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dimanche 19 avril 2020

C'était une danse particulière...

...Appelée "macabre"
                               Celle de la vie et la mort omniprésente.
                                     Suite aux terribles pandémies de peste du 14° siècle, elle a fait son entrée dans une partie de l'art de l'époque et a laissé des traces multiples.
     Un tel malheur collectif incompris a suscité la terreur à travers une partie de l'Europe, qui dans ses croyances a renoué plus fortement avec ses hantises de l'apocalypse.
 Les conséquences furent profondes.

     Un thème qui traverse toutes les époques, qui se retrouve même parfois dans l'inspiration musicale. ♫♪♫
    La grande faucheuse était omniprésente et menaçait, en ces périodes troublées.
 Le thème de la danse macabre apparaît dans des poèmes de la fin du XIIIe ou du début du XIVe siècle qui, tel le Dict des trois morts et des trois vifs, évoquaient l'inéluctabilité et l'impartialité de la mort. Deux fléaux contribuèrent probablement à la popularité des danses macabres : la peste noire (milieu du XIVe s.) et la guerre de Cent Ans (1337-1453). Il ne faut pas oublier l'élément de satire sociale que comporte un thème qui souligne vigoureusement l'égalité de tous devant la mort et qui contribua vraisemblablement à son succès. (EU)

    La guerre avons, mortalité, famine...Bref misère domine
Nos méchants corps dont le vivre est très court »...

« Mort, qui jamais ne sera lasse
de renverser les rangs, les places,
comme j'aimerai aux deux rois
Dire, si j'en avais l'audace,
Comment de ton couteau de chasse,
Tu rases ceux qui ont de quoi.
Les hauts placés par toi déchoient ;
Tu réduis en cendre les rois... »
« Mort, tu abats en un seul jour
Le roi à l'abri de sa tour
Et le pauvre dans son village... »
(Hélinand de Froimond, Vers de la Mort, strophes XX et XXI)
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samedi 18 avril 2020

Néo-prohibition

Les fermer ou pas?
               Un préfet rigoriste.
En tous cas, ça ne guérit pas...
                   La prohibition n'a jamais été une solution efficace, au contraire.
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Afrique piégée

    Désendetter, dans notre intérêt aussi.
                                                    Le fantôme de la dette revient en force, à l'heure où certains pays, déjà en grande difficulté, sont en train de sombrer dans les circonstances actuelles.
  C'est en Afrique que le problème se pose de la manière la plus aiguë, ou du moins dans une partie notable de ce continent:
        "....Pour une majorité d’Etats africains, en effet, seule l’annulation de la dette publique extérieure pourrait éviter un effondrement économique, alors que son remboursement engloutit en moyenne 13 % des revenus des Etats (selon l’ONG britannique Jubilee Debt Campaign).   Fin mars, les ministres africains des finances avaient déjà demandé 100 milliards de dollars à la communauté internationale pour lutter contre le Covid-19, dont 44 milliards affectés au remboursement de leurs dettes et de leurs intérêts. Pour l’instant, le FMI et la Banque mondiale appellent seulement à suspendre le remboursement des emprunts des pays les plus pauvres auprès des créanciers bilatéraux,.."
              Suspendre ou annuler? Sur ce point porte le débat. Un tiers de ce qu'exporte l'Afrique sur le plan commercial sert à payer la dette. On voit bien qu'un simple suspension ne résoudrait rien à terme.  Ce n'est pas hors de portée, étant donné les engagements formels déjà pris par les nations les plus favorisées, qui ne sont pas toues désintéressés. Le FMI et la banque mondiale pourraient enfin avoir une rôle positif, à l'encontre notamment des fonds vautours.

