manière dont ils justifient ce qu’ils font.

On est dans une espèce de bulle d’horreur qui, pour des citoyens comme moi, est absolument insupportable. Alors, beaucoup s’en vont. Nous avons perdu entre 60 000 et 80 000 Israéliens qui ont quitté le pays parce qu’ils n’ont pas supporté. Et ce ne sont pas n’importe quels Israéliens : ce sont des gens jeunes, des professionnels qui portent l’économie de ce pays sur leurs épaules, et ils ont décidé que ça suffisait comme ça.
Il y a une caricature « amusante » dans le journal Haaretz : nous sommes dans un avion de la compagnie El Al (israélienne) et l’hôtesse demande : « Y a-t-il un médecin dans l’avion ? » et tous les passagers lèvent la main ensemble. C’est une plaisanterie amère, mais tout à fait juste : les gens votent avec leurs pieds.

Q : Vous savez que ce que vous dites peut être récupéré par des gens qui détestent Israël depuis toujours ?
Oui, mais ils n’ont pas besoin de moi, vous savez. Ceux qui nous haïssent, ils nous haïssent. Ce n’est pas à eux que je parle. Ce n’est pas à eux, c’est à vous, c’est à des gens normaux, des amis, des gens qui n’ont jamais été anti-israéliens, qui ne sont certainement pas antisémites.
Et si je parle à ces gens-là, c’est pour leur dire : nous avons besoin de vous pour nous aider à nous en sortir. Et là, je dois dire que cela fait des années que je crie dans le désert, que je supplie les Français, les Européens, les gouvernants, de faire quelque chose, de sortir des rituels, des phrases entendues. Tout ça, ça n’a plus aucun sens. Et je le demande : mais il faut, si vous êtes amis d’Israël comme vous le prétendez, : aidez-nous et aidez Israël maintenant. Ce n’est pas aider Netanyahou ! La confusion stupide, criminelle, qui ne cesse d’être faite entre le peuple d’Israël et son gouvernement est absolument insupportable et nous mène à la ruine.


Nous aider aujourd’hui ? Cela veut dire mettre le gouvernement d’Israël et le peuple d’Israël devant leurs responsabilités, et dire : voilà ce qui risque de vous arriver si vous continuez comme ça. Et nous ne sommes pas… vous savez, les Israéliens ne sont pas la Corée du Nord. On ne peut pas vivre seuls. Sans l’Europe — sans même parler de l’Amérique — l’Europe pourrait être un acteur de poids. C’est notre principal partenaire commercial, le principal partenaire scientifique, touristique, tout ce que vous voulez. C’est notre hinterland. L’Amérique est loin, l’Europe est à côté.
Si l’Europe avait voulu… Mais il faudrait pour cela que l’Europe existe d’abord. »


      Élie Barnavi est un historien, essayiste, chroniqueur et ancien ambassadeur d’Israël en France. Né en 1946 à Bucarest (Roumanie). Professeur émérite d’histoire de l’Occident moderne à l’université de Tel Aviv, il est aussi le créateur et conseiller scientifique auprès du musée de l’Europe à Bruxelles.

           Omer Bartov:            _______ La colère et la peur  _____

Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’CENOZIDS PALESTIN Omer Bartov, historien: "Israël se cache derrière la Shoah pour justifier l'indéfendable" LEcho’

Un "je ne sais quoi "...

                  Il dégageait effectivement un charme particulier, celui qui fut à la Sorbonne un de mes professeurs, dans les années 1970. On l'appelait Janké entre nous. Parlant sans notes, il se distinguait par une voix singulière, ondoyante et continue, parfois  à la limite de l'apnée, il semblait témoigner, se confier même plus que professer. Très  proche de l'expérience  vécue, il semblait méditer à haute voix sur la vie, la mort, le temps, la finitude en général, donnant à penser sa propre intériorité, universellement transposable, sans jamais en référer  aux malheurs passés de sa propre existence en tant que juif pendant la guerre.  Une voix fascinante, toute en méandres et en nuances, qui surprenait au premier coup, semblant côtoyer plus le langage poétique que la rigueur d'un Spinoza ou d'un Hegel. Une philosophie aux limites de l'expérience humaine, livrant ses intuitions les plus profondes, comme Bergson, sur la nature énigmatique du temps. A la limite de l'indicible. Bref, il donnait à penser les limites de la réflexion purement rationnelle, paradoxalement à travers un flux presque ininterrompu de paroles qui se reprenaient sans cesse pour se relancer plus loin, en cercles concentriques. 


