Le MILLION de visites est atteint. Merci de vos visites et de votre indulgence. En route pour la suite...si Dieu me prête vie!

dimanche 29 juin 2025

Hasta la vista!

   Respirer un autre air...

                    Prendre  de la hauteur

                          Oublier quelque temps...


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samedi 28 juin 2025

Perles en tous genres

 Il arrive que la culture soit en vacances avant les échéances...

            Les cancres ont de l'avenir et les perles sont inépuisables

___Inévitablement, en cette période de l'année  où fleurissent examens et concours en tous genres, on voit circuler un bouquet de petites merveilles culturelles, souvent  lâchées par des correcteurs indiscrets, tout heureux de trouver motif de réjouissance au sein de leur activité austère, répétitive, lassante.
Le ramassage de perles prépare celui des moules sur les plages déjà rêvées.
Certaines sont attendues, d'autres toujours surprenantes, tant est grande l'activité imaginative des petits ou grands potaches, faisant naïvement état d'un savoir mal digéré, de rapprochements surprenants, de connaissances approximatives, ou de désinvolture renversante.
_____La Foire aux cancres est bien connue, pleine de formules amusantes, comme en parlant de la vache ("L'insémination artificielle, c'est le vétérinaire qui remplace le taureau.")
Les copies du bac fourmillent de détails croustillants ou de savantes élucubrations.
Même dans les copies de philo, on trouve des jugements où le bon sens est parfois "bafouillé" (sic!) , souvent désolants pour un correcteur.
Certains présentent de tristes lacunes ("«Les désirs naturels varient, estime un élève. Par exemple, pour une famille vivant en Afrique, les désirs naturels seront de dormir et de manger car l'Afrique vit encore de manière sauvage. Mais pour un Français bien plus évolué, ce sera d'avoir une voiture, une machine à laver et une très grande garde-robe.». D'autres ne manquent pas d'audace ( «On constate que tous dans la société ne travaillent pas pour être utiles. Certains travaillent aussi pour leur plaisir. Les prostituées par exemple joignent l'utile à l'agréable...»). D'autres sont là pour remplir à tout prix un vide sidéral sans doute terrorisant, fruit d'une année scolaire allègrement zappée.
Si certaines perles témoignent de beaucoup d'approximations, d'autres ne manquent pas d'une certaine logique ou d'un aspect créateur certain.
On en trouve de toutes sortes , mais il n'y a pas que les élèves qui se laissent aller.
_____Si les cancres n'ont pas d'âge, la cancritude-attitude, elle est plus récente, moins naïve, et pose de vrais problèmes.
Symptôme de résistance à l'institution, de provocation à l'égard de l'enseignant ou d'ennui scolaire, elle est une manière d'affecter, de jouer un non-savoir assumé, parfois de manière arrogante, en parfaite conformité avec une certaine ignorance ambiante ou un mépris de la culture propres à certains milieux, venant parfois de haut...
__Mais, espérons-le, "le futur sera meilleur demain"( Georges Bush)

  
    



          Une mine inépuisable...


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Netanyahu en ses oeuvres

 Un rare débat, instructif, lucide et terrible, sans langue de bois. A discuter et à prolonger...

            Par delà les préjugés, les idées simplistes et la propagande.

__ Tragédie sans fin __
   

 __ Golan; une image équivoque

     __ Barnavi: un historien lucide et déchiré

        __ Soldats indignés

                     ___ Le brouillard de le piège                      ______________________

Conclave sans fin...