      La descente aux enfers des économies africaines risquent d'empirer et de nous revenir en boomerang. 
         "...L'Afrique, citée par Emmanuel Macron, est très représentée dans la catégorie des pays en développement endettés en monnaie étrangère. Sur le continent, le virus Covid-19 a été jusqu’ici identifié dans 52 pays sur 55. Plus de 15 000 cas étaient recensés le 14 avril (contre 600 le 19 mars), avec plus de 800 morts. C’est en Afrique du Sud, en Égypte, en Algérie, au Maroc et au Cameroun que l’on compte actuellement le plus de personnes infectées, selon les chiffres officiels. Qu’ils soient plus ou moins affectés par la pandémie, tous les États du continent sont confrontés au même problème, crucial : trouver de manière urgente de quoi prendre en charge les malades, mais aussi affronter le désastre économique qui accompagne la pandémie. Le défi est immense en raison de la précarité de leurs systèmes sanitaires et la fragilité de leurs économies, peu développées. 
    Pour la plupart d’entre eux, la crise économique est déjà là : la chute des cours et du volume des exportations des matières premières, dont beaucoup sont fortement dépendants, se fait durement ressentir. Le prix du cacao a diminué de 12 %, celui du coton de 22 %, le cuivre de 21 %, etc. L’effondrement de plus de 50 % du prix du pétrole a l’effet d’un coup de massue pour les pays producteurs, pas encore remis de la baisse de 2014. Le niveau actuel des cours empêchera ceux d’entre eux ayant conclu des programmes avec le FMI d’honorer leurs engagements. Les pays vivant du tourisme voient le niveau de leurs ressources dégringoler. Le continent est par ailleurs victime de sorties de capitaux : les investisseurs ont déjà retiré 83 milliards de dollars des pays émergents pour les ramener vers les pays riches, un chiffre sans précédent. « Cette pandémie aura des répercussions économiques considérables en Afrique subsaharienne », a prédit le FMI. Le cabinet de conseil américain McKinsey a calculé que la croissance du PIB du continent pourrait perdre de 3 à 8 points de pourcentage. Environ 20 millions d’emplois sont menacés, selon une étude de la Commission de l’Union africaine. ..."
      Une dette publique qui a une histoire, dans les rapports inégalitaires anciens avec les pays développés, surtout depuis la libéralisation des échanges, qui a vu l'Afrique prise au piège de nos pratiques commerciales. Le libre échange absolu et dogmatique prôné par l'OMC a été mortel pour les économies africaines, tenues à baisser toujours plus le coût de leurs matières premières.
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vendredi 17 avril 2020

Comme dans un bocal

On comprend mieux la cruauté du sort du poisson confiné...à vie


Sacré pétrole

Ça tangue aux pays de l'or noir.
                               Dans notre confinement problématique, on peut, si on veut, trouver quelques motifs de satisfaction, qui sont plutôt rares.
  Quoique...
      L'immobilité imposée fait baisser nos factures liées à notre sacro-sainte voiture, qui prend du repos et de la poussière au fond du garage.

   Les compagnies d'assurances font des affaires, du fait des accidents réduits, certaines s'engageant à nous rendre le trop perçu de cotisations et surtout les dépenses dues à l'essence se sont considérablement réduites, ce qui permet certaines économies inattendues.
  Cela du point de vue du consommateur.  Mais du côté des producteurs, des transformateurs  et distributeurs, c'est le bazar.
  Les pays producteurs ne sont plus à la noce, pas tous au même degré, et la zizanie s'installe. C'est la guéguerre aux pays de l'or noir. La consommation chutant drastiquement. les pays trop dépendant du précieux liquide s'affolent, leurs revenus chutant drastiquement. Les prix sont en chute libre. L'or noir est parfois devenu l'excrément du diable, comme disait Juan Alfonso.
  Les tensions entre pays producteurs montent et descendent en fonction de la conjoncture. Avec des compromis boiteux liés à la nécessité. Cela risque de durer...
   On mesure mal les conséquences de cette baisse de consommation et de production assez inouïe. 
 On peut juste espérer qu'enfin plus tard, après le période que nous vivons, qui remet pas mal de choses en question, un réflexion de fond soit engagée sur son usage immodérée jusque là. Notre pétro-dépendance, notre addiction à ce jus de la terre ne pourront de toutes façons plus durer comme avant. La recherche et les investissement en faveur des énergies nouvelles et propres devront être poursuivis et intensifiés. Plus que jamais, c'est le moment d'y penser.
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jeudi 16 avril 2020

C'est (presque) clair...

