Malgré les récentes réglementations, plus ou moins respectées, on constate que le portable continue à exercer son emprise de manière excessive et souvent toxique sur une bonne partie de la population scolaire, dés le plus jeune âge, malgré les efforts de certaines associations de parents responsables. On ne parlera pas des adultes, victimes du même phénomène d'addiction. l'Unesco y va de ses recommandations. Le ministre y va de ses "innovations"....
On peut considérer certains usages des écrans comme un "cancer"; les écrans toxiques continuent à sévir, de manière mimétique. La fréquentation de certains réseaux sociaux ne faiblit pas, au contraire, parfois de la pire des manières. Sans parler des plate formes les plus perverses. Le problème est (aussi) politique: "...Après des années de controverse sur la surexposition des enfants aux écrans, Emmanuel Macron s’apprête à hausser le ton. Un tournant déjà amorcé dans d’autres pays, de la Chine à la Suède, où des décisions sur la prévention des plus jeunes face au numérique sont prises au sommet de l’État. Aux États-Unis, Joe Biden en personne a accusé les géants de la tech de «proposer aux enfants des contenus qui menacent leur santé mentale et leur sécurité», dans une tribune parue dans le Wall Street Journal...' Un fléau? Oui, pour certains parents impuissants. Les effets délétères de la surexposition aux écrans ne sont plus à à à démontrer. Il ne s'agit pas seulement des portables... ______________
Avertissement de responsables sur le terrain:
- L'usage du téléphone est interdit dans l'enceinte des écoles et collèges depuis la loi du 3 août 2018. Tout usage non autorisé est sanctionné.
- Il n'y a absolument pas besoin de créer ou de faire partie des groupes Whatsapp de classes pour échanger des devoirs, des leçons... Les élèves et les enseignants peuvent communiquer sur l'ENT. Il en va de même pour les élèves. C'est un réseau parfaitement sécurisé et stable.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire