Ils ont omniprésents.
Et ont parfois pignon sur rue.
Parfois, ils sont juste admis, sous certaines conditions et plus ou moins contrôlés.
Parfois, ils sont juste admis, sous certaines conditions et plus ou moins contrôlés.
Agir de manière occulte et indirecte fait partie de leur stratégie habituelle.
Dans les débats et les prises de décision politiques, l'intérêt général n'est pas leur souci.
Ils font valoir des causes, mais essentiellement privées, comme les maîtres de forge en France à une certaine époque, comme les puissants groupes pharmaceutiques, comme la NRA aux USA, dont les pouvoirs d'influence sont énormes.
Que ce soit pour contribuer à orienter des choix économiques ou des choix politiques. .Eisenhower déplorait la puissance des lobbies de l'armement à une époque. Certains aujourd'hui aux USA remettent en cause les trop puissants lobbies pro-israëlien..
Les "visiteurs" s'insèrent là où il est possible de faire valoir les intérêts de leur groupe, que ce soit à Washington, à Bruxelles ou à Paris. Ils savent se faire discrets et neutres. Le "conseil" et la ruse sont leurs armes de prédilection, comme il était rappelé hier soir dans l'émission C'est dans l'air.
C'est l'indépendance des pouvoirs ou du pouvoir qui peut être mis en question, par des conseillers non dénués d'arrière-pensées. On a connu le poids les cigarettiers en matière de désinformation, notamment.
C'est la démocratie qui est là en question, dans certains choix essentiels dans des débats qui ne sont pas toujours de seconde zône, comme les problèmes énergétiques ou ceux de la santé...
Ils ont des dons et des moyens pour s'imposer et pour flatter, afin d'emporter une décision, lors d'un amendement qu'ils inspirent ou une décision finale qu'il ont largement contribué à façonner.
Malgré parfois les sanctions possibles, ils continuent de manière toujours plus subtile. Et, en dépit d'une déontologie de façade, le phénomène n'est pas près de disparaître, tant qu'une commission de surveillance, spécialement affectée à des tâches de contrôles spécifiques n'a pas été mise en place. pour veiller au grain.. Transparency international ne peut pas tout faire.
Ils ont plusieurs visages et ne sont pas toujours facilement détectables. Bref la lutte contre la puissance souvent occulte les lobbies est loin d'être terminée.
Ils tiennent souvent des pays entiers par des biais détournés, parfois invisibles.
Comme une hydre à plusieurs têtes, le phénomène tend à resurgir sans cesse. Tant qu'il y aura conflit entre intérêt général et certains intérêts privés, tant qu'il n'y aura pas d'organe régulateur efficace.
Les "visiteurs" s'insèrent là où il est possible de faire valoir les intérêts de leur groupe, que ce soit à Washington, à Bruxelles ou à Paris. Ils savent se faire discrets et neutres. Le "conseil" et la ruse sont leurs armes de prédilection, comme il était rappelé hier soir dans l'émission C'est dans l'air.
C'est l'indépendance des pouvoirs ou du pouvoir qui peut être mis en question, par des conseillers non dénués d'arrière-pensées. On a connu le poids les cigarettiers en matière de désinformation, notamment.
C'est la démocratie qui est là en question, dans certains choix essentiels dans des débats qui ne sont pas toujours de seconde zône, comme les problèmes énergétiques ou ceux de la santé...
Ils ont des dons et des moyens pour s'imposer et pour flatter, afin d'emporter une décision, lors d'un amendement qu'ils inspirent ou une décision finale qu'il ont largement contribué à façonner.
Malgré parfois les sanctions possibles, ils continuent de manière toujours plus subtile. Et, en dépit d'une déontologie de façade, le phénomène n'est pas près de disparaître, tant qu'une commission de surveillance, spécialement affectée à des tâches de contrôles spécifiques n'a pas été mise en place. pour veiller au grain.. Transparency international ne peut pas tout faire.
Ils ont plusieurs visages et ne sont pas toujours facilement détectables. Bref la lutte contre la puissance souvent occulte les lobbies est loin d'être terminée.
Ils tiennent souvent des pays entiers par des biais détournés, parfois invisibles.
Comme une hydre à plusieurs têtes, le phénomène tend à resurgir sans cesse. Tant qu'il y aura conflit entre intérêt général et certains intérêts privés, tant qu'il n'y aura pas d'organe régulateur efficace.
- Le lobbying à Bruxelles : une menace pour la démocratie ?
--Les lobbies, instrument de la démocratie ?
-Lobbying au Parlement Européen : l’heure des comptes |
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