A Los Angeles, la sidération...
On met le désastre (toujours en cours) sur le compte des vents, qui ont amplifié un processus, dans le contexte climatique du moment. dans une série de phénomènes qui tendent à se multiplier. Le déficit en eau a certainement joué, comme la privatisation partielle des soldats du feu. « Los Angeles n’a reçu que 0,16 inch de pluie depuis mai dernier, soit 5 mm environ. On ne s’adapte pas au changement climatique ; on le subit avec beaucoup de casse », a résumé le climatologue français Christophe Cassou Des facteurs humains sont évidemment en cause, malgré les critiques outrancières. _ Etonnante anticipation _
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