Selon le dicton,
Tout est bon dans le cochon.
Républicain ou non.
Même dans l'Orégon....
Jambons, saucissons, rillons ou filet mignon, quelle dégustation!
Au restau comme à la maison.
Mais son sort est parfois cochon.
Pas toujours bon d'être un cochon.
Ce n'est guère folichon.
Quels cons! ces patrons...
Optimisons le cochon!
Dur, dur d'être cochon!
Pourtant, l'est pas con, le cochon.
Et pas si sauvageon.
Il a même le coeur très bon
A Tarascon ou à Cholon.
Que serions-nous sans le cochon,
Qui enchante filles et garçons?
Même s'il est souvent grognon.
Dites-le-moi, mais pour de bon...
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Se passer de cochon? Non, c'est trop bon.
Mais... Pía Spry-Marqués est une jeune femme ayant grandi à Madrid avant d’élire domicile en Grande-Bretagne où elle obtient un diplôme en archéologie de l’université de Cambridge. Son objet d’étude ? Le porc à travers les âges, du paléolithique à nos jours. Ou plutôt, comme l’indique le titre du livre qu’elle vient de publier outre-Manche, comment le porc devient du cochon. Elle se souvient de ses années madrilènes, lorsque son seul contact avec l’animal se faisait lorsqu’il était déjà mort et transformé : sur les étals des bouchers, ou dans les restaurants où pendaient de formidables jambons de Pata Negra et Cie, raconte le quotidien The Independent.
Mais... Pía Spry-Marqués est une jeune femme ayant grandi à Madrid avant d’élire domicile en Grande-Bretagne où elle obtient un diplôme en archéologie de l’université de Cambridge. Son objet d’étude ? Le porc à travers les âges, du paléolithique à nos jours. Ou plutôt, comme l’indique le titre du livre qu’elle vient de publier outre-Manche, comment le porc devient du cochon. Elle se souvient de ses années madrilènes, lorsque son seul contact avec l’animal se faisait lorsqu’il était déjà mort et transformé : sur les étals des bouchers, ou dans les restaurants où pendaient de formidables jambons de Pata Negra et Cie, raconte le quotidien The Independent.
Aujourd’hui, elle a changé d’avis : elle trouve toujours les porcs formidables mais parce que, selon elle, il s’agit d’animaux sensibles, sociables et intelligents. Ils devraient être nos « meilleurs amis » plutôt que de remplir notre panse, dit-elle. A cela s’ajoute la surproduction dans des conditions de plus en plus dégradantes pour l’animal. Du coup, elle a arrêté d’en manger. « J’adore le jambon ibérique, j’adore le chorizo. Mais cela ne peut pas justifier ce que nous faisons aux cochons », conclut-elle.
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