                                                                                                                                                               Un presque rien, qui faisait la différence et finissait par produire ses effets pour qui se laissait emporter par le fleuve de son discours. Un charme particulier, non classique, se dégageait de ses dires, de sa gestuelle, un je-ne-sais-quoi qui faisait la différence et finissait par infuser, comme une musique étrange et séductrice. Son discours côtoyait l'ineffable. Pas étonnant que, bon pianiste autodidacte, il ait eu un tel attrait pour les impressionnistes, comme Debussy, dont les oeuvres, toute en nuances et en finesse, détonnaient tant, par rapport à l'univers des oeuvres dites classiques. Il admirait la peinture de Vermeer, qui avait pour lui un je ne sais quoi de troublant, de fascinant. Un plus qui s'énonce difficilement.


                                                                                                                        Vladimir, parti il y a 40 ans, revient en mémoire. Surtout pour ceux qui l'ont côtoyé, dont les souvenirs estudiantins s'estompent peu à peu, qui gardent encore en eux la petite musique du je-ne sais-quoi et du presque-rien, essayant de donner à penser les mystères de l'existence humaine...
   

  



Musique et temporalité

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lundi 2 juin 2025

Europe: anniversaire débattu

Il y a  20 ans

        Un tel anniversaire ne  pouvait être passé sous silence. Le débats furent passionnés. Vers quelle Europe allions-nous?  Rien n'était clair au coeur des promesses propres à susciter l'adhésion.  ...On peut (aussi) poser un diagnostic sans tabous sur la construction européenne et ses points faibles, en vue d’en tirer un protocole de soins salvateur. C’est une approche « pessimiste » mais constructive. Engageons-nous donc dans cette voie et demandons-nous quels sont les malentendus à l’origine de la crise européenne. Nous en avons distingué sept, comme les péchés capitaux du catéchisme d’antan : (1) l'Europe a été créée pour faire la guerre (froide), (2) elle s'est soumise à Washington, (3) elle prétend effacer les nations, (4) elle n'a généré aucune solidarité entre les citoyens des différents États, (5) elle s'est construite sur une idéologie (néo)libérale, (6) elle tourne le dos à sa diversité culturelle, (7) elle privilégie l'accessoire à l'essentiel...."   


                                                     Des promesses qui ne furent que partiellement tenues. Ce fut une période très clivante. De nettes fractures se firent jour, qui durent, 
annonçant de futurs blocages. . Des critiques qui ne furent pas sans fondement. La notion de peuple européen pose toujours problème. Il s'agit, encore et toujours de sauver l'Europe de ses propres faiblesses, de ses propres dérives. Parfois des plus" croyants", comme Jean Quatremer, ne ménagent pas le fouet. La question revient, encore et toujours: QUELLE Europe? Au coeur des tourmentes actuelles, des incertitudes de demain, l'horizon est on ne plus bouché...   ________________


dimanche 1 juin 2025

Viril duel

      Oncques ne se vit telle déroute...

                Où Sieur Désiré fit merveille

                        François le Premier en aurait eu grande fierté.  

Petit billet du dimanche

__ Mutation?

__ Génocide?

__ Provocation?

__ Et la suite?

__ Défaillances russes

__ Hybridation problématique

__ Expérimentation!                         

__ Superprofits

__ Maigre bilan

__ Oxygénation

__ Effondrement

__ Le vrai Tesla

__ Maga en échec?

__ Yoga oculaire

__ Milei contesté

__ Fin de mission

__  IA et criminalité

__ Poubelles en mer

__ Rythmes scolaires

__ "Maisons" de femmes                   

__ Recyclage en question

__ Bruno et ses réseaux 

__ Hybridation problématique 

                                      _____  Les choses sont claires ...          _____________

samedi 31 mai 2025

Harvard: mise au pas

   Haro sur la culture!

       Un danger?  Ou en danger?

           Il y a à faire


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