* Entre Kiev et Bagdad, incertitudes et fatigue américaines.
* Wikipedia: prudence!
* François: pas froid aux yeux
* Rifkin, le sauveur?
Transition énergétique en question
* Nouvelle drogue pour l'homo ecranticus?
* De la fragilité des cyclistes en milieu urbain
* Quand la Chine flottera...
* Retour d'Orwell?
* Bis repetita... ad nauseam
* Juncker, et après?... Complexité et mise en scène. Blanc bonnet et ...
Tant pis pour Cameron.
A la fin c’est Merkel qui décide.
" L’homme est ..le visage d’une Europe qui n’aime pas se montrer en
pleine lumière : celui de l’opacité financière. Le Luxembourg, ce trou
noir de la finance internationale, dispose d’un siège au conseil
européen et d’un droit de veto sur toutes les décisions relatives à la
fiscalité et à la réglementation financière et bancaire européennes. Un
pouvoir que Juncker ne s’est jamais privé d’exercer. Bien sûr,
officiellement, il tenait simplement son rôle de tenant absolu de
l’orthodoxie budgétaire. Mais en coulisse, il s’activait dans toutes les
négociations européennes pour que son pays reste le paradis de
l’opacité. En combattant s’il le fallait les initiatives de ses
partenaires en faveur de la transparence fiscale, comme nous l’avons détaillé ici. Une posture qui lui valut ce commentaire cinglant du sénateur français Jean Arthuis (UDI) : « Le
matin, il nous rappelle nos obligations d'équilibre des finances
publiques et l'après-midi, il nous fait les poches grâce au régime
luxembourgeois sur la fiscalité et le secret bancaire. » (Mediapart)
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-Revue de presse
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