   Blocage au Vatican

          


                      Cardinaux en colère

              


La lourde tâche de durer




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vendredi 27 juin 2025

Drones en tous genres

 Pour une guerre civilisée, à distance

      Plus jolie...😨

          La Chine fait mieux

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Libre-échange à géométrie variable

 Et protectionnisme relatif

                 L'idée d'une liberté de commercer entre pays, de manière relativement libre, dans le cadre de traités négociés, d'échanger des biens qui font défaut ici en échange tarifé d'autres qui abondent là, pour une plus grande prospérité, partagée ne date pas d'aujourd'hui. Montesquieu, à son époque, avait traité de "doux commerce" cette pratique, variable historiquement, proche à rapprocher les peuples, en évitant les affrontements brutaux pour s'accaparer des biens convoités. Le commerce, pas la guerre...Ce principe d'échanges contractuels a connu bien des formes et en connaîtra bien d'autres. D'échanges limités, on est passé à des accords plus larges dans le cadre de conventions internationales, dans le cadre notamment de l'OMC, de date relativement récente, dans le contexte qu'il fut convenu d'appeler la "mondialisation heureuse", avec Alain Minc, surfant sur le libéralisme échevelé des décennies  récentes, où toute forme de protectionnisme, même relatif, était vouée aux gémonies, considéré comme forme de régression économique et de danger d'affrontement potentiel. C'est l'époque de la globalisation tant célébrée, qui n'a pas tardé ses limites et ses impasses, voire ses absurdités, certains pays développés déléguant la fabrication de productions essentielles pour des raisons de baisse de coups de production et se retrouvant démunis de biens fondamentaux en cas de crise, comme dans le domaine des médicaments de base, de masques en période de Covid, etc... Sans parler des coûts écologiques parfois énormes et absurdes dus à la circulation de produits, comme l'automobile ou certains produits alimentaires.   


                                                                 Néanmoins Clinton voyait cette évolution comme une sorte de processus naturel: "La mondialisation n'et pas quelque chose que nous pouvons arrêter. C'est l'équivalent d'une force de la nature" tandis que B.Obama disait plus tard: "Le libre échange est bon pour les USA..." On comprend mieux le relatif succès électoral de Trump dans certains milieux: depuis 2008, les ravages de la mondialisation sans contraintes ont accéléré la désindustrialisation: depuis l'Alena, aux USA, 90000 usines ont disparu avec son cortèfe de chômage et de bas salaires, notamment dans l'Ohio et le Michigan. Mme von der Leyen pousse aujourd'hui à conclure avec l'Inde "le plus grand accord de libre-échange jamais accompli..."           La politique commerciale à la tronçonneuse de Trump pousse vers de nouvelles directions, et en partie vers l'inconnu, en tous cas vers un rebrassage des choix passés, des nouveaux rapports politiques qui se font jour, pleins d'incertitudes, même en Europe. Le Mercosur reste en suspens. La Nouvelle Zélande est encore discutée..                                                                                       En tous cas, depuis Paul Kugman, la valorisation naïve du libre échange de Delors et consorts est discutée, parfois âprement, en attendant de retrouver de nouveaux équilibres... "... La valorisation des vertus du libre-échange a cédé la place à une mise en valeur de ses défauts. Peut-être y a-t-il, dans cette mise en balance d’avantages et de défauts, un arbitrage difficile, voire impossible. Nul ne sait aujourd’hui à la fois capitaliser sur les vertus de l’échange, protéger les populations les plus fragiles, et tenir la promesse de la solidarité et de la redistribution. Une chose est sûre, les doutes ne vont pas s’évanouir et le libre-échange se voit exiger, désormais, de faire ses preuves. Si l’on ne veut pas renoncer à ses bénéfices, reste donc pour les politiques à faire inlassablement la pédagogie des accords commerciaux en explicitant les enjeux de chaque accord, en mettant à nu les avantages et les coûts de chaque accord, en prenant au sérieux les politiques de remédiation pour les perdants. "                 Il est urgent de repenser les règles.                                                                                                                                    Paradoxe __   ...L
e credo réaffirmé dans les vertus de la concurrence. « Notre industrie et nos entreprises technologiques aiment la concurrence. Elles savent que la concurrence mondiale est bonne pour les affaires ». Mais dans quel monde vit Madame von der Leyen ! En plein IRA américain (Inflation Reduction Act), en plein effort massif d’investissements chinois sur les technologies de pointe, domaines dans lesquels le pays mène une guerre économique à outrance, le message de l’UE consiste à réaffirmer le principe de concurrence et à se plaindre du fait que les autres sont des méchants qui ne croient pas au libre jeu des marchés. D’où l’annonce du lancement d’une enquête antisubventions sur les véhicules électriques en provenance de la Chine. Pas besoin d’y passer du temps et de l’argent, on peut donner le résultat tout de suite : le secteur des voitures électriques a été, comme bien d’autres, largement subventionné en Chine. Les experts ont du mal à estimer les montants précis mais le Cepii a montré cet été qu’ils sont importants..."   __________________

