C'est connu. Produire un nouveau médicament peut coûter très cher..
Cet argument est le plus souvent avancé par les firmes pharmaceutiques pour justifier les prix.parfois astronomiques de certains nouveaux produits, qui peuvent varier d'un extrême à l'autre selon les pays.
Des accidents de parcours et des pratiques souvent obscures.
La pharma mondiale, hautement rentable, soigne ses actionnaires
Le profit à tout prix et le manque de contrôle public ont souvent été dénoncés.
Un anticancéreux à plusieurs milliers d'euros par mois et par patient vient d'être lancé sur le marché.
Des prix qui donnent la nausée selon Que Choisir. D'autant plus que Merck ne livre plus un anticancéreux aux Grecs pour cause d'impayés!
La France acceptera-t-elle de payer? |: "Autorisés depuis juillet par l’Agence européenne du médicament ces deux spécialités ne tarderont guère, dit-on, à être commercialisées sur les marchés des pays de l’Union – quelques mois pour la France. Encore faut-il s’entendre sur les prix. On imagine l’impact que peuvent avoir ces informations sur les personnes directement concernées – celles souffrant d’un mélanome métastasé. On parle ici de plusieurs milliards de dollars de chiffres d’affaires. Des analystes évoquent un nouvel Eldorado des anticorps monoclonaux – des chiffres qui ne tiennent qu’au prix de vente unitaire du traitement : jusqu’à 150 000 dollars par an aux États-Unis.
« Le succès de deux anticancéreux met à l’épreuve les finances de la Sécu. La France se prépare à l’arrivée d’une nouvelle génération de molécules, aussi onéreuses qu’efficaces pour traiter des cancers » titre Le Monde (Chloé Hecketsweiler). Le prix du Keytruda®, comme l’Opdivo® pourrait atteindre 100 000 euros par patient et par an. Pour l’heure rien ne permet de dire quel sera le champ d’application de ces nouvelles molécules. Merck explique cibler « trente tumeurs différentes » tandis que Bristol-Myers Squibb va commercialiser sa nouvelle spécialité dans le cancer broncho-pulmonaire."
La recherche du profit prend trop souvent le pas sur l'intérêt de la santé publique.
« Le succès de deux anticancéreux met à l’épreuve les finances de la Sécu. La France se prépare à l’arrivée d’une nouvelle génération de molécules, aussi onéreuses qu’efficaces pour traiter des cancers » titre Le Monde (Chloé Hecketsweiler). Le prix du Keytruda®, comme l’Opdivo® pourrait atteindre 100 000 euros par patient et par an. Pour l’heure rien ne permet de dire quel sera le champ d’application de ces nouvelles molécules. Merck explique cibler « trente tumeurs différentes » tandis que Bristol-Myers Squibb va commercialiser sa nouvelle spécialité dans le cancer broncho-pulmonaire."
La recherche du profit prend trop souvent le pas sur l'intérêt de la santé publique.
Au travers des médias traditionnels, les compagnies pharmaceutiques dépensent chaque année 18 milliards de dollars en frais de marketing. Pour les médecins, les compagnies dépensent six fois ces sommes en plans d’assurance santé, conférences éducatives, études publiées dans des revues médicales, etc., etc. Tout cela revient à dire que nous avons des vaccins exemptés de toute responsabilité pour le fabricant, très peu de données montrant que ces vaccins sont sûrs et efficaces, avec d’énormes dépenses de marketing. Aux Etats-Unis notre système vaccinal est délabré. Il n’est pas possible de rendre un produit obligatoire quand tant de questions restent sans réponse et quand tant de choses se passent dans les coulisses dont le public n’est pas conscient, comme par exemple les ingrédients des vaccins...
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