_____Pour les anciens, ces privilégiés, ce serait pour le 31 décembre...
                     Mais ils n'ont pas précisé l'année!!!👺
                                                                              Ça risque de sentir le bouchon...
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Un front vraiment commun?

 Pour la saint glinglin?   
                     Dire que la solidarité européenne est à son maximum en ces temps de crise tiendrait de la plaisanterie, si celle-ci n'était pas gravissime. Surtout de la part de nos voisins allemands, qui donnent le ton.

   Certes,les fonds débloqués par Bruxelles ne sont pas négligeables, mais on attendait là-desssus plus d'engagement de la part de Berlin, qui tient à rester dans les clous de son splendide isolement ordo-libéral.
   Oublieuse de sa propre histoire, il n'est pas question pour elle de mutualisation des dettes; continuant à jouer sa propre musique mercantiliste, encore forte d'un euro dont elle a su profiter.
Mais, ce qui est nouveau, c'est que le débat commence aussi à agiter l'Allemagne, qui ne voit pas plus de raisons d'être optimiste que nous sur l'avenir économique de l'après-crise. Mais les réticences s'exacerbent et, en raison du manque de centralisation budgétaire européenne, cela peut se comprendre:
"... Les grands arguments mobilisés contre la levée d’un emprunt européen portent, pour résumer, d’abord sur la durée des aides, d’autant qu’on ignore à ce stade combien de temps va durer la crise sanitaire. Puis, en l’absence d’une politique fiscale, financière et sociale commune, ce sont les questions de l’objet, du contrôle et des garanties de cette dette européenne qui sont posées par les experts de la CDU et nombre d’économistes, comme Jürgen Stark, ex-économiste en chef de la Banque centrale européenne (BCE), et Lars Feld, président du Comité d’experts économiques auprès du gouvernement..."
  Aux USA, l'Etat viendra en aide aux Etats défaillants, comme en 2008, mais dans l'UE, chacun est prié de jouer sa propre partition à ses risques et périls, comme la Grèce a été priée forcée de le faire.
 Et voilà pourquoi l'UE n'est qu'un nain politique.
    C'est dans l'adversité qu'on reconnaît ses amis...
 Berlin a sans doute été et est  plus efficace que d'autres pays voisins, mais a eu aussi beaucoup de chances...
   Mais rien n'est joué et nous sommes dans une période historique qui pourrait nous réserver bien des surprises.
Revenir aux fondamentaux, disent-ils...
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mercredi 15 avril 2020

L'embarras du choix...


Hopital: révolution en trompe l'oeil?

Grand corps malade.
                           On va le soigner, c'est décidé.
   Depuis des années soumises au régime sec , selon une logique purement comptable et libérale, les maisons de santé vont-elles retrouver la capacité de remplir leur mission, avec bon sens et efficacité, comme une priorité nationale?
    Le Chef d'Etat s'y est engagé, dans une nouvelle logique, qui apparaît apparemment comme un renversement de perspective par rapport à celle qui prévalait depuis quelques dizaines d'années, en terme d'économies imposées et de gestion selon les principes du new public management importé du monde anglo-saxon. Faire mieux avec moins de moyens. Une logique réductrice et déshumanisante, qui nous a conduit dans la situation que l'on connaît en cette période de crise pandémique, qui peut se renouveler.