jeudi 26 juin 2025

On progresse

  A l'envers

      On peut toujours rêver

                   Une biodiversité en péril

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Théorie du fou

Quand la diplomatie trumpienne change la donne

                                        On Shit!

                    Avec l'ère trumpienne, nous avons vu arriver un nouvelle pensée, un nouveau langage, pas toujours fleuri, sensé bousculer les codes en vigueur, le langage d'usage, les formules parfois un peu convenues, les règles de droit bien installées, même au niveau des relations internationales. Le nouveau shérif s'est d'emblée débarrassé de ces conventions pour instaurer de nouvelles pratiques peu conventionnelles, en interne comme en externe, un langage peu fleuri, des attitudes provocatrices propres à casser la baraque, provoquer la sidération, la stupeur, parfois la paralysie; la fascination chez les adeptes et les convaincus.           Cela n'était le simple effet d'unee humeur particulière, d'une inculture notable sur de nombreux sujets, propres à des retournements parfois stupéfiants. Il apparaît mieux aujourd'hui qu'il y a une large part de stratégie réfléchie depuis des années dans des cercles proches des grands influenceurs, politiquement instrumentalisées par de nouveaux groupes au pouvoirs, désireux d'ouvrir les vannes à de nouvelles formes de gouvernance, directes et brutales, de type néo-libertarien. "Casser la baraque" est devenu la nouvelle norme pour installer de nouveaux deals en créant la stupeur qui paralyse la réaction et les coups de force qui intimident. Ça a marché, malgré les incohérences et les tensions internes, les doutes aussi sur la durabilité d'un tel projet machiavélique, qui commence à se faire jour, même dans certains milieux républicains. La diplomatie du marteau et du charme enjôleur peut avoir vite ses limites, après le cauchemar. La théorie du fou, n'est pas nouvelle, mais elle a atteint des sommets à tous les niveaux.  Le "chaos profite toujours à celui qui l'organise"...du moins un certain temps.                                                          C'est une sorte d 'hypnocratie qui résulte de cette fascination- déstabilisation calculée, machiavélique, propre à "semer la m...." en disloquant les structures établies et les modes de pensée convenus. Une nouvelle pratique théorisée et promues de longue date par des "prophètes" comme S. Bannon, le grand-prêtre de la désinformation, en froid aujourd'hui avec son maître, qui à ses yeux n'en fait pas assez.    Un livre lève le voile sur la nature de ces techniques propres à créer la persuasion par la  désinformation habilement utilisée par le biais de certains réseaux sociaux. Un cas, ce Bannon, aux réseaux internationaux, dont l'"enseignement", souvent repris, revient en gros à ce projet hautement philosophique: "Flood the zone whit shit" (inonder la zone de merde), pour contourner et décrédibiliser les éventuelles contradictions et résistances. __ [Extraits]      _____ A quand : Echec et mat?   Cela ne manquera pas de se produire...                                                                                                         Sommes-nous à l'abri de telles dérives?

                              _____Une oeuvre étonnante__________________

mercredi 25 juin 2025

Il était une fois...

 Quand le tour était LE TOUR

      Loin du vélo-business d'aujourd'hui







Entre Pau et Luchon:






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Violences américaines

Des racines si profondes...

