Nos présidents adorent les gros navions.
Ça ne vole pas haut, mais ça coûte cher au contribuable.
L'aéroplane fait partie maintenant du train-train présidentiel.
Comme Macron, qui a trouvé le filon. Même pour 100 kilomètres. Même s'il ne s'envole pas...dans les sondages.
A bord pour un oui pour un non. Et c'est bonbon!
Le train, c'est trop lent, trop vulgaire et trop dangereux, avec ou sans pyjama...
Il est fini le temps des trains spéciaux des chefs d'Etat, comme celui des carrosses d'ailleurs, sauf pour la Queen en quelques circonstances.
Jamais sans mon avion est devenu la règle.
Surtout depuis François (le Premier), qui le prêtait souvent à ses copains pour leurs petites folies et qui ne lésinait pas sur les frais de palais. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est Closer. Alors...
François (le Second) en fit un usage plus modéré, mais non sans risques.
Mais avec Macron les dépenses s'envolent, avec ou sans Falcon.
Il y a tant d'affaires à régler à l'heure de la mondialisation. Pas seulement diplomatiques.
Comme Sarko, il ne prend pas Ryanair, bien moins cher. On se demande pourquoi.
Sarko One bling bling, c'était quelque chose!
Depuis Vincent Oriol et son DC4, on a fait du chemin. Si on peut dire. La caravelle est à la poubelle.
Quel sera pour demain l'avion préféré de nos présidents
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