* Contrairement à ce qui est dit parfois, Hillary Clinton n'est pas "la première femme candidate à la présidence".
* Une fusillade de plus.
Les armes à feu, nouvel enjeu de l’affrontement entre Trump et Clinton
Les tueries se suivent...
* EDF renvoie le démantèlement de ses vieux réacteurs... au siècle prochain(?)
Un cadeau empoisonné laissé aux générations futures.
Insuffisances des provisions d'EDF pour financer les démantèlement à venir.
* Bruxelles : la définition des perturbateurs endocriniens par la Commission européenne provoque un tollé.:
Une bombe à retardement.
* Certains métiers ont de l'avenir...
* Le blasphème, hier et aujourd'hui.
* Les gouvernements ont démissionné face aux marchés financiers.
...Une contre-révolution fiscale s’est déployée depuis plus d’un quart de siècle. Son fil directeur a été de baisser par de multiples moyens
les impôts payés par les ménages les plus riches et par les entreprises,
en particulier les plus grandes. L’impôt sur le revenu est devenu de
moins en moins progressif avec la diminution du nombre de tranches et
les baisses successives du taux marginal supérieur. L’impôt sur les
sociétés, véritable peau de chagrin, pèse trois fois plus lourd sur les
PME que sur le CAC 40. Résultat imparable, l’Etat s’est appauvri : ses
recettes représentaient 15,1% du PIB en 2009 contre 22,5% en 1982. On
trouve là une des raisons de l’accroissement régulier de la dette
publique avant même la crise financière. Car, contrairement à une
antienne dont on nous rebat les oreilles, ce n’est pas l’explosion des
dépenses publiques qui a creusé les déficits. Avant la crise, elles
avaient même tendance à baisser : 55% du PIB en 1993, 52% en 2007. La
crise, dont il faut rappeler qu’elle trouve son origine dans les délires
de la finance, a évidemment gonflé la dette. Baisse des recettes
fiscales dues à la récession, plan de relance pour éviter la dépression
et, enfin, sauvetage des banques se sont combinés pour arriver à ce
résultat...
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