                             Le contexte d'extrême violence politique et de peur régnant actuellement sur les USA, surtout depuis l'inquiétant assaut du Capitole, interroge. depuis l'investiture de Demolition Man, ignorant toutes règles de droit, confondant intérêts publics et privés, privilégiant les  rapports de force en interne et en externe, ne cesse d'interroger. Après crainte et tremblements, la stupeur est toujours bien présente devant le début de ce capitalisme de malfrats. Dans ce contexte et en parallèle s'installe, comme c'était à craindre, un cycle de violence, dont il y a lieu de s'inquiéter. Les mythes du rêve américain et de la destinée manifeste semble bien fondre comme neige au soleil. Comme si une vocation spécifique au bonheur collectif, à l'exemple international , à l'idéal pour tous, depuis les premiers colons et renforcée constamment par la suite avait un quelconque, quand on connaît seulement la longue série des guerres américaines. La violence est constitutive même de l'acte de naissance du pays.                        Sans parler des diverses formes de la violence interne passées et présentes, dans le pays le plus armés au monde, conformément au deuxième amendement. Presque une religion.  L'histoire n'explique pas tout. Le pays est certes né dans la brutalité. Avec les effets que l'on connaît, d'une triste banalité répétitive, faisant le bonheur d'un lobby florissant et influent.   Un phénomène culturel et historique, certes, mais tellement intériorisé qu'il en est devenu une sorte de fatalité, malgré des prises de consciences et des réactions sans grands effets.                                                                             Le pays est malade de la violence et déchiré comme jamais.

             "Dommage qu'il l''ai raté", disent certains, tandis que d'autres crient au miracle. Ce qui est clair pour l'instant est que cette tentative d'attentat va à coup sûr créer les conditions favorables d'une possible réélection de celui qui a tant fait pour échapper aux mailles d'une justice défaillante. Dans certaines chancelleries, on s'en réjouit secrètement, de Budapest à Moscou, en passant par Jérusalem.. Depuis Lincoln, en passant par Kennedy, la liste est longue des présidents victimes d'attentats, réussis ou non.                                 __ Pas étonnant, quand on considère le nombre d'armes détenues en toute légalité aux USA et la puissance des lobbies, comme la NRA. La question principale, mais taboue est: comment amender le deuxième amendement?

                                                 Plus d'un citoyen lucide aux USA s'interroge et s'inquiète: jamais les armes de toutes sortes n'ont été aussi nombreuses sur le sol du pays. Même des armes de guerre. Et ce ne sont pas des objets de musée ou de collection. La longue tradition qui a enraciné le pays dans la conquête d'espaces toujours plus étendus, où le fusil faisait souvent la loi, a marqué les esprits, a engendré une tradition. La violence initiale se poursuit en violences épisodiques que beaucoup déplorent mais qu'aucune loi ne vient changer, ou si peu. Les ventes d'armes explosent aux USA, surtout depuis l'épisode Trump. Ce n'est plus de l'autodéfense, c'est du surarmement, incité par la toute puissante NRA. Même les enfants sont sollicités dans cette course folle, dans le contexte de quasi-guerre civile armée que déplorent les observateurs actuellement. Les massacres, les tueries de masse ont beau se succéder, rien n'y fait. Obama e d'autres ont eu quelques velléités de légiférer sur ce point, mais rien n'y a fait.              Avec une hausse spectaculaire des homicides, même la police s'inquiète de cette escalade sans fin. "...Il y a encore eu une hausse de 24 % des homicides au premier trimestre 2021 par rapport aux trois premiers mois de 2020, selon une étude du Council on criminal justice (CCJ) portant sur 34 des plus grandes villes du pays. « Cette hausse, supérieure à la normale saisonnière, est extrêmement troublante », soulignent ses auteurs...." Depuis plus d'une dizaine d'années, c'est la surenchère et l'extension des tueries de masse. Une croissance folle.                                                                                         D'amie intime, l'arme individuelle est devenue l'ennemie intime.