   Depuis longtemps des voix s'élevaient au sein du corps hospitalier pour dénoncer en vain la dégradation pas seulement quantitative et budgétaire, mais aussi qualitative, la qualité des relations dans les équipes soignantes, si importantes pour l'efficacité des soins.Il y a urgence, pas seulement aux urgences
   La conversion du Président semble spectaculaire, comme celle de St Paul sur le chemin de Damas, touché par la grâce:
   « Ce que révèle d’ores et déjà cette pandémie, a-t-il dit, c’est que la santé gratuite sans condition de revenu, de parcours ou de profession, [pour] notre État-providence, n'est pas des coûts ou des charges mais des biens précieux, des atouts indispensables quand le destin frappe […]. Il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. » Puis, il a fait part de la même conviction, mercredi 25 mars, lors d’un déplacement à Mulhouse pour visiter l’hôpital militaire de campagne qui venait d’y être construit. Il a alors promis qu’« à l’issue de cette crise, un plan massif d’investissement et de revalorisation de l’ensemble des carrières sera construit pour notre hôpital ». Avant d’ajouter : « Beaucoup a été fait, sans doute pas suffisamment vite, pas suffisamment fort. » conversion du Président semble une spectaculaire conversion:
 « Ce que révèle d’ores et déjà cette pandémie, a-t-il dit, c’est que la santé gratuite sans condition de revenu, de parcours ou de profession, [pour] notre État-providence, n'est pas des coûts ou des charges mais des biens précieux, des atouts indispensables quand le destin frappe […]. Il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. » Puis, il a fait part de la même conviction, mercredi 25 mars, lors d’un déplacement à Mulhouse pour visiter l’hôpital militaire de campagne qui venait d’y être construit. Il a alors promis qu’« à l’issue de cette crise, un plan massif d’investissement et de revalorisation de l’ensemble des carrières sera construit pour notre hôpital ». Avant d’ajouter : « Beaucoup a été fait, sans doute pas suffisamment vite, pas suffisamment fort. »
      IL faudra lui rappeler ses propres propos le cas échéant.
  Ce n'était plus possible de fonctionner comme avant. La crise a agi comme un ultime et violent révélateur de ce qui se passait en silence avant.
   Malade du marché, l'hôpital doit retrouver sa vocation première, humaine.
                     Mais attention à la privatisation rampante, qui a déjà gagné bien des secteurs des établissement de soin, attention aux dérives anglo-saxonnes toujours présentes et à la marche à bas bruit vers des soins à plusieurs vitesses. Certaines forces économiques n'ont pas renoncé à s'introduire un peu plus dans ce marché juteux.
  La Caisse des dépôts, notamment, ne reste pas passive et attend son heure:
                  "Il est prématuré de croire dès à présent qu’Emmanuel Macron a changé. En tout cas, le plan que la Caisse des dépôts et consignations (CDC) est en train d’élaborer à sa demande pour l’hôpital public, et dont Mediapart est en mesure de révéler la première ébauche, va totalement à rebours de ses déclarations. Ce document expose une série de propositions qui s’inscrivent toutes dans la philosophie néolibérale qu’Emmanuel Macron a toujours défendue par le passé. Privatisation rampante au travers de sulfureux partenariats public-privé (PPP), marchandisation accélérée de la santé : voilà un plan qui tourne le dos aux valeurs de l’État-providence.  Si l’on en croit les critiques que nous avons recueillies auprès de plusieurs experts de l’économie de la santé ou de l’hôpital, ce plan pourrait même attiser de violentes polémiques dans le pays, tant il contredit la posture prise par le chef de l’État depuis le début de la pandémie.    L’origine de ce plan est connue. En déplacement à Mulhouse, mercredi 25 mars, pour visiter l’hôpital militaire de campagne qui venait d’y être construit, le chef de l’État a fait des promesses fortes, mais sans en révéler les modalités, ni les montants, ni le calendrier. Il a juste assuré qu’« à l’issue de cette crise, un plan massif d’investissement et de revalorisation de l’ensemble des carrières sera construit pour notre hôpital ». Sans emporter la conviction, il a encore dit : « Beaucoup a été fait, sans doute pas suffisamment vite, pas suffisamment fort. » C’est dans ce cadre présidentiel que s’inscrivent les travaux préparatoires de la CDC.
