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mardi 22 juillet 2025

Le chaos lui va si bien

Hélas!

                      On a connu les opérations des  néoconservateurs américains, Bush en tête, au Moyen-Orient. On a vu les résultats en Irak et en Afghanistan. Au nom de la démocratie... Dans le Proche-Orient aujourd'hui, Bibi et son équipe de suprémacistes sionistes radicaux ont  pour projet politique de redessiner lee frontières à leur avantage: de la mer au fleuve.   Gaza, où tous les jours, les massacres continuent, sans discernement, en vue d'une expulsion fantasmée, est le premier jalon de ce projet aujourd'hui affirmé, sans souci des critiques, même internes ( 1)  Des voix vont s'éteindre.  D'autres se lèvent. La famine règne. Demain pourrait être plus tragique...Ce n'est pas sans rappeler d'autres aventures coloniales , parfois en pire.     


                                                             Une stratégie du chaos est en place, vers un avenir incertain et dangereux, pour Israël même. Un projet qui prend une allure apocalyptique, où la moindre pitié n'a pas sa place. Un chaos, dit sécuritaire, ouvrant un nouveau chapitre.   "
Jour après jour, le Proche-Orient s’enfonce dans le chaos, et la possibilité d’un incident nucléaire majeur ne relève plus d’un catastrophisme infondé. En décidant de lancer une attaque aérienne massive contre la République islamique d’Iran, le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou n’a pas simplement démontré qu’il avait de la suite dans les idées. Il a surtout fait monter de plusieurs crans les tensions régionales et déclenché une nouvelle guerre dont même Washington, allié et grand protecteur de Tel-Aviv, prétendait ne pas vouloir.       Après quelques tergiversations du président américain Donald Trump, les États-Unis sont intervenus à leur tour contre la République islamique par le biais de bombardiers stratégiques et de missiles visant les installations nucléaires de Téhéran. Une attaque qui a déclenché des représailles iraniennes contre une base américaine au Qatar. À l’heure où nous mettons sous presse, il reste à savoir si l’Amérique entend reprendre ses bombardements, voire à faire sien l’un des objectifs proclamés de M. Netanyahou, pour qui la chute du régime iranien n’est pas à exclure. Quant au cessez-le-feu annoncé par Washington, il durera le temps que le voudra M. Netanyahou. Tel-Aviv a besoin de la puissance de feu des États-Unis afin d’en finir avec des installations nucléaires et militaires souterraines. Il n’a pas non plus la capacité logistique pour envahir le territoire iranien — cela imposerait à son armée un long transit périlleux à travers la Syrie et l’Irak — contrairement à ce qu’il a pu entreprendre au cours des derniers mois au Liban.   __Outre les enjeux de politique intérieure américaine, cette incertitude sur la position de Washington est à rapporter au flou qui entoure les objectifs réels de M. Netanyahou. Alors que son armée continue de semer la dévastation à Gaza — où le bilan frôle les 60 000 morts et où une grande majorité de la population souffre de la faim, conséquence directe d’un implacable blocus ..."   


                             
La force et la ruse sont les deux leviers de ce projet machiavélien, facilité par l'aide américaine. C'en est fini officiellement de la théorie de deux Etats.   Comment en garder l'espoir même, après de telles tragédies?                                                                                                                                                          Un désastre, comme le reconnaît un Israëlien de premier plan.

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