                                  Aux USA, la barbarie est en progrès.  Les mouvement anti-armes militent pourtant comme ils peuvent contre cette folie qui ne tarit pas, mais a même tendance à s'aggraver ces dernières années, en quantité et en qualité; les engins automatiques envahissent maintenant les marchés et les armureries. Obama a tenté une réforme pour modifier ce droit, dont l'application  dépasse la simple raison. En vain. Il a dû céder devant la force des lobbies. Même résolution du côté de Joe Biden, qui a déjà réduit ses objectifs et est en train de baisser les armes. Les ventes repartent à la hausse . La bible et le fusil, c'est comme la prunelle de leurs yeux. Le contrôle est en perte de vitesse, malgré la montée des tueries de masse dans les écoles e dans l'espace public. Jamais sans mon flingue: telle est la devise dans la plupart de Etats. Les lobbies sont si puissants politiquement. La NRA se distingue particulièrement et sait inlluencer les élections, généreuses avec ceux qui soutiennent son influence.                                                   ___________"...En ces temps de réouverture de l’économie après un an de pandémie, beaucoup d’Américains réfléchissent à la tenue qu’ils vont porter pour sortir après avoir passé l’année chez eux en pyjama et en jogging. Certains ont un accessoire singulier en tête : une arme de poing. Plusieurs États du pays ont en effet décidé d’essayer de rendre plus facile pour leurs habitants de porter une arme dans l’espace public sans qu’ils aient à demander un permis, se soumettre à une vérification de leurs antécédents ou suivre une formation au tir.  La mode du port d’armes sans permis est en plein boum. Depuis février, cinq États ont adopté de nouvelles lois ou assoupli les anciennes. Certains, comme l’Utah, où le port d’armes sans permis est entré en vigueur le 5 mai, exigent qu’elles soient dissimulées (par exemple dans un étui sous une veste). D’autres, comme le Tennessee, permettront aux gens de porter leur revolver bien en vue. Cinq autres États, dont la Louisiane et la Caroline du Sud, envisagent d’approuver également le port d’armes sans permis, ainsi que le Texas, où le Parti républicain s’est donné pour priorité de faire passer une loi en ce sens.     Il y a vingt ans, seul le Vermont autorisait le port d’une arme de poing sans permis. D’ici la fin de l’année, au moins 20 États le feront. Les nouvelles lois font sauter tous les garde-fous. Aujourd’hui, pour porter une arme de poing de façon dissimulée au Texas, il faut demander un permis qui inclut une vérification des antécédents, la prise d’empreintes digitales, une formation, un examen écrit et une épreuve de tir. Si elles sont approuvées, les nouvelles lois feront disparaître toutes ces conditions....

           De fait, de plus en plus d’États vont vers davantage de laxisme dans une période où les fusillades de masse et les crimes violents sont en hausse et alors que les ventes d’armes à feu atteignent des niveaux record. En 2020, les vérifications des antécédents des acquéreurs d’arme ont atteint le nombre de 39,7 millions, du jamais-vu. Lors du dernier trimestre de l’exercice 2019-2020, le fabricant Smith & Wesson a enregistré deux fois plus de ventes (et trois fois plus de bénéfices) que l’année précédente...."                                                                                            ________Les causes sont anciennes et profondes:   "...Si le droit aux armes est bien un droit individuel, l’arme elle-même est au moins autant un lien social qu’un instrument d’individualisation. Les armes, tout comme l’art de les manier, se transmettent de génération en génération. Comme le note fort justement Robert Spitzer, l’acquisition d’une certaine habileté au tir est une marque de maturité et peut à bien des égards être considérée comme un « rite de passage » du monde des enfants à celui des adultes (8-9). C’est ainsi que « ceux qui sont les plus susceptibles d’embrasser et de perpétuer la tradition des armes sont socialisés tôt dans leur vie par d’autres membres de la famille à travers la possession et la pratique des armes » . De plus, pour l’« Américain honnête », le fait de posséder et de porter une arme peut être ressenti comme un engagement vis-à-vis de la communauté, comme une manière d’exercer sa responsabilité de citoyen...."                                                                                           ___       “Le prix de la liberté c’est la vigilance éternelle." (T. Jefferson)                _______________________