  Ce plan est élaboré par la direction de l’investissement de la Banque des territoires, laquelle est chapeautée par la CDC. Selon nos informations, ce travail de réflexion a été engagé sur une commande de l’Élysée, sans que nous ayons pu savoir si la présidence de la République a sollicité d’autres services de l’État ou d’autres organismes. La note, qui est encore une mouture provisoire, a été écrite par deux hauts fonctionnaires de la CDC, Adelphe de Taxis du Poët et Pierre Menet.
   Tous les experts que nous avons interrogés – professeur de médecine, économistes, sociologue – portent sur cette note un regard similaire. S’ils relèvent ici ou là quelques avancées, ils constatent qu’elle ne tire aucun enseignement de la crise sanitaire historique que nous traversons et cherche à poursuivre et même à accélérer les processus de privatisation rampante et de marchandisation de la santé, qui étaient déjà à l’œuvre les années précédentes..."
 assez frappant de relever que du début à la fin, la note ne cesse de mentionner le secteur privé, pour une cascade de raisons, comme s’il était un acteur majeur pour l’hôpital, dont le statut public est ainsi quasiment dissous. Cette référence au privé apparaît évidemment dans les fameux partenariats public-privé ; pour le développement de la « santé numérique », il est aussi fait mention du rôle de 700 start-up qui sont aussi… privées. Dans une note en bas de page, il est aussi fait l’éloge de nombreux assureurs privés qui soutiennent l’« Alliance digitale pour le Covid-19 », laquelle est « composée de Docaposte, la start-up lilloise Kelindi, l’agence Dernier cri, Allianz France et le cabinet d’avocats De Gaulle Fleurance & associés ». Et la note ajoute : « Le consortium est soutenu par AG2R La Mondiale, AstraZeneca, CompuGroup Medical, Johnson & Johnson, La Banque postale assurances, Malakoff Humanis, la plateforme de téléconsultation MesDocteurs et le groupe VYV. »
       Bref, d’une ligne à l’autre, c’est une ode de chaque instant au privé....
  Chargé de recherche au CNRS, rattaché au Centre de recherche médecine, sciences, santé, santé mentale, société (CERMES3), le sociologue Pierre-André Juven fait ce constat très sévère : « Le seul affichage du secteur marchand comme solution à la crise est potentiellement périlleux pour les responsables politiques qui cherchent toujours à éviter l’accusation de privatisation de l’hôpital public. L’intrusion encore plus grande du privé (car déjà existante) s’articule donc à celle – moins crispante pour beaucoup d’acteurs – de l’innovation et notamment de l’innovation numérique. » On trouvera sous l’onglet Prolonger associé à cet article la version intégrale de la note que nous a adressée le sociologue. Elle peut aussi être consultée ici......Et Pierre-André Juven ajoute : « Ce document est le révélateur très net des orientations actuelles en matière de réformes de la santé : nécessité de faire plus de place au privé ; croyance forte dans l’innovation numérique comme solution au double enjeu de la qualité des soins et de la contrainte financière ; responsabilisation et individualisation face au risque. Les quatre points généraux du document ne sont qu’un coup de tampon aux stratégies édictées depuis plusieurs années. Loin de remettre en cause les orientations délétères des réformes conduites depuis plus de vingt ans, ils conduisent à accélérer la casse de l’hôpital public. Ce document n’est pas seulement la marque d’une volonté d’étendre l’emprise du privé au sein de l’hôpital public, il traduit la conception technophile, néolibérale et paternaliste qu’une grande partie des acteurs administratifs et des responsables politiques ont de la santé..... »
          Il va falloir veiller à cette stratégie, tout en continuant à s'interroger sur cette troublante conversion...

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mardi 14 avril 2020

Logique...

                                                          It's a long way
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